A propos de L'Association

Alzheimer Tunisie a été fondée le 13 Mars 2006 (JORT N°24 du Vendredi 24/03/2006

Notre association, à but non lucratif, a pour objectif de Contribuer à l'amélioration de la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et d'apporter l'aide et l'assistance à leurs famille.

Pour nous contacter:

email: alzheimer.tunisie@gmail.com
tel: +216 98 61 39 76
adresse postale: BP N°116-Cité El Khadra-1003 Tunis
jeudi 30 septembre 2010

Traitement de l'alzheimer Coûts humains et financiers

En cette journée mondiale de la maladie d'Alzheimer, des organismes lancent un cri d'alarme au sujet des coûts associés à la maladie.

Le World Alzheimer Report 2010 souligne que plus de 35 millions de personnes souffrent aujourd'hui de la maladie d'Alzheimer et de ses démences apparentées. Le traitement des personnes atteintes et les pertes économiques associées à la maladie s'élèveraient à 604 milliards de dollars américains cette année, selon le rapport, soit plus de 1 % du produit intérieur brut mondial.

Si les soins des démences apparentées à l'alzheimer étaient un pays, celui-ci se classerait au 18e rang des économies mondiales. À 604 milliards de dollars américains, les coûts de l'Alzheimer dépassent les revenus des plus grandes entreprises du monde comme Walmart et Exxon Mobil.

La situation risque d'ailleurs de se dégrader au cours des prochaines années. Selon le World Alzheimer Report 2010, le nombre de personnes atteintes de la maladie et d'une démence apparentée doublera d'ici 20 ans, et triplera d'ici 2050.

Au Royaume-Uni, la maladie d'Alzheimer serait déjà l'une des maladies les plus coûteuses du pays, en tenant compte des coûts médicaux directs, des coûts sociaux et des coûts des soins non rémunérés. Pourtant, le niveau de la recherche et des investissements est nettement moins élevé que dans le cas d'autres maladies graves.

La société Alzheimer's Disease International, qui diffuse le rapport, conclut que la maladie d'Alzheimer et ses démences apparentées constituent la crise la plus importante du 21e siècle en matière de santé et de problèmes sociaux.

« Partout au monde, les gouvernements, y compris le gouvernement canadien, sont terriblement mal préparés pour faire face à cette crise imminente et ils doivent agir sans tarder », souligne Debbie Benczkowski, chef de la direction de la Société Alzheimer.

Le rapport presse donc la communauté internationale d'agir. Il suggère aux gouvernements de se doter de plans nationaux pour s'attaquer aux conséquences de la maladie. La France, l'Australie et l'Angleterre ont déjà élaboré des stratégies en ce sens.

Le World Alzheimer Report 2010 demande aux gouvernements d'augmenter le financement de la recherche pour atteindre un niveau qui reflète mieux le fardeau économique de la maladie. Le financement devrait être multiplié par 15 pour atteindre la parité avec la recherche sur les maladies cardiaques et par 30 pour la parité avec la recherche sur le cancer.

Le World Alzheimer Report 2010 a été produit pour le compte d'Alzheimer's Disease International, une fédération internationale qui réunit 73 associations Alzheimer sans but lucratif de par le monde et qui entretient des relations officielles avec l'Organisation mondiale de la santé.
source: www.radio-canada.ca

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mercredi 29 septembre 2010

Alzheimer/nombre de malades va doubler

Le nombre de malades d'Alzheimer et des démences apparentées devrait doubler en 20 ans, de 35,6 millions aujourd'hui à 65,7 millions en 2030, selon un rapport publié aujourd'hui à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre la maladie.

L'association Alzheimer's Disease International (ADI), qui fédère 73 associations dans le monde, estime dans ce rapport que le nombre de malades devrait tripler d'ici 2050 (115,4 millions de personnes). Alzheimer et les autres démences vont représenter un coût croissant pour la société, dépassant 1% du PIB mondial en 2010, soit 604 milliards de dollars et l'équivalent de la 18ème économie mondiale, ajoute le rapport.

Les experts du King's College London et du Karolinska Institutet (Suède) qui ont compilé les données les plus récentes pour ce rapport appellent à un effort international à la mesure de la maladie. Il faudrait multiplier par 15 l'effort financier de recherche pour arriver à un financement comparable à celui en faveur des maladies cardio-vasculaires - et par 30 pour parvenir à parité avec l'effort en faveur du cancer. Environ 0,5% de la population mondiale est aujourd'hui affectée par une forme de démence, dont Alzheimer est la plus commune. La maladie, qui affecte la mémoire et le comportement, est incurable et très invalidante. Elle est fortement liée au vieillissement, puisque le risque de développer la maladie double tous les 5 ans à partir de 65 ans, et atteint 50% à l'âge de 85 ans.

Selon l'association, les gouvernements doivent faire d'Alzheimer une priorité de leurs politiques de santé. Certains pays ont déjà mis en oeuvre des "plans Alzheimer", note le rapport, citant la France, l'Australie et l'Angleterre. Au plan mondial, Alzheimer devrait être une priorité pour l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et figurer au programme des rencontres du G8 et du G20. Pour le docteur Daisy Acosta, présidente d'ADI, "la maladie d'Alzheimer et les autres démences représentent la plus importante crise sociale et médicale du 21e siècle" et les gouvernements sont "lamentablement préparés face aux perturbations sociales et économiques qu'elle entraîne".

La maladie d'Alzheimer touche 860.000 personne en France, où un plan lancé en février 2008 prévoit d'affecter une enveloppe de 1,6 milliard d'euros d'ici 2012. Le président Nicolas Sarkozy a annoncé vendredi dernier la généralisation à partir de 2011 de maisons pour l'accueil des malades, regroupant tous les professionnels de la maladie.
source: www.lefigaro.fr

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MALADIE D'ALZHEIMER Giulia Salvatori : «Maman ne se souvient pas qu’elle a été actrice»


Elle a les traits de son père et les intonations de sa mère. Giulia Salvatori, 48 ans, est la fille de deux monstres sacrés du cinéma, l’actrice française Annie Girardot, atteinte de la maladie d’Alzheimer depuis plus de dix ans, et l’Italien Renato Salvatori, décédé en 1988 (« Rocco et ses frères », « le Gitan »).
Nous avons rencontré cette femme simple et touchante, à la fois « grande gueule » et ultrasensible, au bord de la Marne, près de la maison où elle vit avec son fils de 18 ans prénommé… Renato. A cœur ouvert, elle nous parle de sa maman qu’elle va voir au moins trois fois par semaine dans un établissement de la région parisienne, de cette maladie cruelle qui arrache peu à peu aux personnes âgées ce qu’elles ont de plus précieux, leurs souvenirs. Bouleversante, Giulia nous explique qu’Alzheimer a aujourd’hui envahi presque toute la vie d’Annie Girardot. Mais il reste ce « presque », si précieux. Car malgré la maladie, la mémoire envolée, les deux femmes partagent encore quelques instants de grâce, d’intimité, de merveilleuse complicité.

Giulia, comment va votre mère?
GIULIA SALVATORI. Elle ne sort plus, elle ne veut pas. Elle reste assise toute la journée dans son fauteuil. Et puis elle n’est plus assez stimulée. Elle n’est plus vraiment là. Enfin, elle est là mais elle s’en va de plus en plus loin. Les gens qui ont Alzheimer basculent dans un autre monde, leur monde. C’est dur à vivre pour les proches mais la seule chose à faire est de s’adapter à ce monde, d’essayer d’y entrer pour communiquer. Souvent je culpabilise de ne pas la garder à la maison. Je sais que c’est impossible mais c’est mon côté méditerranéen; en Italie, on naît à la maison, on meurt à la maison.

Et le monde d’Annie Girardot, aujourd’hui, quel est-il?
Elle a largué les amarres, et elle est repartie vers des souvenirs très lointains, quasiment intra-utérins… Elle vit avec Raymonde, sa défunte mère surnommée Magi, qui était sage-femme, une grande bonne femme, et avec son frère Jean. Jeannot a lui aussi la maladie d’Alzheimer, alors en 2008 j’ai changé maman d’établissement pour l’installer auprès de son frère, dans le même établissement. Leurs chambres sont juste en face. Jeannot est plus âgé, mais il est moins atteint que maman. Il a toujours un œil sur sa petite sœur, la protège. Tous les deux parlent de Magi, leur mère. Quand ils me disent qu’elle va arriver, je ne les contrarie pas. Surtout pas.
Elle part aussi parfois dans de très lointains souvenirs du Débarquement, me demande de vérifier si j’ai bien fermé la porte si jamais « les boches » arrivaient…

Se souvient-elle de sa carrière d’actrice?
Non. Ses seuls souvenirs concernent sa famille, son mari… Le reste a disparu. Maman ne se souvient pas qu’elle a été actrice. La seule personne du monde du cinéma dont elle semble se souvenir un peu, c’est Claude Lelouch. Quand je prononce son nom, son œil s’allume encore un peu, parfois…

Pensez-vous qu’elle soit heureuse, malgré tout?
Non. Je crois qu’elle en a marre. Je le vois parfois dans ses yeux. De temps en temps j’arrive pour la voir et elle me jette un regard noir… Dans ces cas-là, je me dis : « OK, j’ai compris. » Je lui dis : « Ce n’est pas grave, je reviendrai demain… » Et je m’éclipse. Parfois, quand elle se rend compte que c’est moi, elle se cache avec ses mains. Elle n’a pas envie qu’on la voit comme ça. D’ailleurs, si j’ai un message à faire passer, c’est de ne plus essayer de rencontrer Annie Girardot, d’avoir une dernière photo… Si vous avez aimé maman, surtout, il faut lui foutre la paix, garder d’elle une belle image.

