A propos de L'Association

Alzheimer Tunisie a été fondée le 13 Mars 2006 (JORT N°24 du Vendredi 24/03/2006

Notre association, à but non lucratif, a pour objectif de Contribuer à l'amélioration de la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et d'apporter l'aide et l'assistance à leurs famille.

Pour nous contacter:

email: alzheimer.tunisie@gmail.com
tel: +216 98 61 39 76
adresse postale: BP N°116-Cité El Khadra-1003 Tunis
mardi 30 novembre 2010

Metformine : un antidiabétique confirmé prometteur contre la maladie d'Alzheimer

Des chercheurs de l’université de Dundee (Royaume-Uni) et leurs collaborateurs européens ont découvert que la metformine, un médicament couramment utilisé dans le traitement du diabète de type II, pourrait contribuer à traiter la maladie d'Alzheimer (AD) et également à la prévenir chez les personnes saines.

Un article à paraitre dans les « Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America » (PNAS), montre que la metformine a une influence significative sur l'un des facteurs clés de développement de la MA, activant de manière spécifique la protéine clé PP2A.

Pour Susann Schweiger, Professeur de médecine Moléculaire, qui a dirigé ses travaux, "nos résultats suggèrent fortement que, non seulement chez les patients de diabète de type II, mais aussi chez les personnes saines, la metformine aurait un effet de protection du cerveau et qu’administrée à un stade précoce, ce serait un médicament prometteur dans le traitement de la maladie d'Alzheimer."

La metformine étant un médicament couramment utilisé, elle pourrait donner lieu rapidement à un essai clinique chez les malades d’Alzheimer.
Auparavant l'équipe de Dundee va procéder à un essai pré-clinique dans deux différents modèles de la maladie d’Alzheimer.

Veille de Dominique Monnier, hub viadéo Agir en Alzheimer (Article)

Source : Université de Dundee – 23 novembre 2010 (Article scientifique intégralement disponible sur le site de PNAS : http://www.pnas.org/content/early/2010/11/17/0912793107.full.pdf+html )
source:www.reseau-alzheimer.org

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vendredi 26 novembre 2010

Alzheimer : un point sur cette maladie cérébrale

Pourquoi ? Comment ?

Le Dr Claude Touzard et Céline Foucher, neuropsychologue, de la consultation mémoire de l'hôpital de Laval sont venues expliquer la maladie d'Alzheimer à soixante-dix personnes lundi soir.

Qui est touché par cette maladie ?

Cette pathologie atteint 30 % des plus de 85 ans, 25 % entre 75 et 84 ans et 5 % des 65 à 74 ans. Elle n'a pas de traitement et n'est pas facile à diagnostiquer puisque seul le diagnostic clinique existe pour cette pathologie. « Nous ne connaissons pas la cause de cette maladie. Il n'y a pas de traitement spécifique », explique Claude Touzard.

Plusieurs facteurs de risques existent comme l'âge, les antécédents familiaux, le traumatisme crânien, le terrain vasculaire... mais aussi les facteurs de protection comme le haut niveau socioculturel, la consommation modérée de vin, la consommation de poisson et les loisirs (bricolage, jardinage et voyages).

Que faut-il faire pour retarderle vieillissement de la mémoire ?

On apprend de nouvelles choses à tout âge et la mémoire et le cerveau ne s'usent que si l'on ne s'en sert pas. Un style de vie actif et stimulant, à la retraite, permettrait de retarder les effets du vieillissement de la mémoire.

Pour stimuler la mémoire, on peut apprendre chansons, langues étrangères, sa liste de courses, des numéros de téléphone, faire des mots croisés...

Où en est la recherche ?

Tous les chercheurs se concertent par visioconférence et les laboratoires travaillent ensemble mais on ne peut pas espérer d'éléments positifs avant 4 ou 5 ans.

source:www.ouest-france.fr

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Un excès de cholestérol peut affecter votre cerveau

Une étude anglaise encourage à réduire la part de cholestérol dans notre alimentation. Cette étude publiée le 24 novembre révèle que le fait de consommer régulièrement des aliments très riches en graisse et en cholestérol peut entraîner des lésions cérébrales.

Du fait du dépôt de graisses dans les artères qu'elle peut entraîner, une alimentation riche en cholestérol peut limiter l'afflux de sang au cerveau, ce qui peut à terme entraîner des lésions cérébrales. Les chercheurs britanniques ont ainsi étayé des études plus anciennes révélant un lien entre une alimentation riche en cholestérol et des lésions cérébrales comparables à la maladie d'Alzheimer. Leurs résultats ont été publiés dans Molecular Cellular Neuroscience.


Début novembre, des scientifiques canadiens ont découvert qu'une alimentation riche en noix, avocats et huile d'olive pouvait réduire le «mauvais» cholestérol (LDL-C) de 35% et augmenter le «bon» cholestérol (HDL-C) d'environ 12%.

Alors comment garder un taux de cholestérol équilibré? Parmi les aliments les plus concentrés en mauvais cholestérol on trouve le boeuf, le fromage, les jaunes d'oeufs, le porc, la volaille et les crevettes. David Jenkins de l'Université de Toronto (Canada), recommande de favoriser la consommation de noix, d'avocat, d'huile de tournesol et d'olive et de réduire les glucides raffinés, comme le pain blanc et les nourritures industrielles, pour réduire les taux de LDL-C. Pour réduire son taux de cholestérol, la consommation de fibres solubles est aussi recommandée (10 grammes pour 1.000 calories) avec les céréales complètes, les amandes, les aubergines et le gombo.