Et vous, sa fille, vous reconnaît-elle?
(Silence…) Non, pas vraiment, mais elle sent que c’est sa famille. Elle ne dit pas mon prénom, mais parfois elle m’appelle « mon amour », et là je sais qu’elle m’aime et aussi qu’elle sait combien moi je l’aime.

A-t-elle encore des petits plaisirs?
Oui, la bouffe et la musique. C’est une grande gourmande, un bec sucré, alors j’arrive toujours avec un sac rempli de mousses au chocolat, de yaourts, de Coca. Le 25 octobre elle aura 79 ans et je partagerai un gros festin avec elle dans sa chambre. Il lui reste aussi les chansons. Là où les mots ne passent plus, la musique passe encore un peu. Alors quand je viens je lui mets Brel, Paolo Conte, Barbara ou Brassens. Et je sens que ça lui fait du bien.

« Annie Girardot, la mémoire de ma mère », Ed. Michel Lafon, 2007.
source: www.leparisien.fr

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ALZHEIMER : Ebixa® (mémantine), amélioration confirmée des capacités de communication

European Federation of Neurological Societies

La mémantine Ebixa® vient de confirmer son efficacité sur l’amélioration des capacités cognitives et de communication fonctionnelle chez les patients atteints de maladie d'Alzheimer (MA) de forme modérée à sévère. Les résultats de cette nouvelle méta-analyse de 6 grandes études cliniques randomisées, qui confirment cette efficacité, viennent d’être présentés au 14e Congrès de la Fédération européenne des sociétés savantes de neurologie (EFNS).

Le 14e Congrès de la Fédération européenne des sociétés de neurologie (EFNS) réunissait plus de 4.500 neurologues pour présenter les dernières recherches, du 24 au 28 septembre 2010 à Genève.

Alors que 36% des aidants considèrent les troubles de la communication comme l'aspect le plus troublant de la MA, ces résultats apportent une contribution précieuse pour l'autonomie des patients et la qualité de vie tant pour le patient et les proches aidants. Les résultats de cette méta-analyse de six grandes études cliniques randomisées confirment l’efficacité de la mémantine sur l’amélioration des capacités cognitives et de la communication fonctionnelle des patients atteints d’Alzheimer, considérée par les neurologues comme une cible thérapeutique effective, dans le traitement de la MA.

Les troubles du langage est l'une des manifestations les plus gênantes de la MA : La communication est beaucoup plus que le simple échange d'informations, elle permet de partager des idées, d’exprimer des émotions, d’envoyer et recevoir des messages. C'est aussi une représentation de ce que nous sommes en tant qu'êtres humains, un reflet de nos sentiments et de nos pensées à travers les mots, les attitudes, les expressions faciales, le ton de la voix, et / ou le langage corporel. Dans la MA, les problèmes de communication s'articulent autour de questions linguistiques. A l'occasion d'un symposium satellite de l'EFNS, ces nouvelles données ont montré que des déficiences dans le langage / la communication peuvent non seulement réduire l'autonomie des patients, leur insertion sociale mais compromettre fortement leur qualité de la vie. Il est donc important pur les neurologues que le traitement des troubles de la communication soit reconnu comme partie intégrante de la gestion de la maladie.

La mémantine, un antagoniste des récepteurs N-méthyl-D-aspartate est le premier médicament de sa classe thérapeutique. Indiqué pour le traitement de la MA modérée à sévère, il vient de démontrer dans cette méta-analyse sa supériorité au placebo et son association avec une diminution des troubles de la communication, une diminution de l’aggravation des symptômes et une amélioration des capacités cognitives. Sur une durée de 24 semaines, les patients ayant reçu en la mémantine (+ donépézil) ont significativement mieux évolué que les patients recevant un placebo + donépézil) sur la base de 2 scores, "naming" et "communication fonctionnelle" (“functional communication”)*. Par ailleurs, la mémantine s'est avérée une option thérapeutique bien tolérée et sécuritaire.

La MA est la cause la plus courante de démence (50-60% de tous les cas) et affecte 1 personne sur 20 âgée de 65 ans et plus et 1 sur 5 ans chez les 80 ans et plus. 30 millions de personnes sont atteintes de démence dans le monde.

La mémantine a été développée par le laboratoire Merz et autorisé à Forest aux États-Unis et Lundbeck pour certains marchés européens et internationaux. La mémantine est commercialisée sous les marques Axura ® et Akatinol ® par Hans-Rudolf Merz et sous la marque Ebixa® par Lundbeck.

*3 Saxton J, PN Tariot, M Tocco, et al. Poster présenté à l'AAN 2008

source: www.santelog.com

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mardi 28 septembre 2010

AB SCIENCE lance un essai de phase III sur le masitinib contre Alzheimer

(AOF) - La société biopharmaceutique AB Science a lancé un programme de développement clinique de phase 3 dans le traitement de la maladie d'Alzheimer avec son produit phare le masitinib, suite aux résultats positifs de phase 2. En effet, l'étude de phase 2 a montré de façon statistiquement significative qu'après 24 semaines de traitement, un ralentissement ou un arrêt de la détérioration des fonctions cognitives était constaté chez les patients recevant le masitinib, avec un profil de tolérance du masitinib accepta ble.
Ces résultats de phase 2 ont été jugés positifs par AB science et sont statistiquement significatifs, alors même que l'échantillon de patients était limité.
Parallèlement, AB Science a obtenu un avis scientifique positif de l'Agence Européenne des Médicaments (EMA) sur le design d'une étude clinique de phase 3 pivotale dans cette indication.
Après son évaluation, l'EMA a donné son accord sur le design proposé de l'étude de phase 3 pivotale. Cette étude supportera une future demande d'autorisation de mise sur le marché du masitinib dans le traitement des formes légères à modérées de la maladie d'Alzheimer.
Alain Moussy, Président Directeur général d'AB Science a déclaré : "Ces résultats, statistiquement significatifs sur une petite cohorte de patients, sont très encourageants. Ils nous incitent à poursuivre le développement du masitinib dans cette pathologie qui reste aujourd'hui sans solution thérapeutique satisfaisante".

LEXIQUE
Essais cliniques (Phases I, II, III) : Phase I : test de la molécule à petite échelle sur les humains pour évaluer sa sécurité, sa tolérance, ses propriétés métaboliques et pharmacologiques.
Phase II : évaluation de la tolérance et de l'efficacité sur plusieurs centaines de patients pour identifier les effets secondaires.
Phase III : évaluation du rapport bénéfice / risque global auprès de plusieurs milliers de patients.

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vendredi 24 septembre 2010

ALZHEIMER : Découverte d’une nouvelle protéine qui déclenche la mort des neurones

En empêchant l'activation de cette protéine, les chercheurs pourraient être en mesure d'arrêter la perte de mémoire et la progression de la maladie d'Alzheimer. Ces neurologues de l’Université de Rush (Chicago) ont en effet trouvé une nouvelle cible thérapeutique, qui peut potentiellement conduire à une nouvelle façon de prévenir la progression de la maladie: LN-SMase une protéine qui, lorsqu'elle est activée, provoque une réaction en chaîne dans la cellule conduisant à la mort neuronale et la perte de mémoire. Les résultats de cette étude, financée par les National Institutes of Health et l'Association Alzheimer sont publiés dans l’édition du 22 Septembre du Journal of Neuroscience.



"Il existe de multiples voies neurotoxiques responsables de maladies qui convergent sur la protéine LN-SMase qui peut aussi entraîner cette destruction neuronale dans le cerveau d'un malade atteint d'Alzheimer», déclare le Pr. Kalipada Pahan, neurologue-chercheur de l’Unviversité de Rush. "Si nous pouvons empêcher l'activation de la protéine, nous pouvons être en mesure d'arrêter la perte de mémoire et la progression de la maladie d'Alzheimer."



Dans le cerveau d'un patient atteint de maladie d'Alzheimer, 2 structures anormales appelées plaques et écheveaux sont les principaux responsables des dégâts causés et de la mort des cellules nerveuses. Bien que les neurones meurent, d'autres cellules du cerveau comme les microgliocytes (cellules gliales) et les astrocytes ne meurent pas. Ces cellules sont activées et l'activation des cellules gliales joue un rôle clé dans la destruction des neurones. Cependant, les mécanismes moléculaires par lesquels l’activation des cellules gliales peut déclencher la mort des neurones ont été mal compris jusqu'à présent.



Les bêta-amyloïdes, qui sont un fragment de protéine déposé dans le cerveau des patients atteints, provoquent l'activation des cellules gliales. Lorsque les cellules nerveuses dans le cerveau en bonne santé sont exposées à la bêta-amyloïde, elles présentent alors un certain nombre de modifications pathologiques qui sont caractéristiques de la pathologie d'Alzheimer.

Des chercheurs de Rush ont pu déterminer que la protéine LN-SMase en question, est déclenchée par les cellules du cerveau activées par la bêta-amyloïde. Toutefois, lorsque cette protéine a été inhibée, alors les cellules du cerveau activées et la bêta-amyloïde sont incapables de détruire les neurones.



2 inhibiteurs ont été testés en utilisant des cellules du cerveau humain sur un modèle de souris et un modèle de culture cellulaire. «Comprendre comment fonctionne le processus de la maladie est important pour identifier des approches efficaces pour protéger le cerveau et arrêter la progression de la maladie d'Alzheimer», déclare le Pr. Pahan. "Les résultats de cette étude sont très prometteurs et notre prochaine étape consiste à traduire ces résultats en pratique clinique."