Selon la Mayo Clinic, pour réduire son cholestérol en général, il faut:

Faire beaucoup de sport

Manger des aliments à base végétale comme les fruits et les légumes, les céréales complètes et les noix

Remplacer le beurre par l'huile d'olive ou de colza

Utiliser des herbes et des épices plutôt que du sel pour relever les plats

Limiter la consommation de viande rouge à quelques repas par mois

Manger du poisson et de la volaille au moins deux fois par semaine


Parmi les aliments les plus concentrés en mauvais cholestérol on trouve le boeuf, le fromage, les jaunes d'oeufs, le porc, la volaille et les crevettes.


source:http://sante.canoe.com

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mercredi 24 novembre 2010

Découverte pour prévenir l'Alzheimer

BUM
23 novembre 2010

Des chercheurs britanniques de l’Université de Dundee ont découvert que les médicaments Metformin et Resveratrol pouvaient prévenir la maladie d’Alzheimer et d'autres démences.

Le Metformin est utilisé depuis longtemps, de façon sécuritaire, pour gérer le taux de glycémie dans le sang chez les diabétiques. De plus, des études ont mentionné qu’il pouvait prolonger la vie.

Quant au Resveratrol, il s’agit du «médicament miracle» dérivé du composant de certains vins rouges qui est considéré comme un élixir de vie. Il est reconnu pour contrer plusieurs maux liés au vieillissement et certains cancers.

Le Metformin interfère avec une substance de la protéine tau que l’on retrouve dans le cerveau de personnes atteintes de l’Alzheimer. C'est ce qui détruit les cellules de la mémoire. Le Metformin offrirait une protection contre cette destruction et le Resveratrol donnerait ce même genre de protection.

Les scientifiques croient donc que pris ensemble, ces deux médicaments pourraient conserver la bonne santé du cerveau jusqu’à un âge avancé et prévenir la démence, rapporte le journal Proceedings of National Academy of Sciences.

source:http://sante.canoe.com

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mardi 23 novembre 2010

لمواجهة الزهايمر


الدكتورة ليلى علوان الطرابلسي

رئيسة جمعية «الزهايمر» تونس

تأكيد على التشخيص المبكّر للتّقليص

من حدّة المرض ومن معاناة المُرافق العائلي

إنجاز رئاسي هام

بعث مركز طبي للزهايمر: الأول من نوعه في تونس وفي إفريقيا

حلقات تكوين موجهة إلى الأطبّاء والإطارات شبه الطبية

للتعريف بأعراض المرض حتى يتم اكتشافه مبكرا

«الحرية» لطيفة جفال

عندما تشتد حدة النسيان وتتواتر وتضيع من الذاكرة أحداث مشاهد ووجوه فقد حلّ الزهايمر في الجسم.

عندما يفقد الإنسان القدرة على فهم معنى الكلام وتنعدم لديه مفاهيم الزمان والمكان... ويدخل عالم الصمت.

عندما يصاب باختلال في تأدية الوظائف ، وظائف العقل كالأكل والشرب والنوم واللباس...

عندما ينظر إلى ابنه وينكر وجوده ويحاول البحث عنه وهو أمامه فلا يجده لأنه يبحث في حقيقة الأمر عن طفله وهو في سن الصغر، ذلك الوجه الذي علق بذاكرته ولم يعد يرى سواه. تلك هي علامات وأعراض الإصابة بمرض الزهايمر.

هذا المرض الذي اكتشفه الألماني لويس الزهايمر سنة 1906 بات يهدد المسنين خاصة، إذ تبلغ حالات الإصابة به 35 مليونا في العالم مع إمكانية مضاعفته بأربع مرات سنة 2050 وهو يصيب كل فئات المجتمع امرأة كان أو رجلا.

وحسب دراسة أنجزت بين سنتي 2003 و2005 فإن هناك 3.7٪ في تونس يصابون بداء الخرف منهم 70٪ حالات زهايمر.

للاطلاع على خصوصيات هذا المرض وطرق الوقاية منه وسبل علاجه وضروراته الحياتية التقت «الحرية» بالدكتورة ليلى علوان الطرابلسي رئيسة جمعية «الزهايمر» تونس والتي تعد الجمعية الوحيدة المختصة في هذا المرض والهادفة إلى ترسيخ الأبعاد الاجتماعية أكثر من العمل على الجانب الطبي نظرا لخصوصية هذا المرض والهادفة إلى ترسيخ الأبعاد الاجتماعية أكثر من العمل على الجانب الطبي نظرا لخصوصية هذا المرض الذي يرتبط ارتباطا كبيرا بالعائلة وبمحيط المريض.

بعثت الجمعية في مارس 2006 وتسعى ضمن برامجها المختلفة إلى مساعدة أسر المرضى عن طريق التعريف بالمرض والتوقف عند خصوصياته وإعطاء الحلول الممكنة للتعامل مع المريض مما يساهم في التقليل من حدة المرض تقول السيدة ليلى «نحن نعمل على إرساء وتوجيه المسن والمرافق أيضا، نحو مصالح العلاج في القطاع العام ومصالح استرجاع المصاريف، ونربط الصلة بين المرافق والمصالح الطبية. ونسعى أيضا إلى توفير المساعدة العينية للمرضى المعوزين أو ذوي الاحتياجات الخصوصية من خلال إرساء شبكة من العلاقات مع المتبرعين وأصحاب الشركات الخاصة لتقديم هذه المساعدات لمرضى الزهايمر».

التعريف بالمرض

لا يقتصر عمل الجمعية على المواكبة المناسباتية بل هي أنشطة على طول السنة من خلال تنظيم ورشات عمل تهدف إلى التحسيس والتوعية والتثقيف تنظم على ثلاثة أسابيع في مقر الجمعية بالمنزه وهي مفتوحة للجميع ويمكن الاتصال بالجمعية و ا لتعرف على أنشطتها عبر:

البريد الإلكتروني: Alzheimer.tunisie@gmail.com

وموقع الواب: www.alzheimertunisie.com

وتضم حلقات الحوار في كل مرة عديد الاختصاصات ذات العلاقة مع هذا المرض على غرار أخصائي في علم التغذية، أو في علم النفس أو في طب الشيخوخة أو في المسائل القانونية أو في طب الأعصاب...