Développer et tester un médicament qui pourrait cibler la protéine LN-SMase permettrait de stopper la perte de mémoire chez les patients la maladie d'Alzheimer.



Source : Rush University Medical Center « Scientists Identify a New Target for Alzheimer’s Disease », traduction, adaptation, mise en ligne Alexis Yapnine, santé log, le 22 septembre 2010 (Vignette NIA-NIH: healthy neuron)

source: www.santelog.com

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Journée mondiale de la maladie d’Alzheimer Conjuguer efficacité et humanisme

Selon des données chiffrées en provenance de sources concordantes, les patients atteints par la maladie d’Alzheimer et ayant pu être recensés dans notre pays seraient actuellement de l’ordre de 20.000.

L’Association «Alzheimer Tunisie» ne rate pas une occasion de monter en première ligne pour défendre la cause des personnes atteintes de la maladie d’«Alzheimer», celle de leurs familles et de leurs aidants.
Le jeu en vaut vraiment la chandelle car la prévalence de ce fléau suit une courbe exponentielle un peu partout dans le monde et passe pour un enjeu de santé publique à l’orée du XXIe siècle.
Il est entendu que la Tunisie n’est pas à l’abri de ce mal qui désempare les chercheurs, les thérapeutes, les familles et les aidants.
Selon des données chiffrées en provenance de sources concordantes, les patients atteints par la maladie d’Alzheimer et ayant pu être recensés dans notre pays seraient actuellement de l’ordre de 20.000.
Sans compter les cas passés sous silence, en raison de la résignation des tuteurs, leur ignorance de la maladie ou du refoulement social qui accompagne parfois cette pathologie taboue, voire honteuse.
Mais au-delà des chiffres, ce sont les conséquences physiques, psychiques, sociales, économiques et juridiques dues à cette maladie qui inquiètent le plus. Jugées particulièrement lourdes et accablantes, celles-ci représentent un calvaire quotidien pour les patients, leurs proches, les auxiliaires de vie et les structures de prise en charge qui sont en devoir de gérer cette pathologie neuro-dégénérative directement liée au vieillissement.

Aider les aidants

Concernant le patient, il s’installe dans un véritable exil identitaire, une amnésie totale et une perte de repères spatio-temporels, aggravés par fois d’accès intermittents de violence démentielle.
Autant dire que les personnes atteintes de cette maladie, au-delà de la soixantaine, se transforment avec l’âge en véritables boîtes noires indéchiffrables pour tous.
Mais ceux qui en prennent le plus, en termes de souffrance, allant parfois jusqu’à l’épuisement, ce sont les aidants familiaux qui prennent en charge sans répit ces chers parents atteints, si proches par la chair et le sang mais si lointains par le cœur et la raison.
Une souffrance d’autant plus sourde que les patients, acculés dans le royaume de l’oubli ne savent plus dire merci et n’affichent, en apparence du moins, aucun signe de reconnaissance, quelle que soit la disponibilité de l’aidant.
Célébrant la Journée mondiale de cette maladie, l’Association «Alzheimer Tunisie» a eu l’heureuse initiative de dédier le thème de la journée qu’elle a organisée mercredi après-midi à Tunis à ces aidants familiaux précisément, en retenant la problématique des «Réalités et enjeux de la prise en charge de l’aidant familial».
Une thématique qui s’intègre parfaitement du reste avec le slogan retenu cette année par l’Association internationale de la maladie d’Alzheimer, à savoir «Alzheimer, il est temps d’agir».

Dans une salle archicomble et un public en quête, sans doute d’un moment de répit et de réconfort, à l’affût de la moindre nouveauté sur la maladie, les actes de cette rencontre se sont déclinés sous forme de communications et d’un débat.
Un certain nombre de spécialistes tunisiens et français ont défilé à la tribune, faisant la radioscopie de la maladie et de ses effets corollaires sur les malades eux-mêmes et leur environnement.

Un plan national Alzheimer

Interrogé par voie de sondage, l’entourage des patients ne semble éprouver que des sentiments négatifs face à la maladie : anxiété (48,6%), résignation (28%), rejet (16%) , déni (12%) ou colère (12%), expliquera notamment le Pr Gouider, président du comité scientifique de l’Association «Tunisie Alzheimer».
La prise en charge d’une personne atteinte d’Alzheimer varie en Tunisie entre 5.000 et 6.000 dinars par an et par cas, estime le Dr I.Karoui, gériatre de son état.
D’où la nécessité de mettre des mécanismes de prise en charge adaptés à cette catégorie, a-t-elle recommandé.
Le Dr L.Fournis, gérontologue française, pense qu’au même titre que les patients, les aidants familiaux qui passent six heures par jour, sept jours sur sept pendant six ans en moyenne à s’occuper exclusivement de patients ont également besoin d’être pris en charge, c'est-à-dire soutenus financièrement et matériellement cela s’entend.
Pour sa part, le Dr H.Briki a fait valoir, chiffres à l’appui, que le fardeau des aidants familiaux tunisiens est relativement lourd, en comparaison avec les pays du reste du monde. D’où l’urgence d’inventer des solutions contribuant à les soulager, a-t-il conclu.
Le Dr S.Baccar, gériatre, a présenté à l’auditoire une esquisse du Plan national Alzheimer qui pourrait servir de creuset où sont censés converger les efforts de toutes les parties prenantes, en vue de mettre autant d’efficacité que d’humanisme à dépister, soigner et accompagner les personnes atteintes par ce mal perfide qui remet tous les compteurs à zéro.
Auteur : M.G.

source: www.lapresse.tn

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mercredi 22 septembre 2010

اختتام الندوة العلمية الوطنية حول مرض الزهايمر


تونس 22 سبتمبر 2010 (وات)- اختتمت مساء الاربعاء اشغال الندوة العلمية الوطنية حول " التكفل بالمعين العائلي: الواقع والرهانات " الملتئمة ببادرة من جمعية " الزهايمر تونس " اليوم، بمناسبة الاحتفال باليوم العالمي لمرض الزهايمر.

وتم خلال هذه الندوة تناول عدد من المواضيع ذات العلاقة المباشرة باحدث مرض ا العصر " الزهايمر" من خلال عدد من المداخلات ساهمت في تقديم الاضافة في مجال التحسيس والتوعية بخصوصيات هذا المرض وافضل السبل للاحاطة بالمصابين به ومرافقتهم.

وفي كلمة بالمناسبة بينت السيدة ببية بوحنك شيحي وزيرة شؤون المراة والاسرة والطفولة والمسنين ان الاحتفال باليوم العالمي لمرض الزهايمر يعكس العناية الفائقة التي يحظى بها كبار السن في تونس بفضل السياسة المجتمعية الرائدة للرئيس زين العابدين بن علي ويكرس ما اقره سيادته لفائدة هذه الشريحة من اهداف طموحة ضمن برنامج " معا لرفع التحديات".

ولاحظت من ناحية اخرى ان الاحتفال بهذه المناسبة التي تتزامن مع استعداد تونس لمشاركة المجموعة العربية الاحتفال باليوم العربي للمسنين يوم 25 سبتمبر الجاري الذي اقر استجابة لدعوة السيدة ليلى بن علي حرم رئيس الدولة، رئيسة منظمة المراة العربية، يترجم الاقرار على نطاق واسع بدور كبار السن في بناء مجتمعات متماسكة ومتضامنة

وتشير احدث الاحصائيات الى ان عدد المصابين بمرض الزهايمر على المستوى الوطني يقدر بنحو 35 الف مصاب في حين يبلغ عددهم على المستوى الدولي 53 مليون مصاب.

وافادت السيدة ببية بوحنك شيحي ان مرض الزهايمر يستوجب الكثير من العناية على مستوى توفير الادوية والاحاطة العائلية والنفسية باعتبار ان الوسائل غير المقترنة بالادوية تعد احدى اهم الوسائل التي تساهم في الاحاطة بالمريض مشيرة الى ان معدل الكلفة للمريض الواحد تقدر بحوالي 5 الاف دينار سنويا، تتحملها المجموعة الوطنية.

واشارت الوزيرة الى ان مختلف الاحصائيات والمؤشرات المتلعقة بهذا المرض تؤكد اهمية تضافر جميع الجهود لمحاصرته والتقليل من فرص انتشاره والاصابة به موضحة ان هذه النقلة الديمغرافية تستدعي الاستعداد لمواجهة ما تطرحه من تحديات ناشئة لعل ابرزها تزايد الطلب على على الخدمات الصحية وارتفاع الضغط على انظمة التقاعد وبروز حاجيات جديدة في مجال الرعاية المباشرة والرعاية الاجتماعية للمسنين.

ويذكر ان تونس تشهد وعلى غرار ما يسجل في اغلب البلدان المتقدمة تشيخا تدريجيا للسكان يتمثل في ارتفاع عدد ونسبة البالغين من العمر ستين سنة فما فوق، حيث تبرز الاحصائيات السكانية ان نسبة المسنين من مجموع السكان البالغة حاليا 9 فاصل 6 بالمائة ستبلغ مستوى 11 فاصل 4 بالمائة سنة 2014 وحوالي 20 بالمائة سنة 2034 اي مايوازي خمس سكان البلاد.

وابرزت في ذات السياق اهمية الدور الذي يلعبه المعين العائلي واعوان الاحاطة الحياتية في مجال مساعدة المريض على التعايش مع مرضه مشيرة الى حرص مختلف الاطراف المتدخلة خلال الفترة على تعزيز التكوين في هذا المجال ودعم قدرات الاختصاص على المستوى الوطني الى جانب دفع التعاون مع مكونات المجتمع المدني.