هذا إضافة إلى استضافة بعض التجارب الدولية في التعامل مع المرض من خلال بعض الندوات .

وفي إطار رئاسة تونس لمنظمة المرأة العربية من المنتظر أن تنظم الجمعية ندوة عربية حول مرض الزهايمر خاصة أن الدول العربية مهددة بالتهرم السكاني إضافة إلى تقلص النواة الأسرية مما يطرح بشدة مسألة مرافقة المريض وإقامته.

اليوم العربي للمسن

وضمن حديثها عن رئاسة تونس لمنظمة المرأة العربية أشادت محدثتنا بصواب الخيارات الاستراتيجية للسيدة ليلى بن علي من خلال اهتمامها بالفئات ذات الاحتياجات الخصوصية، وثمنت مبادرتها الريادية في بعث اليوم العربي للمسنين الذي يحتفل به العالم العربي كل يوم 25 سبتمبر.

حلم يتحقق

كما تطرقت إلى الإنجاز الرئاسي الهام الذي كان حلما وتحقق مؤخرا لفائدة مرضى الزهايمر وهو بعث المركز الطبي للزهايمر بمنوبة والذي يعدّ الأول في تونس وفي إفريقيا.

وأضافت أن هذا الإنجاز الهام يندرج ضمن تنفيذ البرنامج الرئاسي «معا لرفع التحديات» الذي أذن فيه رئيس الدولة بتوفير الظروف الملائمة لشيخوخة نشيطة في ظروف صحية واجتماعية ملائمة من خلال الوقاية من التعكرات الصحية لدى المسن وتعزيز اندماجه في محيطه الاجتماعي والتكفل الصحي به.

التقليص من حدة المرض

وأكدت أن لهذا المركز دورا كبيرا في التشخيص المبكر الذي من شأنه أن يقلص من حدة المرض عبر الانطلاق في معالجته منذ البداية قبل استفحاله، إضافة إلى التقليص أيضا من معاناة المرافق العائلي.

إذ تتوفر بهذا المركز كل المرافق الصحية ولا يحتاج المريض مستقبلا إلى التنقل بين الأطباء والمستشفيات ومخابر التصوير والتحليل بل يقوم بكل ذلك بالمركز على غرار التحليل الدموي، العيادة النفسية والعلاج الوظيفي، التحليل بالرنين، الأدوية...

حلقات تكوين

وأكدت محدثنا على أهمية التشخيص المبكر لحماية المريض من تعكر حالته.

ويساهم في ذلك بالأساس طبيب العائلة لارتباطه المباشر بمحيط المريض وأطباء المستوصفات من خلال لقاءاتهم الدورية بالمرضى المسنين منهم خاصة.

وتسعى الجمعية من خلال برنامج حلقات تكوين موجهة إلى الأطباء والإطارات شبه الطبية إلى التعريف بأعراض المرض حتى يتم اكتشافه مبكرا.

هذا إضافة إلى الحرص على تكوين أعوان الإحاطة الحياتية ليس معينا منزليا أو ممرضا بل يتلقى تكوينا ضمن برنامج التدريس بمدرسة التمريض ويستفيد من بعض التربصات في المستشفيات العمومية ليكون قادرا على الإحاطة بمريض الزهايمر، بمقر إقامته.

تكوين أعوان الإحاطة الحياتية

ويندرج تكوين أعوان الإحاطة الحياتية في إطار الاستثمار بمراكز إيواء المسنين وفي إطار توفير مواطن شغل مستحدثة تستجيب لحاجيات المجتمع وفي هذا الاتجاه اقترحت محدثتنا ضرورة إحداث مراكز نهارية خاصة بمرضى الزهايمر لإيوائهم كامل النهار مما يخفّف العبء على المرافق العائلي ويساهم في معالجة المريض عبر عديد الأنشطة الفكرية والألعاب الترفيهية،كما دعت إلى ضرورة اعتبار مرض الزهايمر من الأمراض التي تسترجع المصاريف كليا،وهو محور بصدد الدراسة حسب محدثتنا من قبل مختلف الأطراف المتدخلة.

وعن تساؤل حول أسباب بروز هذا المرض ذكرت محدثتنا أن هذا المرض قديم ولكن لم يتم تشخيصه بل يبدأ الإصابة به بالخرف في حين أن الزهايمر هو نوع من أنواع الخرف ولم يكن بارزا لأن أمل الحياة كان ضعيفا.

أما اليوم ومع تطور أمل الحياة وتوفر الإمكانيات الطبية فإن الزهايمر ليس بتخلف ذهني لغياب أي خلل عقلي بل هنا اختلال في تأدية الوظائف وهو ركود في بعض وظائف العقل.

فرضيات

وفيما يتعلق بأعراضه فهي النسيان الذي يتحول إلى حالة مضرة بالمريض وبمحيطه. وتكمن خطورة المرض في صعوبة تشخيصه وفتح المجال لعديد الفرضيات الأخرى، إذ عادة لا يتم تحديد مرض الزهايمر إلا بعد تفنيد كل الاحتمالات كمشاكل الضغط النفسي أو الورم السرطاني في المخ أو الانهيار العصبي...

هذا إضافة إلى عدم تقبل المحيط لبعض أعراض هذا المرض مثل نكران الأب لابنه أو عدم النوم ليلا نهارا أو عدم القدرة على الفصل بين الليل والنهار) أو رغبة المريض في الخروج نحو بيته رغم أنه في منزلة (لأن المكان الذي يقصده والذي بقي في ذاكرته هو مسقط رأسه هو البيت الذي ولد فيه).

وفي بعض الأحيان النادرة يبدو المريض سليما قادرا على الحوار والتجاوب مع الآخر.

نسيان المكان والزمان

ومع تواصل الحالة المرضية وعدم تشخيصها يزداد الوضع تعكرا مع نسيان المكان والزمان ومعنى الكلام فيغيب الحوار خوفا من الخطإ في تبليغ المعلومة.

وأضافت محدثتنا أن مريض الزهايمر لا يشفى بل يمكن التقليص من حدة المرض وإطالة الفترة الزمنية التي يكون فيها المريض قادرا على الاندماج في محيطه من خلال التقليص من سرعة تآكل الخلايا عبر الدواء والمعاملة.

من هنا تؤكد الدكتورة ليلى علوان الطرابلسي أن أقل من 5٪ من الإصابات هي حالات وراثية وتتعلق بسن أقل من 65 سنة أما بعد 65 سنة فيبلغ معدل الإصابة 95٪.

وفيما يتعلق بأسباب إتلاف خلايا المخ وتسريع هذه العملية فيتمثل أساسا في التدخين، مرض السكري، الضغط الدموي وبصفة عامة فهي الأمراض المزمنة.

إضافة إلى التغذية غير المتوازنة والخمول الذهني والوحدة...

وعن إمكانيات الوقاية من المرض فتؤكد محدثتنا أن الأمر مرتبط بالصحة بشكل عام ويمكن تفادي المرض أو التقليص من نسبة الإصابة به من خلال الغذاء المتوازن ممارسة الرياضة، انتظام السكري وضغط الدم، ممارسة الألعاب الفكرية لتنمية الذاكرة.

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جمعية الزهايمرعلي قناة تونس 7


جمعية الزهايمرعلي قناة تونس 7 في برنامج نقطة ضوء وهو برنامج إجتماعي يعنى بالعمل الجمعياتي في تونس ويسعى إلى إبراز أنشطة الجمعيات وما حققته من انجازات لفائدة المنتفعين بخدماتها.

و ذلك يوم الاربعاء 24 نوفمبر ابتداء من الساعة 17:30 مساء

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samedi 20 novembre 2010

un lien interessant pour suivre toutes les actualites sur la maladie d'alzheimer...

http://journals.lww.com

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vendredi 19 novembre 2010

L'étude à Lyon d'un ver hermaphrodite explique pourquoi l'homme naît "jeune"

Une étude du CNRS à Lyon d'un petit ver hermaphrodite a permis de comprendre le mécanisme permettant à l'homme de naître "jeune", sans hériter des cellules de ses parents, une avancée pouvant améliorer l'étude de maladies dégénératives comme Alzheimer ou Parkinson.
"Notre travail a consisté à visualiser le moment très précis où le vieillissement accumulé dans les cellules des parents est +remis à zéro+" avant la naissance, a déclaré jeudi à l'AFP le professeur Hugo Aguilaniu, responsable de l'étude au laboratoire de biologie moléculaire du CNRS à l'Ecole Normale Supérieure (ENS) de Lyon.

Publiée récemment dans la revue spécialisée anglaise "Aging Cell" ("Cellule Vieillissante"), "l'étude a mis en évidence dans le processus de reproduction très rapide d'un ver hermaphrodite baptisé C-Elegans un rajeunissement brutal de ses ovules lors de leur maturation et avant leur fécondation".
Ce mécanisme s'explique, selon le scientifique, par l'activation d'"un ensemble d'enzymes", qui remplacent dans les ovules "les vieilles protéines héritées du parent" par "d'autres toutes neuves" pour le futur embryon.
"Cette découverte est essentielle car, dans ce mécanisme, il y a des solutions à découvrir pour prévenir chez l'homme des maladies dégénératives liées au vieillissement comme le cancer, Alzheimer ou Parkinson, qui explosent avec l'allongement de la durée de la vie", a poursuivi le professeur Aguilaniu.
Chez la brebis Dolly, premier mammifère à être cloné, ce rajeunissement cellulaire n'a pas fonctionné. A sa naissance en 1996, elle "avait cinq ans d'âge", rappelle-t-il, et avait présenté rapidement des signes de vieillissement avancés. Elle est morte en 2003.
"On ne permettra pas à l'homme de rajeunir mais de ralentir son déclin physique lié à l'âge", a nuancé le chercheur qui espère la réalisation d'études "dans les dix ans à venir" sur un ovule humain.
source:www.leparisien.fr

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jeudi 18 novembre 2010

Détecter la maladie d'Alzheimer en 30 secondes


Des scientifiques sont parvenus à mettre au point un test qui permettrait de détecter la maladie d’Alzheimer en seulement 30 secondes, nous apprend The Telegraph.

Ce test s’adresserait aux gens dans la quarantaine. Un ordinateur rechercherait de minuscules lésions au cerveau indiquant les risques de développer la maladie plus tard.

Durant les essais, sur des personnes de 44 à 48 ans, on a repéré des lésions de la taille d’un grain de riz. 15% des 428 volontaires présentaient cette anomalie remarquée sur le cerveau de personnes décédées qui avaient la maladie d’Alzheimer.

Ce diagnostic précoce permettrait aux patients de prendre des mesures afin de pouvoir retarder le plus possible l’apparition des symptômes de l’Alzheimer, dont les pertes de mémoire et la confusion.

On croit que cet examen pourrait être offert au grand public d’ici quelques années et aussi facilement accessible que les simples tests pour vérifier la pression sanguine.

source:fr.canoe.ca

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jeudi 11 novembre 2010

Une nouvelle immunothérapie pour stopper la progression de la maladie d'Alzheimer

Un groupe de recherche international, sous la direction de l'Université de médecine de Göttingen (Basse-Saxe), a montré que son nouveau traitement contre la maladie d'Alzheimer permettait un arrêt de la progression de la maladie chez la souris. Ces résultats ont été publiés en ligne sur le site du "Journal of Biological Chemistry" le 22 octobre 2010.