وقد بادرت تونس في اطار الحرص على مزيد تحسين جودة ومردودية الخدمات المسداة لكبار السن داخل اسرهم وبمؤسسات الرعاية الصحية باقرار برنامج للتكوين المهني في اختصاص " اعوان الاحاطة بالمسنين " ، تتمثل مهمتهم في مساعدة المسنين غير القادرين منهم على القيام بشوءونهم الحياتية وتخفيف العبء على الاسر في رعاية مسنيها.

واستجابة لحاجيات السوق الوطنية والعالمية، تم تحيين هذا البرنامج الذي تم الشروع فيه منذ فيفري سنة 2008 على مستوى مدارس علوم التمريض وبلغ عدد المتخرجين 294 متكونا في موفى سنة 2009.

واستعرضت الوزيرة بالمناسبة مختلف البرامج والخطط والاليات التي اقرها رئيس الدولة بهدف الاستجابة لهذه التغيرات والحاجيات الناتجة عنها تكريسا لمبدا مجتمع لكل الاعمار وذلك على غرار الخطة العشرية لرعاية المسنين والحرص المتنامي على مزيد الارتقاء باوضاع كبار السن ودعم منزلتهم داخل الاسرة وفي المجتمع مشيرة الى اهم الاجراءات التي تم اتخاذها خلال المجلس الوزاري المنعقد يوم 31 مارس 2010

source:www.tap.info.tn

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جهود هامة للوقاية من مرض الزهايمر


ونس 22 سبتمبر 2010 (وات) انتظم، اليوم الاربعاء بتونس، ندوة علمية حول مرض الزهايمر، ببادرة من جمعة الزهايمر تونس يالتعاون مع المعهد الفرنسي للتعاون وذلك بمناسبة احياء اليوم العالمي لهذا المرض.

وابرز السيد المنذر الزنايدي وزير الصحة العمومية، بالمناسبة، الجهود القيمة التي ما فتئت تبذلها الجمعية منذ تاسيسها سنة 2006 من اجل تعزيز مقومات الاحاطة الشاملة بمرضى الزهايمر وذويهم.

وبين ان هذا الملتقى يمثل مناسبة هامة لابراز المكانة المتميزة التي تتبواها شريحة المسنين في تونس وذلك بهدي من الرئيس زين العابدين بن علي الذي يحرص باستمرار على توفير الاحاطة المثلى والشاملة بهذه الشريحة من المجتمع وتيسير اندماجها الطبيعي في محيطها الاسري والاجتماعي.

واشار الى تزامن هذا اللقاء مع احتفال البلدان العربية لاول مرة هذا العام باليوم العربي للمسنين (25 سبتمبر) الذي اعتمده بالاجماع مجلس وزراء الشؤون الاجتماعية العرب تجاوبا مع مبادرة السيدة ليلى بن علي حرم سيادة رئيس الجمهورية في اطار رئاستها لمنظمة المراة العربية باقتراح احداث يوم عربي للمسنين.

وابرز التطور المتواصل لمؤمل الحياة عند الولادة الذي اصبح يضاهي ما هو موجود في الدول المتقدمة حيث يناهز 6ر74 عاما بما يعكس المكاسب التي حققتها تونس في مجال النهوض بالخدمات الصحية الوقائية والعلاجية وكذلك على درب تحسين ظروف عيش المواطنين وهو ما بوا تونس المرتبة الاولى عربيا وافريقيا بالنسبة لمؤشر جودة الحياة.

واوضح ان هذه النقلة الديمغرافية قد رافقها ايضا تحسن ملموس ومتواصل لمؤمل الحياة دون اعاقة لدى المسنين مشيرا الى ان تزايد عدد المسنين وتواصل تقدمهم في السن من شانه المساهمة في بروز العديد من الامراض المزمنة والانحلالية والاعاقات العميقة وهو ما يتطلب توفق المنظومة الصحية الوطنية في توفير العناية الطبية والاحاطة النفسية الملائمة.

وبين ان مرض الزهايمر يمثل اكثر الامراض الانحلالية شدة لما له من انعكاسات سلبية على المريض والعائلة والمجموعة الوطنية ككل اذ يسبب اعباء جسدية ونفسية واقتصادية ثقيلة على القائمين برعاية المرضى المصابين باعتباره من اكثر الامراض المكلفة اقتصاديا.

واستعرض مختلف الانشطة والاجراءات التي قامت بها وزارة الصحة العمومية بهدف مكافحته والحد من خطورته وتامين الاحاطة المثلى بالمصابين به.

وترتكز هذه الجهود على محاور اساسية تتمثل في تدعيم الوقاية (باعتبار دورها الفعال في تقليل خطر الاصابة بهذا المرض وابطاء سرعة تقدمه وتخفيف شدته وتاجيل ظهور عوارضه وانعكاساته السلبية) والتكفل الصحي ودعم التكوين بمختلف مراحله.

ويعد مرض الزهايمر من اهم الامراض في القرن الواحد والعشرين ويمثل تحديا كبيرا لتونس التي تعد 5ر10 ملايين نسمة 7 بالمائة منهم مسنين اعمارهم 65 سنة فما فوق اي 735 الف نسمة من بينهم 7ر3 بالمائة معرضين للاصابة بهذا المرض.

source: www.tap.info.tn

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Alzheimer: "Des pistes de recherche" à foison selon un spécialiste

De Brigitte CASTELNAU (AFP) – Il y a 9 heures
PARIS — Vaccins, alimentation, génétique et nouvelles molécules, la recherche sur la maladie d'Alzheimer présente de multiples facettes et offre des pistes d'avenir, même si l'effort et les financements doivent vraiment s'intensifier, explique un spécialiste.
"On ne dispose d'aucun traitement spécifique efficace susceptible de guérir la maladie" constate le professeur Alexis Brice, neurologue (hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris), directeur de l'institut thématique "neurosciences, sciences cognitives, neurologie et psychiatrie".
"Mais il y a pas mal de pistes de recherche grâce à une meilleure connaissance des mécanismes fondamentaux" qui mènent à la formation des plaques amyloïdes et à la dégénérescence.
La maladie d'Alzheimer et les démences apparentées touchent quelque 860.000 personnes en France et ce nombre, avec le vieillissement de la population, ne fera qu'augmenter.
Sur le plan thérapeutique, des inhibiteurs ont été développés. "Il faudra en vérifier l'effet sur les plaques et les symptômes de la maladie" (troubles intellectuels, perte de mémoire...)", explique-t-il à l'AFP, à l'occasion de la Journée mondiale Alzheimer.
Objectif par exemple des inhibiteurs (ou activateurs) d'enzymes appelées "sécrétases": bloquer la formation du peptide beta-amyloïde, une molécule qui s'accumule autour des neurones et forme les plaques séniles.
Les inhibiteurs de la gamma sécrétase empêchent la protéine précurseur de se transformer en peptide bêta-amyloïde. Les activateurs de l'alpha sécrétasse aboutissent au même résultat. "Il y a des essais en cours déjà en phase 3, sur plusieurs centaines de malades en Europe et aux Etats-Unis", relève le Pr Brice.
Il existe aujourd'hui des marqueurs d'imagerie cérébrale (TEP) qui vont permettre de visualiser l'évolution des plaques caractéristiques de la maladie. "Avec cet outil, qui n'existait pas il y a une dizaine d'années, on peut suivre in vivo les effets des nouveaux traitements sur les plaques amyloïdes", raconte le médecin.
Les vaccins, malgré les premiers écueils, restent une "piste prometteuse" et de nouveaux essais sont en cours.
Selon lui, "l'immunothérapie passive, qui devrait avoir moins d'effets secondaires (encéphalite)", fait l'objet d'essais avancés. Elle consiste à administrer des anticorps afin de favoriser l'élimination du peptide beta-amyloïde.
Autre champ de recherche, la génétique. "Les formes héréditaires, purement génétique, d'Alzheimer, qui surviennent plus jeune, avant 60 ans, représentent moins de 1% des cas, même si elles nous ont beaucoup appris sur la maladie", souligne le Pr Brice.
Plus généralement, il existe des facteurs de prédisposition, comme le gène Apo4. "Les porteurs d'une copie de cette forme du gène ont 2 à 3 fois plus de risque de développer un Alzheimer et ce risque augmente significativement en présence de deux copies".
La recherche a permis d'en identifier d'autres, comme l'a montré récemment l'équipe du Pr Philippe Amouyel (Inserm), souligne-t-il. "En combinant les différents facteurs de risque génétique, on pourrait imaginer de repérer les personnes à risque significativement augmenté". "Un risque ne veut pas dire une certitude, à l'exception de certaines formes familiales", met-il cependant en garde.
Par ailleurs, dans le domaine alimentaire, l'effet de suppléments en oméga 3 sur la survenue de nouveaux cas d'Alzheimer chez des personnes de 70 ans ou plus est en cours d'étude à Toulouse, selon la Fondation pour la recherche médicale.
Outre Atlantique, l'impact d'un antioxydant, le resvératrol, un polyphénol contenu dans le raisin et le vin est actuellement testé sur des formes de la maladie d'Alzheimer débutante ou modérée.
Copyright © 2010 AFP. Tous droits réservés.

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في سابقة على المستوى العربي والإفريقي: افتتاح مركز الزهايمر بمستشفى الرازي بمنوبة



في انتظار انجاز مركزين جديدين مماثلين تمت برمجتهما بكل من ولايتي سوسة وصفاقس, افتتح اليوم بمستشفى الرازي بمنوبة نشاط مركز الزهايمر الذي يعد احد أهم المراكز الصحية وأولها على المستوى العربي والإفريقي باعتبار أهمية الخدمات التي سيؤمنها لفائدة مرضى الزهايمر بتونس.