La maladie d'Alzheimer est l'une des plus grande cible de la recherche médicale actuelle. En effet, environ 1,2 million de personnes en sont atteintes en Allemagne, et plus de 800.000 en France. De plus, la maladie touchant en particulier les personnes âgées, la menace devrait s'étendre encore davantage avec le vieillissement de la population. De nombreux programmes de recherche sont donc actuellement en cours pour mieux la comprendre et la traiter. Cependant, la cause réelle des symptômes observés - troubles de la mémoire, altération du langage, des gestes et de la motricité entres autres - reste incertaine, et on dénombre de multiples hypothèses quant à leur origine.

La formation de "plaques amyloïdes", correspondant à l'agrégation d'un peptide nommé bêta-amyloïde, autour des neurones a été associée depuis quelques années à la maladie. Plusieurs études cliniques ciblant ces structures spécifiques sont donc en cours. Cependant ces plaques caractéristiques ont aussi été découvertes chez des personnes saines, créant une controverse dans le milieu de la recherche médicale. Certains scientifiques ont donc décidé de chercher l'origine de la maladie en amont de la formation des plaques.

L'équipe du Professeur Thomas Bayer, du département de psychiatrie et psychothérapie de l'Université de Göttingen, avait montré, en 2009, que la présence d'une forme de bêta-amyloïde modifiée, l'A-bêtapE3, libre à l'intérieur des neurones était neurotoxique et probablement liée à la maladie d'Alzheimer. Ils ont alors créé un anticorps se fixant à ce peptide, afin de réaliser un nouveau vaccin passif [1] contre la maladie d'Alzheimer.

De nombreux vaccins, passifs et actifs, sont en effet déjà en cours d'essai pour cette indication thérapeutique. Concernant ce nouveau traitement, le groupe de chercheur a montré qu'il était possible d'arrêter la progression de la maladie d'Alzheimer chez des souris artificiellement modifiées afin qu'elles présentent ses symptômes. "Avec cette forme de vaccination passive, nous ne pouvons probablement pas engendrer de guérison, mais les résultats de nos recherches montrent que l'anticorps peut manifestement stopper la progression de la maladie d'Alzheimer.", a déclaré le Professeur Bayer. Une étude clinique sur des humains devrait commencer d'ici deux ans, et pourrait permettre de mettre au point un nouveau vaccin prometteur dans le traitement de la maladie d'Alzheimer.
source:www.bulletins-electroniques.com

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mercredi 10 novembre 2010

Le bilinguisme freinerait Alzheimer

Le bilinguisme pratiqué quotidiennement retarde de plusieurs années l'apparition de symptômes de la maladie d'Alzheimer chez les personnes âgées, selon une étude publiée aujourd'hui par un groupe de chercheurs canadiens.

Ce délai de grâce peut aller jusqu'à cinq ans, un résultat qu'aucun médicament existant ne permet actuellement, selon cette étude réalisée par l'institut Rotman du centre de recherches gériatriques Baycrest de Toronto et publiée dans la revue Neurology.

Ses auteurs ont examiné les dossiers médicaux de plus de 200 patients chez qui la maladie d'Alzheimer avait été diagnostiquée et ont constaté que ceux qui avaient parlé souvent deux ou plus de deux langues pendant plusieurs années bénéficiaient d'un délai allant jusqu'à cinq ans dans l'apparition de symptômes de perte de fonctions mentales. L'équipe de chercheurs comprend notamment un spécialiste connu de la cognition, le Dr Fergus Craik, de l'institut Rotman, un expert en bilinguisme, le Dr Ellen Bialystok, de l'université York, et un spécialiste de la maladie d'Alzheimer, le Dr Morris Freedman.

"Nous ne disons pas que le bilinguisme peut prévenir la maladie d'Alzheimer ou d'autres désordres cérébraux, mais il peut contribuer à créer des réserves cognitives dans le cerveau qui semblent retarder l'apparition de symptômes d'Alzheimer pendant un bon bout de temps", a déclaré le Dr Craik, cité dans un communiqué de Baycrest. Ces symptômes sont la perte de mémoire, la confusion et les difficultés pour résoudre des problèmes et prévoir les événements à venir.

Les découvertes de l'équipe du Dr Craik s'ajoutent à d'autres recherches scientifiques selon lesquelles des facteurs tels que l'exercice physique et une alimentation saine peuvent aider le cerveau face au déclin de ses capacités cognitives.
source:www.lefigaro.fr

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mardi 9 novembre 2010

Alzheimer : six conseils pour l’éviter !


Optez pour les vitamines E et C
Certaines vitamines sont conseillées pour prévenir la maladie d’Alzheimer.
C’est le cas par exemple des vitamines E et C ! Selon deux études publiées en 2002 dans le Journal of American Medical Association (JAMA), leurs propriétés antioxydantes favoriseraient la prévention de cette maladie. L’apport conseillé en vitamine E est de 12 mg par jour, et pour la vitamine C de 110 mg par jour.
- Les aliments riches en vitamine E sont : les huiles végétales, les céréales, les fruits secs (noix, amandes, etc.), la patate douce, les mangues. Les aliments riches en vitamine C sont : cassis, poivron, citron, chou-fleur, melon, orange...

Essayez la vitamine B
Selon une récente étude suédoise, les vitamines B12 et B9 (folate) préviendraient la maladie d’Alzheimer. Pour preuve, parmi les 370 personnes âgées de plus de 75 ans et suivies pendant trois ans par les chercheurs, 78 ont développé une forme de démence sénile, dont la maladie d’Alzheimer. Or, sur ces 78 participants, 46 avaient une déficience en vitamine B12 ou B9. L’explication ? Le déficit en ces deux vitamines renforcerait la mort des neurones, un phénomène fortement impliqué dans la maladie d’Alzheimer.
- Les aliments riches en vitamines B12 et B9 sont : bananes, légumes, brocolis et légumineuses (haricots, petits pois, pois fleur, melon, orange...