وللحديث عن المركز الذي بلغت كلفة انجازه 650 ألف دينار التقت التونسية السيدة حميدة عبد الجليل مديرة مستشفى الرازي التي تحدثت قائلة :" هذا المركز الذي كان ثمرة جهود الدولة ومخابر بحث ومنظمات غير حكومية يمثل دعامة جديدة في مجال مرض الزهايمر ، ليكون بتقنياته العلاجية الحديثة الأكثر تقدما على ذمة مرضى الزهايمر ."

ودوره ليس فقط علاجيا بل وقائي توعوي تحسيسي يهدف بالأساس إلى توعية المرضى بدرجة أولى ثم تفعيل دور عائلات المرضى في مساعدتهم على التعايش مع مرضهم كما يعاضد المجهودات المبذولة وطنيا للحد من مخاطر المرض والتوقي منه."

وعن مكونات المركز الذي اشرف على افتتاح نشاطه السيد منذر الزنايدي وزير الصحة العمومية برفقة السيد كمال بن علي والي منوبة قالت:" ينقسم هذا المركز المخصص بالأساس للرعاية النهارية والذي دعم المنظومة الصحية بولاية منوبة إلى ثلاث وحدات قسم للاستقبال ومخبر للأبحاث وقسم للفحص سيخصص للكشف المبكر عن المرض ودعم علاج النطق والأمراض النفسية والعقلية وتدريب المساعدين والمربين."


اعتبارا لأهمية المرض كانت نجاعة المركزوللحديث عن خدمات المركز التوعوية حدثنا الدكتور رياض قويدر رئيس قسم المركز قائلا :" هذا المركز الأول من نوعه عربيا وإفريقيا هو انجاز مهمّ اعتبارا لأهمية مرض الزهايمر الذي يصيب الكبار في السن الستين من العمر فما فوق ويسبب نقصا في وظائفهم العقلية وفقدان الذاكرة لدرجة تتعارض مع العمل الاجتماعي والوظيفي ,وتشمل أعراضه النسيان و الاكتئاب وعدم الإدراك والإحساس بالمكان والزمان الذي هو فيه وعدم القدرة على التركيز أو التواصل مع الآخرين وفقدان الذاكرة ."

وأضاف قائلا :إن المركز الذي تبلغ طاقة استيعابه 50 مريضا سيوفر الرعاية والإحاطة لمرضى الزهايمر الذين يبلغ عددهم حاليا ببلادنا 35 ألف مريض كما سيساعد على التشخيص المبكر للمرض كما يوضح رؤية نوعية التكفل والتغطية الصحية التي تتطلبها حالة مريض الزهايمر للصندوق الوطني للتأمين الذي يقتصر تكفله على توفير الأدوية المساعدة على التخفيف من حدة المرض
وهنا يمكن الحديث عن اتفاقية مرتقبة مع الصندوق للتكفل الشامل بمصاريف علاج مرضى الزهايمر بالمركز الذين يحتاجون إلى جانب الأدوية إلى فحوصات ومرافقة مستمرة."

هذا فضلا عن دوره التحسيسي التوعوي في التعريف بالمرض حيث من المنتظر ان يبلغ عدد المرضى من هذا النوع في 2020 ببلادنا إلى 60 ألف مصاب وسيمكن العائلات من تنمية معارفهم وتفعيل دورهم إزاء مرضاهم الذين يصابون بالمرض ولا يتعرفون مبكرا وبسهولة على مرضهم ."

ويختم قائلا :" نشكر كافة الأطراف المساهمة في خروج هذا المولود الحدث الى النور ومنها وزارة الصحة وولاية منوبة و نادي ليونس كليب وكافة الجهات التي سهرت على بعثه حتى يكون جاهزا للقيام بدور ريادي في مجال التحسيس بأهمية التشخيص المبكر للمرض وتحسين التكفل بالمصابين وتقديم المساعدة للمرضى ، فضلا عن دعم البحث العلمي في المجال."

ريبورتاج: نعيمة عويشاوي

source: www.attounissia.com.tn

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mardi 21 septembre 2010

متابعة نشاط مركز علاج الزهايمر بمستشفى الرازي بمنوبة


منوبة 21 سبتمبر 2010 (وات)- أدى السيد منذر الزنايدي وزير الصحة العمومية صباح الثلاثاء زيارة ميدانية إلى مركز علاج الزهايمر بمستشفى الرازي بمنوبة اطلع خلالها على نشاط ومكونات هذا المركز.

وقد انطلق مؤخرا استغلال هذا المركز الذي بلغت كلفة انجازه حوالي 650 ألف دينار. وهو يؤمن رعاية نهارية للمرضى وخدمات طبية مختلفة تتمثل بالخصوص في إجراء الفحوصات اللازمة بهدف الكشف المبكر عن مرض الزهايمر وعلاج الأمراض النفسية وعلاج النطق.

ويتكون المركز من مخبر للأبحاث وأقسام للكشف المبكر عن مرض الزهايمر وعلاج الأمراض النفسية وعلاج النطق إلى جانب فضاء لتدريب المساعدين والمختصين في المجال.

وأكد السيد منذر الزنايدي بالمناسبة أن هذا الإنجاز يعتبر من المكاسب الهامة في تونس التي تعكس العناية الرئاسية الموصولة بقطاع الصحة عموما وبالرعاية الصحية للمسنين خاصة والتي تجسدت من خلال عديد البرامج الهامة في مجال الإحاطة الاجتماعية والصحية بهذه الفئة مبينا أنه تمت برمجة إنجاز مركزين لعلاج مرض الزهايمر بكل من ولايتي سوسة وصفاقس.

ويعتبر مرض الزهايمر من الأمراض المرتبطة بتقدم السن حيث تصيب المسنين وتسبب لهم نقصا في الوظائف العقلية.

source:www.tap.info.tn

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مرضى الزهايمر في تونس أكثر من 20 ألف مصاب يطلبون «المرافقة» من الكنام

مرضى الزهايمر في تونس


تشير الإحصائيات إلى أن عدد مرضى الزهايمر أو ما يعرف لدى الكثيرين بمرض الخرف وفقدان الذاكرة لدى المسنين، يبلغ حاليا في تونس حوالي 20 ألف مصاب. غير أن الأطباء المختصين في المجال يؤكدون أن نسب الإصابة بمرض الزهايمر في تونس أرفع بكثير خاصة في الجهات الداخلية للبلاد من منطلق أن الكثير من العائلات لا تتفطن لإصابة أبائهم وأجدادهم بالزهايمر ويدرجون أعراض المرض في خانة الخرف والفقدان الطبيعي للذاكرة المرتبط بالتقدم في السن والمريض لا يستطيع بمفرده التفطن لإصابته فالعائلة من يلاحظ الأعراض الأولى للمرض المتمثلة في نسيان البديهيات كمكان السكن وأفراد العائلة...
وعادة ما يصيب الزهايمرالأشخاص ما فوق 60 سنة..غير أن بعض الدراسات أثبتت امكانية حدوث الإصابة في سن الـ40 سنة وإن بنسب ضئيلة. ويواجه المصابون بمرض الزهايمر في بلادنا مشكل غياب التكفل والتغطية الصحية والإجتماعية الشاملة حيث يقتصر تكفل الصندوق الوطني للتأمين على المرض على توفير الأدوية المساعدة على التخفيف من سرعة تطور المرض دون الشفاء منه تماما بما أنه لم يتم إلى حد الآن اكتشاف دواء أو لقاح فعال لمرض الزهايمر.
تكاليف المرافقة
من جهتها تشير مصادر الجمعية التونسية للزهايمر أن نوعية المرض تتطلب تكفلا يتجاوز الأدوية فقط لأن مريض الزهايمر يحتاج إلى جانب الأدوية إلى مرافقة مستمرة عائلية أو من طرف أعوان الإحاطة الحياتية لأن المصاب بهذا المرض يصبح غير قادر على ممارسة حياته اليومية دون مرافقة فقد يخرج دون ثياب وقد يكون عرضة لحوادث بسبب عدم سيطرته على ذاكرته كما يفقد المريض القدرة على الكلام والفهم وقابلية التعرف على الأشياء والأشخاص بالإضافة إلى العجز عن القيام بالأشياء البديهية.
وتضيف مصادر الجمعية التونسية للزهايمر أن المرافقة المستمرة لمريض الزهايمر لها مصاريفها وكلفتها وتسعى حاليا الجمعية لإقناع صندوق التأمين على المرض لأخذها بعين الإعتبار في التكفل بالمرضى كما هو معمول به في صيغ التكفل الشاملة لبعض الأمراض الأخرى على غرار مرض التصلب اللوحوي.
وحول هذا الموضوع وبمناسبة اليوم العالمي لمرض الزهايمر الموافق لـ22 سبتمبر من كل سنة ينتظر أن تنظم الجمعية التونسية للزهايمر ملتقى لتناول موضوع الإحاطة بالمساعد الأسري لمريض الزهايمر وذلك يوم الإربعاء القادم.
منى اليحياوي

source: www.assabah.com.tn

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samedi 18 septembre 2010

Emission speciale Journée Mondiale de la Maladie d'Alzheimer sur RTCI


Pr Leila Trabelsi Alouane "présidente de l'Association Alzheimer Tunisie et Docteur Ilhem Karoui "Gériatre, Membre De L’Association Alzheimer Tunisie" seront les invités de l'emission Plein cap (Emission en directe) animée par Faiza Mejri Lundi 20 Septembre de 18H00 à 19H30.l'émission traitera du programme de la célébration de la Journée Mondiale de la Maladie d'Alzheimer par l'Association Alzheimer Tunisie:

Association Alzheimer Tunisie
PROGRAMME
DE LA JOURNEE MONDIALE DE LA MALADIE D’ALZHEIMER
«PRISE EN CHARGE DE L’AIDANT FAMILIAL : REALITES ET ENJEUX»
Hôtel Sheraton - 22 septembre 2010
...14h15 : INSCRIPTION

OUVERTURE PAR MONSIEUR LE MINISTRE DE LA SANTE PUBLIQUE

15h
INTRODUCTION
(L. ALOUANE, Présidente De L’Association Alzheimer Tunisie)

15h15
MALADIE D’ALZHEIMER EN TUNISIE : ETAT DES LIEUX
(Dr S. HAJEM, Médecin Epidémiologiste et Gérontologue et Dr I. KAROUI, Gériatre, Membre De L’Association Alzheimer Tunisie)

15h30
ANNONCE DE LA MALADIE
(Pr R. GOUIDER, Président Du Comité Scientifique De L’Association Alzheimer Tunisie)

15h45
LA PRISE EN CHARGE DE L’AIDANT FAMILIAL
(Dr L. FOURNIS, Gérontologue, Paris – France)

16h15
LA CHARGE DE L’AIDANT FAMILIAL EN TUNISIE
(Dr H. BRIKI, Gériatre, Membre De L’Association Alzheimer Tunisie)

16h30
PLAN NATIONAL ALZHEIMER
(Dr S. HAJEM, Médecin Epidémiologiste et Gérontologue et Dr S. BACCAR, Gériatre, Membre De L’Association Alzheimer Tunisie)

16h45
CENTRE D’ACCUEIL DU JOUR : L’EXPERIENCE FRANÇAISE
(C. OLLIVET, Présidente France Alzheimer, Seine Saint-Denis)

17h15
DEBAT

18h
CLOTURE PAR MADAME LE MINISTRE DES AFFAIRES DE LA FEMME, DE LA FAMILLE, DE L’ENFANCE ET DES PERSONNES AGEES

COCKTAIL

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jeudi 16 septembre 2010

Alzheimer: journée tunisienne, mercredi 22


Les chiffres sont effrayants : 35.6 millions de personnes sont actuellement atteintes de la maladie d’Alzheimer, de par le monde. Elles seront au nombre de 65.7 millions en 2030 et de 115.4 millions en 2050. La Tunisie n’est pas à l’abri de ce fléau. Dans ce cadre l’Association Alzheimer Tunisie, organise une journée le 22 septembre 2010, à l’hôtel Sheraton de Tunis à partir de 14h00 pour célébrer la journée mondiale de la maladie d’Alzheimer.

La maladie d’Alzheimer touche le patient et anéanti sa famille. Ces conséquences sur la vie du malade et de sa famille sont multiples : physiques, psychiques, sociales, économiques et même juridiques. Les rapports internationaux suggèrent que de 40 à 75 % des aidants souffrent de maladies psychologiques importantes du fait de leur situation d'aidants et que de 15 à 32 % d'entre eux souffrent de dépression.

Les efforts actuels réalisés dans le domaine de prise en charge thérapeutique et sociale demeurent insuffisants et doivent être intensifiés selon une stratégie structurée et rigoureuse en prévision de l’épidémie en vue.
« Le thème, retenu par notre association, indique le Pr Leila Alouane, présidente de l’Association Alzheimer Tunisie, «Prise en charge de l’aidant familial: réalités et enjeux», s’intègre dans le thème choisi cette année par l’Association Internationale de la Maladie d’Alzheimer : « Alzheimer, il est temps d’agir ». Notre choix d’action a porté sur la sensibilisation des thérapeutes, familles, entourage et pouvoirs publics, à la nécessité de venir en aide à l’aidant familial principal qui s’occupe du patient Alzheimer, car sa santé physique et mentale conditionne la qualité du soin porté au malade et en conséquence va à la fois améliorer l’état du patient et alléger le fardeau de la maladie. »

«Cette journée, ajoute-t-elle, vise à attirer l’attention de tout le monde sur la grande charge que porte l’aidant familial principal et à essayer de proposer des solutions pour le soulager. »

C’est ainsi que le Pr Gouider communiquera sur l’annonce de la maladie, les Drs Hajem et Karoui dresseront l’état des lieux de la maladie en Tunisie, Drs Fourni et Briki traiteront de la prise en charge de l’aidant familial, en France et en Tunisie, Drs Baccar et Hajem présenteront le programme national, et la présidente de France AlzheimerMme Ollivet évoquera l’expérience des centres d’accueil du jour.

« Le programme, riche et varié, souligne le Pr Alouane, permettra de découvrir les dernières statistiques de cette maladie en Tunisie et sa prévalence ainsi que le plan Alzheimer Tunisie grâce à l’aimable collaboration de l’unité de recherches sur le vieillissement de l’Institut de Santé de Tunis. L’annonce du diagnostic, le suivi du malade et de sa famille, la charge de l’entourage en Tunisie et les solutions de soulagement possibles seront au cœur du débat. Nous profiterons de même, de l’expérience de France Alzheimer, dans le domaine de l’accueil du jour des malades Alzheimer.

A noter que cette journée s’adresse aux familles des malades, aux corps médical, paramédical, ainsi qu’aux représentants des différents ministères, institutions et associations concernés et impliqués dans cette prise en charge. L’entrée est libre et gratuite.


source: www.leaders.com.tn

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la Journée Mondiale de la Maladie d'Alzheimer

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Alzheimer : Plus de 100 000 algériens concernés

25% des personnes atteintes d’Alzheimer, dans les pays en développement, vivent dans leur propre foyer et sont prises en charge par un proche parfois secondé par un professionnel de santé.

25% des personnes atteintes d’Alzheimer, dans les pays en développement, vivent dans leur propre foyer et sont prises en charge par un proche parfois secondé par un professionnel de santé.
La maladie d’Alzheimer représente la troisième cause de décès dans le monde après les maladies cardiovasculaires et le cancer. Elle affecte une personne sur dix âgées de plus de 65 ans.
Quelque 24 millions de personnes à travers le monde souffrent de la maladie d’Alzheimer, dont plus de 4 millions aux Etats-Unis.

C’est sous le thème «La démence, il est temps d'agir! » que la journée mondiale de l’Alzheimer sera célébrée ce 21 septembre. Insister sur la nécessité pour les gouvernements et les familles de prendre toutes les mesures possibles pour améliorer le soutien, l’accès au soin et la prestation de services pour les personnes atteintes de démence et d’Alzheimer est donc la priorité 2010.
Cette date sera l’occasion, pour les différentes associations participants à l’organisation de cette journée, partout dans le monde, de mettre l'accent sur l'importance d'obtenir un diagnostic le plus tôt possible et d'encourager les médecins à reconnaître au plus tôt les signes de la maladie pour une prise en charge précoce de la maladie.
Rappelons que la maladie d’Alzheimer est une maladie neuro-dégénérative qui affecte la mémoire, la pensée, le comportement et l'émotion.
La démence ne connaît pas de différences sociales, économiques, de frontières ethniques ou géographiques. Les personnes touchées ont besoin de soins sur tous les aspects de la vie quotidienne et des familles du monde entier doivent prodiguer ces soins.
La maladie d'Alzheimer est la cause la plus courante de démence et représente 50 à 60% de tous les cas. La démence touche 1 personne sur 20 âgée de plus de 65 ans et 1 personne sur 5 à l'âge de 80 ans. On dénombre 30 millions de personnes atteintes de démence. En 2050, le nombre passera à plus de 100 millions. Encore 25% des personnes atteintes d’Alzheimer, dans les pays en développement, vivent dans leur propre foyer et sont prises en charge par un proche parfois secondé par un professionnel de santé. On estime aux Etats-Unis que les coûts directs et indirects annuels des soins aux personnes atteintes de démence dépasse les 100 milliards de $.
De nombreuses pistes sont aujourd’hui suivies pour améliorer le délai du diagnostic qui intervient souvent plusieurs années après le début du développement de la maladie.
Selon les chiffres du dernier rapport de l’OMS, publié en février 2009, environ 1 milliard d'habitants de notre planète atteints par des troubles neurologiques dont 24 millions par la maladie d'Alzheimer et d'autres démences apparentées qui ne feront que croître avec le vieillissement de la population mondiale.
Cette affection du tissu cérébral qui entraîne la perte progressive et irréversible des fonctions mentales, est classée la troisième cause de décès dans le monde après les maladies cardiovasculaires et le cancer. Elle touche une personne sur dix âgées de plus de 65 ans. En Algérie plus de 100 000 personnes son atteintes de cette pathologie.
L’OMS préconise aujourd’hui l'intégration des soins neurologiques et de la prise en charge de la maladie d’« Alzheimer » dans les soins de santé primaires.

source: www.elmoudjahid.com

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jeudi 9 septembre 2010

Des vitamines B pour combattre le déclin cognitif précurseur d'Alzheimer

LONDRES - Des doses élevées de vitamines B pourraient réduire de 30 à 50% l'atrophie cérébrale chez les personnes affectées par un déclin cognitif modéré, retardant ainsi l'évolution vers la maladie d'Alzheimer, selon une étude anglaise publiée jeudi en ligne sur PLOS One (Public Library of Science One).

L'atrophie cérébrale intervient naturellement avec l'âge, mais il est accéléré dans le cas de déclin cognitif modéré, un état marqué par des pertes de mémoires graves affectant la vie quotidienne, et qui peut être un signe précurseur d'Alzheimer chez les personnes âgées.