Mangez du poisson
Selon une étude américaine, un régime riche en oméga-3 réduirait de 47 % le risque de développer la maladie d’Alzheimer. Il constitue aussi un bon moyen de prévention des maladies cardio-vasculaires. Les acides gras oméga-3 sont particulièrement présents dans le saumon, les sardines, le maquereau et le thon. L’huile de poisson, moins riche, est aussi une source intéressante en oméga-3.
Pour de meilleurs résultats, il est conseillé de consommer au moins deux portions de poisson par semaine.

Faites un peu d’exercice !
Selon une étude américaine réalisée sur 1 740 patients, âgés de 65 ans et plus, faire de l’exercice au moins trois fois par semaine réduirait jusqu’à 40 % le risque de développer la maladie d’Alzheimer ! Pourquoi ?
- Un, parce que le sport améliore la santé cardio-vasculaire, notamment en diminuant le risque d’obésité et de diabète, ce qui a des effets bénéfiques sur le cerveau.
Deux, parce que l’exercice physique réduit les risques d’hypertension artérielle et d’athérosclérose (encrassement des artères), qui favorisent la survenue d’une maladie d’Alzheimer. Il est conseillé de faire au moins une demi-heure de marche à pied par jour.

Stimulez votre cerveau !
Jouer aux échecs, aux dames, faire des mots croisés, des sudoku ou encore lire de nouveaux genres littéraires stimulerait le cerveau et la mémoire, et diminuerait ainsi le risque de développer la maladie d’Alzheimer. C’est ce qui a été démontré par le Dr Robert Wilson de l’université Rush à Chicago. Après 5 ans de recherches menées sur 775 personnes âgées d’environ 80 ans, les personnes qui s’adonnaient à des activités de réflexion avaient un risque d’Alzheimer 40 % plus faible !

Ne restez pas seul !
Rester socialement actif, voir régulièrement ses amis, ses voisins et les membres de sa famille préviendrait la survenue de la maladie d’Alzheimer. C’est ce qui a été avancé par les chercheurs du centre médical de l’université Rush de Chicago. Ils ont pour cela évalué la solitude et la démence chez 823 personnes, âgées de 81 ans en moyenne, pendant plus de quatre ans.
Leur explication ? La solitude diminuerait les capacités sociales et affaiblirait le système neuronal qui serait moins apte à pallier les problèmes liés à l’âge, tels que la maladie d’Alzheimer.
source:www.elmoudjahid.com

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dimanche 7 novembre 2010

Du trouble de la mémoire à la maladie d'Alzheimer

Brusque La conférence donnée dernièrement par Jacques Touchon dans la salle Saint-Thomas, sur le thème 'Du trouble de la mémoire à la maladie d'Alzheimer: quelles actions de prévention?', a attiré un auditoire nombreux et captivé par l'exposé et les explications du professeur montpelliérain. Qui ne se plaint pas de sa mémoire:
«Je suis venu à la cuisine chercher quelque chose, je ne me rappelle pas quoi.» Il y a plusieurs formes de mémoire: celle du court terme et celle du long terme. Le court terme sert tout le temps: se tenir sur le vélo, conduire sa voiture, savoir nager, ce qui est acquis une fois pour toutes. Dans le long terme, on trouve la mémoire sémantique (ou de culture générale, avec des données communes comme par exemple le 14 juillet, fête nationale), la mémoire épisodique,
qui regroupe les épisodes de notre vie (ce que je viens de faire et mes événements vécus, c'est la plus fragile), et la mémoire procédurale, celle des gestes qu'il faut faire (c'est la plus solide). Plus on répète, plus on consolide notre mémoire. On se plaint d'avoir des trous de mémoire alors que l'on devrait se plaindre de ne pas trouver le mot juste ou un nom propre. Mais ce n'est pas un trou de mémoire puisque, en cinq minutes, on le trouve, c'est un trouble du langage et non de la mémoire. En vieillissant, on s'inquiète de plus en plus, notre cerveau vieillit, c'est normal. Notre cerveau fonctionne plus lentement, il a de plus en plus de difficultés pour focaliser l'attention ou acquérir de nouvelles connaissances. Qu'est-ce qui peut altérer le bon état de marche de notre mémoire? Le manque de sommeil, l'apnée du sommeil, certains médicaments calmants, l'alcool, l'anxiété ou la dépression. En 1906, Aloïs Alzheimer découvre le premier cette maladie. 800000personnes en souffrent et chaque année 225000nouveaux cas sont découverts. Si l'on ne trouve pas de médicaments pour bloquer cette maladie, elle va représenter de vrais problèmes économiques, politiques, ethniques. Remercions vivement le professeur Jacques Touchon pour cette conférence sur une maladie qui nous laisse perplexe devant sa complexité de plus en plus diagnostiquée. Faisons confiance à tous ces chercheurs pour trouver à un plus ou moins court terme un médicament préventif et curatif. Merci aussi à toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de cette conférence au village, ainsi qu'aux divers élus, médecins et directeurs d'établissements pour leur présence responsable.
Un auditoire nombreux et captivé par l'exposé du Pr Jacques Touchon.


source:www.midilibre.com

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samedi 6 novembre 2010

Alzheimer: retarder le placement en institution


Alzheimer: le placement en institution

Le poids qui pèse sur les épaules des patients atteints de la maladie d’Alzheimer et de leurs proches peut être énorme. Avec les années, les capacités cognitives s’altèrent inéluctablement. Viennent d'abord les petits oublis… puis apparaissent parfois les changements de personnalité, les fugues… menant à des situations difficilement tenables pour les aidants proches, conjoints, famille, amis. Quand la situation à la maison est devenue ingérable, le placement en institution se profile alors bien souvent comme le dernier recours. Un placement bien souvent vécu comme un échec par les familles mais qu'il serait possible de repousser en combinant les traitements selon les résultats d'une étude publiée dans le Journal of Neurology, Neurosurgery and Psychiatry.

Des traitements en combinaison

Les traitements utilisés dans le cadre de la maladie d’Alzheimer ne visent pas à guérir la maladie mais à atténuer les symptômes et à freiner son évolution, ce qui permet d'améliorer la qualité de vie des patients. On en connaît deux sortes: les anticholinestérasiques et la mémantine. Des chercheurs américains se sont intéressés à ces traitements et ont tenté de découvrir leurs effets lorsqu’ils étaient utilisés simultanément. Ils ont suivis 943 patients pendant plus de 20 ans afin de déterminer quelle influence pouvait avoir la combinaison de ces deux types de médicaments sur le placement en institution d’un patient atteint de la maladie d’Alzheimer.

Retarder le placement

Les patients qui combinaient les deux traitements avaient un risque plus de trois fois moindre d’être placés en institution que les patients qui n’étaient traités qu’à l’anticholinestérasique. Ce qui laisse supposer selon les chercheurs que la mémantine renforcerait l’effet de ce dernier traitement. La combinaison semble ainsi améliorer les capacités de communication, leur état fonctionnel et leur qualité de vie, leur permettant de cette manière de rester plus longtemps à la maison.


O. L. Lopez et al.Long-term effects of the concomitant use of memantine with cholinesterase inhibition in Alzheimer disease. J Neurol Neurosurg Psychiatry. 2009;80:600-607.

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vendredi 5 novembre 2010

Le jus de betterave bénéfique pour le cerveau


Le jus de betterave augmente le flux sanguin dans le cerveau chez les personnes âgées, ce qui pourrait protéger contre la démence (dont la maladie d'Alzheimer) selon une étude publiée dans la revue Nitric Oxide: Biology and Chemistry.

Les betteraves contiennent de fortes concentrations de nitrates qui sont transformés en nitrites lors de la digestion. Des études précédentes ont montré que les nitrites, également présents en concentrations élevées dans le céleri, le chou et d'autres légumes-feuilles comme les épinards, dilataient les vaisseaux sanguins dans l'organisme. La présente étude montre qu'ils augmentent aussi le flux sanguin dans le cerveau.
"Il y a des zones du cerveau mal perfusées avec l'âge, ce qui est considéré comme favorisant la démence et le déficit cognitif", indiquent les auteurs.

Daniel Kim-Shapiro et Gary Miller de l'Université Wake Forest ont mené cette étude avec 14 personnes âgées de plus de 70 ans. Des images cérébrales par résonance magnétique ont montré, après une alimentation riche en nitrate, une augmentation du flux sanguin vers la matière blanche des lobes frontaux qui sont les zones du cerveau les plus couramment associées à la dégénérescence conduisant à la démence et d'autres affections cognitives.
source:www.psychomedia.qc.ca

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Lien entre Alzheimer et diabète de type 2 : un mécanisme potentiel

Selon des chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine, PGC-1 alpha (PPARgamma coactivator-1alpha) est un dénominateur commun entre le diabète de type 2 et la maladie d’Alzheimer (MA).
Communiqué Mount Sinai School of Medicine (New York) – 12 octobre

Selon des chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine, PGC-1 alpha (PPARgamma coactivator-1alpha) est un dénominateur commun entre le diabète de type 2 et la maladie d’Alzheimer (MA).

Les scientifiques pensent qu’ils vont pouvoir manipuler pharmacologiquement PGC-1alpha pour empécher l’accumulation de bêta -sécrétase dans le cerveau et réduire la formation de bêta-amyloïde.

Une stratégie potentielle de prévention et de nouveaux traitements de la MA.


Cette étude, publiée ce mois ci dans Aging Cell, fournit un aperçu d'un mécanisme potentiel qui pourrait expliquer la relation entre diabète de type 2 et l'apparition et la progression de la MA.

Le co-régulateur de transcription des gènes PGC-1 alpha est en effet un régulateur clé du glucose actuellement examiné comme cible thérapeutique potentielle pour le diabète de type 2, et les chercheurs montrent dans un modèle de MA chez la souris que son expression est diminuée dans la MA.
Ils ont constaté que PGC-1 favorise la dégradation de la bêta-sécrétase (BACE), directement impliquée dans le traitement et, éventuellement, la production de bêta-amyloïde, protéine anormale fortement liée à la maladie d'Alzheimer et la dégénérescence du cerveau.
source:www.viadeo.com

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jeudi 4 novembre 2010

Toulouse au coeur de la lutte contre Alzheimer et le vieillissement



Toulouse se place cette semaine au coeur de la lutte contre la maladie d'Alzheimer en accueillant le principal congrès mondial sur les essais thérapeutiques et en déposant vendredi à Paris sa candidature comme Institut hospitalo-universitaire (IHU), leader national en gérontologie.

Le professeur Bruno Vellas, président de l'association internationale de gérontologie et gériatrie, a salué mercredi devant la presse l'ouverture du CTAD (clinical trails on Alzheimer's Disease) qui réunit du 3 au 5 novembre plusieurs centaines de chercheurs du monde entier.

Pour l'Américain Paul Aisen, membre du comité d'organisation, "il est possible que nous ayons une avancée majeure dans les deux ans, et très probable d'ici à 10 ans".

Les chercheurs, dont 50% viennent des Etats-Unis, vont échanger jusqu'à vendredi sur les différents types d'essais thérapeutiques réalisés au cours de l'année écoulée sur la maladie qui se traduit par une dégradation du cerveau sous l'effet de protéines anormales.