Une équipe de l'Université d'Oxford a étudié l'effet d'un groupe de vitamines B sur 168 personnes de plus de 70 ans, diagnostiquées comme souffrant de déclin cognitif modéré.

Pendant deux ans, la moitié d'entre elles ont reçu des doses élevées d'acide folique, B6 et B12. L'autre moitié a reçu un placebo.

En moyenne, le rythme de progression de l'atrophie cérébrale était ralenti de 30% dans le groupe prenant des vitamines B, et pour certains jusqu'à 53%.

"Nous espérons que ce traitement simple et sûr pourrait ralentir le développement de la maladie d'Alzheimer chez beaucoup de gens qui souffrent de déclin cognitif modéré", estime David Smith, un des chercheurs à la tête de l'étude du département de pharmacologie d'Oxford.

Certaines vitamines B (acide folique, B6 et B12) contrôlent le niveau d'homocysteine (acide aminé) dans le sang. Des niveaux élevés d'homocystéine ont été associés avec une atrophie cérébrale accélérée et Alzheimer.

"Ces vitamines ont un effet sur la structure du cerveau, elles la protègent, et c'est très important parce que nous avons besoin de protéger le cerveau pour prévenir un Alzheimer".

D'autres études doivent être menées pour voir si au-delà de l'effet sur l'atrophie cérébrale, les vitamines préviennent effectivement le développement d'Alzheimer chez les personnes atteintes de MCI.

Les vitamines B se trouvent à l'état naturel dans de nombreux aliments (viande, oeufs, poissons, légumes verts). Toutefois, leur administration à haute dose peut avoir des effets secondaires négatifs, comme toute supplémentation non contrôlée.

37 millions de personnes dans le monde, dont 5,3 millions aux Etats-Unis, sont atteintes de démences, la plupart des cas étant dus à la maladie d'Alzheimer, selon l'OMS.

(©AFP / 09 septembre 2010 09h13)
source: www.romandie.com

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Piste prometteuse

La société Alzprotect développe un médicament contre la maladie d'Alzheimer qui sera testé sur l'homme en 2011.
Alzprotect, une start-up qui pourrait bien devenir grande, très grande même avec ses 9 salariés, la petite entreprise de biotechnologie explore une nouvelle approche thérapeutique de la maladie d'Alzheimer. Celle-ci vise à protéger les neurones, assurer leur survie grâce à un traitement précoce de la pathologie.

La recherche est entrée en phase développement préclinique, les 1ers essais sur l'homme sont prévus en 2011.

En 2013, à condition de trouver les 5 à 10 millions d'euros nécessaires, le candidat médicament sera testé sur des patients atteints de la maladie, la mise sur le marché pourrait intervenir au mieux en 2016.

Les plus grands spécialistes de la maladie sont parti prenante de l'aventure.

Alzprotec est soutenu par le pôle Eurasanté et l'Inserm.

165 000 nouveaux cas de maladie d'alzheimer sont diagnostisqués en France chaque année.

source: www.france.fr

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mercredi 8 septembre 2010

Alzheimer, la maladie dégénérative d'une population vieillissante

Alzheimer, la maladie du cortex cérébral ...

Alzheimer est une maladie que l'on craint, atteignant les personnes âgées principalement mais également parfois des plus jeunes. Intéressons-nous principalement aux symptômes de la maladie et à la prochaine journée d'action contre cette pathologie.

Les symptômes de la maladie d'Alzheimer

Cela commence avec la perte de la mémoire immédiate, quelques oublis au début de ce que l’on vient de faire. Cela peut devenir parfois dangereux quand par exemple, on laisse son repas brûler sur le gaz au risque de faire "sauter" tout l'appartement. Les symptômes du début ne sont pas graves mais cela empire durant des années jusqu'à oublier tous ses proches et sa propre identité.

C'est un cauchemar pour la personne qui est atteinte de la maladie d'Alzheimer car elle voit ses facultés disparaître progressivement jusqu’à entrer dans la démence sénile. C’est pourquoi il faut accompagner ces seniors en difficulté ; cela est une épreuve difficile pour l’entourage aussi car la personne atteinte de la maladie peut lui paraître à la fin comme étrangère tellement l'oubli a pris le dessus sur les souvenirs en commun.

Les malades atteints de la maladie d'Alzheimer conservent longtemps leurs souvenirs d'enfance et se sentent beaucoup plus jeunes qu'ils ne sont réellement. Il n'y a pas que les oublis, il y a aussi des incohérences et la perte du contact avec le réel vers la fin de la maladie. Celle-ci est lente : les gens peuvent vivre très longtemps avec cette maladie, ils sombrent très lentement vers l'inconscience. Mais concrètement, que fait-on aujourd'hui pour soulager les patients ?

Le 21 septembre : la journée mondiale de la maladie d’Alzheimer


Il faut savoir que l'on dénombre en France 850 000 malades et 225 000 nouveaux cas sont déclarés tous les ans. La journée mondiale de cette maladie veut se consacrer à l’accompagnement des patients et de leur entourage proche, la formation des professionnels et la recherche clinique. Un train exposition traversera la France à partir du 7 septembre pour accueillir le public, soulager les patients, soutenir le personnel médical et expliquer les fondements de la nouvelle recherche.

Une voiture spéciale exposée par les laboratoires pharmaceutiques Pfizer et Eisai donnera l’occasion aux gens de rencontrer des médecins et des experts. Concernant les nouveautés de la recherche, les efforts se concentrent de nos jours sur l’identification de bio-marqueurs contribuant à un diagnostic plus précoce. Dès les premières étapes de la maladie, des chercheurs du laboratoire Eisai ont réussi à calibrer les IRM autour des zones cérébrales sensibles à la maladie. Les acteurs qui luttent contre la maladie d’Alzheimer se battent sur tous les fronts et aident : les patients, leur entourage et le personnel médical.

Un site Internet pour s’informer sur la maladie d'Alzheimer est en ligne : www.alois.fr ; On a pensé aussi à introduire un carnet de l’aidant dans le cadre de la collaboration avec l’association des neurologues libéraux et des deux laboratoires. Ce carnet permet de répondre aux principales questions concernant cette pathologie pour le malade et sa famille.

Face à la gravité de la maladie et des malades angoissés, un personnel soignant formé

Les patients sont effrayés par cette pathologie lourde et refusent parfois de s’alimenter par exemple. Ils offrent de la résistance face au personnel soignant. Quelquefois ils sont mutiques ou agressifs. Pour les professionnels de la santé, il faut être correctement formé pour savoir faire face à de telles situations. C’est pourquoi il y a un enseignement dispensé à l’institut Alzheimer. Des milliers de soignants ont ainsi été encadrés pour aider au diagnostic, à son annonce à la personne malade, aux traitements et à l'accompagnement de la personne touchée par cette maladie.

Cet institut est le partenaire officiel du Plan Alzheimer et a innové en lançant une action permettant au personnel médical d’acquérir des notions sur l’épidémiologie clinique. Donc, des professionnels de mieux en mieux formés mais de plus en plus de personnes en souffrance, le chiffre énorme de 225 000 nouveaux cas chaque année est très préoccupant. Les patients peuvent rester chez eux au début de la maladie mais ils finissent tous internés vers la fin de la maladie, les conjoints et l’entourage ne peuvent plus faire face à des malades qui se perdent parfois en voulant rentrer chez eux, qui deviennent dangereux sans le vouloir (incidents domestiques).

À la fin de la maladie, seul le personnel médical compétent peut prendre en charge correctement les patients devenus inconscients et désorientés. Triste maladie à laquelle tout un chacun espère échapper. C’est pourquoi soyons solidaires et aimant envers les personnes atteintes de cette maladie grave.

source: wwww.leuromag.com

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Santé Un train-exposition dédié à la maladie a été inauguré hier à Paris


Bernadette Chirac et Roselyne Bachelot (à dr.) étaient hier à la gare de l'Est, à Paris.

Santé Un train-exposition dédié à la maladie a été inauguré hier à Paris

Ironie du sort, en ce jour de grève, il se pourrait bien que l'un des rares trains que vous croisiez soit celui de la lutte contre la maladie d'Alzheimer. Un train pour informer et rappeler qu'un million de personnes en France sont atteintes de cette maladie généralement associée au grand âge. Parmi elles pourtant, 60 000 ont été diagnostiquées avant leurs 60 ans. Michèle Micas, vice-présidente de France Alzheimer, cite même deux cas – exceptionnels – de jeunes atteints à l'âge de 28 et 38 ans. L'existence de lésions présentes dans le cerveau quinze à vingt ans avant les premiers signes de la maladie expliquerait ces diagnostics précoces.