Outre les essais de molécules visant les dépôts d'amyloïdes dans le cerveau, "pour certains décevants" selon les organisateurs, le CTAD se penchera sur les essais visant une autre protéine anormale, "tau", mais aussi sur une troisième voie de recherche, concernant "les molécules qui renforcent le cerveau pour résister aux agressions", selon Paul Aisen.

"Cette voie de l'immunothérapie est la plus prometteuse, un essai est très avancé dont nous aurons le résultat dans deux ans", a précisé un autre chercheur américain, Michaël Wiener.

Le Professeur Françoise Forette, directrice de la fondation nationale de gérontologie, estime que "plusieurs personnes trouveront plusieurs médicaments, et on les associera". "On va sans doute vers une multithérapie comme pour le sida ou le cancer", selon elle.

Les participants ont également souligné que les progrès de la recherche permettaient de détecter désormais la "signature biologique" de la maladie, par IRM ou ponction lombaire, avant même qu'elle ne produise des symptômes, facilitant ainsi la prévention.

Le nombre de malades d'Alzheimer et des démences apparentées devrait doubler en 20 ans sous l'effet du vieillissement des populations, pour approcher 66 millions de personnes dans le monde en 2030. On en compte déjà 850.000 en France.
Copyright © 2005 AFP.
source:www.lesechos.fr

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mercredi 3 novembre 2010

La marche: pour le bienfait de vos neurones


RelaxNews

Une nouvelle étude révèle que le fait de marcher environ 9,5 kilomètres par semaine peut aider à la bonne santé de votre cerveau sur le long terme.

Une recherche publiée dans l'édition du 13 octobre de la version Internet de Neurology suggère que la marche pourrait éviter au cerveau des personnes âgées de rétrécir et de ce fait pourrait préserver la mémoire des personnes vieillissantes.

«La taille du cerveau rétrécit avec l'âge, ce qui peut entraîner des problèmes de mémoire», explique l'auteur de l'étude Kirk Erickson de l'Université de Pittsburgh (États-Unis) dans un communiqué de presse. Et d'ajouter, «nos résultats devraient encourager les essais bien encadrés d'exercice physique chez les personnes âgées comme des approches prometteuses pour éviter la démence et la maladie d'Alzheimer».

Pour l'étude, l'équipe de chercheurs à demandé à 299 seniors sans problèmes de démence d'enregistrer le nombre de kilomètres qu'ils parcouraient chaque semaine. Après neuf ans, les scientifiques ont scanné les cerveaux des participants pour en mesurer la taille. Quatre années plus tard, les participants furent testés pour voir s'ils n'avaient pas développé de signes de démence.

Au bout de neuf ans, les personnes qui parcouraient environ 9,5 kilomètres par semaine avaient plus de matière grise que les personnes qui marchaient moins. Quatre années plus tard, les chercheurs ont découvert que les sujets qui parcouraient le plus de kilomètres à pieds avaient divisé leur risque de développer des problèmes cérébraux par deux.

Cette étude n'est pas la première à relever les bienfaits de la marche chez les aînés. Par exemple, au printemps dernier, l'Université d'Harvard avait découvert que les femmes qui marchaient régulièrement et à une vitesse soutenue réduisaient de presque 40% leur risque de faire une attaque.

source:www.cyberpresse.ca

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Les Oméga-3 n'ont pas d'effet sur les patients atteints d'Alzheimer


CHICAGO (AP) — L'administration d'acides gras oméga-3 n'a pas permis de ralentir la progression de la maladie d'Alzheimer chez les patients âgés participant à une étude en partie financée par le gouvernement américain, dont les résultats ont été publiés mardi.

"Nous espérions fortement constater une certaine efficacité" de ces pilules "mais cela n'a pas été le cas", a déclaré le Dr Joseph Quinn, chercheur à l'Université de l'Oregon et un des auteurs de l'étude, financée à hauteur de 10 millions de dollars.

Publiée mercredi dans le "Journal of the American Medical Association", l'étude a été menée avec des pilules contenant du DHA (acide docosahexaénoïque), un acide gras des oméga-3 naturellement présent dans le cerveau mais que l'on retrouve en faible quantité chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.

D'autres études, de moindre ampleur et moins rigoureuses, avaient jusqu'à présent suggéré que le déclin des facultés mentales pouvait être ralenti ou prévenu en mangeant du poisson, principal source alimentaire d'acides gras oméga-3, ou en prenant des compléments alimentaires contenant notamment du DHA.

Il a été prouvé que les oméga-3 pouvaient avoir des effets bénéfiques contre les maladies cardiaques. Ils font l'objet d'études concernant leurs effets potentiels sur d'autres maladies, notamment le cancer ou la dépression.

Cette dernière étude a concerné près de 300 hommes et femmes âgés en moyenne de 76 ans, atteints de la maladie d'Alzheimer de façon légère à modérée. Pendant 18 mois, ils ont consommé des pilules de DHA ou un placebo. Les résultats ont été identiques dans les deux groupes: le DHA n'a eu aucun effet dans la progression de la maladie. Les pilules n'ont pas fonctionné non plus dans le sous-groupe de participants atteints d'Alzheimer à un stade précoce.

L'étude "ne permet pas de recommander la supplémentation en DHA pour les patients atteints de la maladie d'Alzheimer", regrettent les auteurs de l'étude dans leurs conclusions.

Actuellement, les médecins doivent se contenter de traiter les symptômes d'Alzheimer. Cette maladie neurodégénérative, qui affecte plus de 26 millions de personnes à travers le monde, se traduit par des pertes de mémoire puis des troubles du langage et de la motricité.

L'étude a été financée par l'Institut national du vieillissement et le laboratoire Martek Biosciences, fabricant des pilules utilisées dans les recherches. AP

source:www.challenges.fr

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