En maison de retraite à 50 ans
Pour ces personnes, encore jeunes et actives, « la cassure est totale », et « l'impact familial désastreux », déplore Michèle Micas. « Pour l'enfant, mais aussi pour le conjoint, c'est dramatique. » Catherine, dont l'époux Stéphane a été diagnostiqué à 47 ans, nous confie ainsi la difficulté de « faire le deuil d'un mari qui n'est plus celui qu'(elle a) connu, mais qui est toujours là ». « Ça a détruit toute la famille, explique cette maman d'un adolescent. D'autant que tout est allé très vite. Trois ans après le diagnostic de la maladie, l'ancien technicien informatique est aujourd'hui contraint d'intégrer une maison de retraite... à 50 ans. Diagnostiquée à 52 ans, Lysiane Victoire-Féron vit encore chez elle, mais a été licenciée de son poste de femme de chambre. Si elle a tenu à conserver une vie sociale, elle redoute de sortir seule, de peur de se perdre, ou, « comme un lion en cage », de parcourir 4 ou 5 fois le même rayon. Mais sa plus grande crainte tient en quelques mots : ne plus reconnaître un jour son mari.
Ingrid Gallou

source:www.20minutes.fr

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mardi 7 septembre 2010

JOURNEE MONDIALE DE LA MALADIE D’ALZHEIMER «PRISE EN CHARGE DE L’AIDANT FAMILIAL : REALITES ET ENJEUX»

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PROGRAMME DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LA MALADIE D’ALZHEIMER « PRISE EN CHARGE DE L’AIDANT FAMILIAL : REALITES ET



Association Alzheimer Tunisie
PROGRAMME
DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LA MALADIE D’ALZHEIMER
« PRISE EN CHARGE DE L’AIDANT FAMILIAL : REALITES ET ENJEUX »
Hôtel Sheraton - 22 septembre 2010

14 h 15
INSCRIPTION

OUVERTURE PAR MONSIEUR LE MINISTRE DE LA SANTE PUBLIQUE

15h
INTRODUCTION
(L. ALOUANE, Présidente De L’Association Alzheimer Tunisie)

15h15
MALADIE D’ALZHEIMER EN TUNISIE : ETAT DES LIEUX
(Dr S. HAJEM, Médecin Epidémiologiste et Gérontologue et Dr I. KAROUI, Gériatre, Membre De L’Association Alzheimer Tunisie)

15h30
ANNONCE DE LA MALADIE
(Pr R. GOUIDER, Président Du Comité Scientifique De L’Association Alzheimer Tunisie)

15h45
LA PRISE EN CHARGE DE L’AIDANT FAMILIAL
(Dr L. FOURNIS, Gérontologue, Paris – France)

16h15
LA CHARGE DE L’AIDANT FAMILIAL EN TUNISIE
(Dr H. BRIKI, Gériatre, Membre De L’Association Alzheimer Tunisie)


16h30
PLAN NATIONAL Alzheimer
(Dr S. HAJEM, Médecin Epidémiologiste et Gérontologue et Dr S. BACCAR, Gériatre, Membre De L’Association Alzheimer Tunisie)

16h45
CENTRE D’ACCUEIL DU JOUR : L’EXPERIENCE FRANÇAISE
(C. OLLIVET, Présidente France Alzheimer, Seine Saint-Denis)

17h15
DEBAT

18h
CLOTURE PAR MADAME LE MINISTRE DES AFFAIRES DE LA FEMME, DE LA FAMILLE, DE L’ENFANCE ET DES PERSONNES AGEES

COCKTAIL

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samedi 4 septembre 2010

Étude Exercer son cerveau repousserait les symptômes de l'Alzheimer

Jouer aux échecs ou faire des mots croisés contribuerait à retarder l’apparition des symptômes de la maladie d’Alzheimer, mais les accélèrerait une fois qu’ils sont apparus.

Une étude publiée ce mois-ci dans le journal Neurology s’est penchée sur un échantillon de 1157 personnes âgées de 65 ans et plus afin de voir comment leur cerveau vieillit en fonction du temps et du mode de vie.

Un déclin plus lent a été observé chez les gens qui s’adonnent aux mots croisés comparativement à ceux qui font moins travailler leur cerveau.

Cependant, l’étude a permis de constater qu’à mesure que le temps avance, l’acuité intellectuelle des gens qui font des mots croisés finit par se dégrader au même niveau que ceux qui n’en font pas.

L’étude révèle aussi qu’une fois que les symptômes et pertes de mémoires apparaissent chez les gens qui exercent leur cerveau, la dégradation de leur condition serait subséquemment plus rapide.

Cela serait attribuable au fait que si les symptômes de la maladie sont retardés chez les gens qui font des mots croisés, leur cerveau ne s’en dégrade pas moins, et souffrirait du retard dans le diagnostic.

(Agence QMI)

source: lcn.canoe.ca

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Analogue de Gleevec pour traiter Alzheimer

Le Dr. Greengard de la Rockfeller University a trouvé qu'avant que le secretase gamma puisse être obtenue et puisse agir sur les plaques amyloïdes (qui générent la maladie d'Alzheimer), la protéine qu'il a découverte, qu'il appelle gamma secretase activating protein, doit commander à l'enzyme de produire la bêta amyloïde.

Et surtout cette protéine nouvellement découverte est employée par l'enzyme uniquement pour la production de béta amyloïde.En la bloquant cela n'exerce aucun effet sur les autres activités de la gamma secretase. Cette sélectivité est donc interessante.

Il s'avère que le médicament anticancéreux GLEEVEC, déjà sur le marché pour traiter des types de leucémies et un cancer rare de l'appareil digestif, bloque cette protéine. Par conséquent, le GLEEVEC bloque la production de la bêta amyloïde. Mais ce médicament ne peut pas être employé pour traiter Alzheimer parce qu'il est "pompé" hors du cerveau aussi rapidement qu'il y entre.

Ceci étant, les chercheurs comme le Pr Rudolph TANZI de Faculté de Médecine de Harvard indiquent qu'il devrait être possible de trouver des analogues de Gleevec qui restent dans le cerveau.

Le travail de Paul Greengard est publié dans Nature.

source : www.rechercheclinique.com

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Mise au point d'un vaccin oral contre la maladie d'Alzheimer

Une équipe de chercheurs menés par le professeur Shoichi ISHIURA de l'université de Tokyo a mis au point et testé sur des souris une méthode de vaccination par voie orale contre la maladie d'Alzheimer.

Rappelons que la maladie d'Alzheimer est une affection neurodégénérative entraînant la perte progressive et irréversible des fonctions cognitives (par exemple la mémoire, l'expression...) et dont le risque de survenue augmente avec l'âge. Les causes de cette pathologie sont encore mal connues. Le cerveau des patients présente deux types d'anomalies caractéristiques : l'agrégation excessive sous forme de plaques d'un peptide, la bêta-amyloïde 42 (Aß42), autour des cellules nerveuses et la formation d'enchevêtrements neurofibrillaires à l'intérieur des neurones causée par une anomalie dans la phosphorylation d'une protéine appelée tau.

Depuis plusieurs années, une voie de recherche explorée dans la lutte contre la maladie d'Alzheimer est la mise au point d'un vaccin capable de stimuler la production d'anticorps anti-Aß42. Pour le moment, cette approche n'a pas encore donné de résultats concluants chez l'homme. En 2001, un vaccin injectable avait atteint les premières phases d'essais cliniques après avoir donné d'excellents résultats sur des modèles animaux. Néanmoins, les essais ont dû être arrêtés à cause de la survenue d'effets secondaires sévères (inflammation cérébrale) chez plusieurs participants. Une hypothèse est que l'un des constituants du vaccin aurait entraîné une réaction immunitaire violente chez ces derniers.

Dans le but de développer un traitement plus sûr et moins coûteux, l'équipe du professeur ISHIURA s'est penchée sur une méthode d'administration alternative : la vaccination par voie orale. Les chercheurs ont d'abord produit par transgénèse des poivrons verts dont les feuilles expriment la protéine Aß42. Un jus produit à partir de ces feuilles a ensuite été donné à boire à des souris de type sauvage, ainsi qu'à des souris modifiées génétiquement pour présenter les caractéristiques de la maladie d'Alzheimer. Les souris qui ont consommé le jus ont effectivement produit des anticorps contre Aß42. Les scientifiques ont pu observer une survie plus longue ainsi qu'une réduction de 70% des plaques amyloïdes dans le cerveau des souris transgéniques qui ont été immunisées. Enfin, peu d'effets secondaires sont survenus ; en particulier, les chercheurs n'ont pas détecté de réaction inflammatoire.

Il convient évidemment de rester prudent : la souris ne développe pas naturellement la maladie d'Alzheimer, d'où l'utilisation de souris transgéniques, et les modèles utilisés sont assez éloignés de l'être humain. Néanmoins, ces premiers résultats sont encourageants et ils représentent un premier pas vers une éventuelle méthode sûre et peu contraignante d'immunisation contre cette pathologie. Le professeur ISHIURA évoque la possibilité d'utiliser un riz transgénique capable d'exprimer Aß42 pour l'application à l'homme.

source: www.bulletins-electroniques.com

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vendredi 3 septembre 2010

Un laboratoire genevois relance l’espoir de soigner la maladie d’Alzheimer


AP | 02.09.2010 | 10:26

SANTÉ | Des essais seront mis en place fin 2011 pour tester un nouveau médicament.

Le laboratoire genevois Addex a annoncé jeudi avoir découvert un médicament prometteur contre certaines formes de la maladie d’Alzheimer. Le début des essais cliniques de phase I est programmé pour fin 2011. La substance, un "modulateur allostérique négatif (NAM) de mGluR2", sera alors administrée à des volontaires sains.

La méthode utilisée représente "une des voies les plus prometteuses pour traiter les symptômes cognitifs de la maladie d’Alzheimer", selon le PDG d’Addex, Vincent Mutel. Il s’est déclaré "très enthousiasmé" par le potentiel de la substance découverte pour améliorer la mémoire mais reconnaît qu’il est "encore très loin de savoir si le médicament sera efficace chez l’être humain".

La maladie d’Alzheimer est une maladie dégénérative du cerveau qui détruit certaines cellules et provoque des pertes de mémoire, ainsi que des troubles de la pensée et du comportement. Il n’existe actuellement pas de remède et "les médicaments commercialisés n’offrent qu’une efficacité modérée et temporaire", a expliqué Addex.

source:www.tdg.ch

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