A propos de L'Association

Alzheimer Tunisie a été fondée le 13 Mars 2006 (JORT N°24 du Vendredi 24/03/2006

Notre association, à but non lucratif, a pour objectif de Contribuer à l'amélioration de la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et d'apporter l'aide et l'assistance à leurs famille.

Pour nous contacter:

email: alzheimer.tunisie@gmail.com
tel: +216 98 61 39 76
adresse postale: BP N°116-Cité El Khadra-1003 Tunis
mercredi 28 avril 2010

Atelier de formation

l'Association Alzheimer Tunisie organise son troisième atelier de formation qui aura pour thème: La Maladie d'Alzheimer et la famille:conseils et échange d'expérience ...atelier animé par docteur Briki Hatem(Gériatre)...pour vous inscrire merci de nous appeler au 98 613 976 (places limitées).l'atelier aura lieu le Samedi 08 Mai a 15H00 au siège de l'association...

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mardi 27 avril 2010

Alzheimer : des patients amnésiques mais heureux de voir leurs proches




États-Unis – Des chercheurs de l’université d’Iowa ont découvert que les patients victimes d’un Alzheimer pouvaient toujours ressentir des émotions joyeuses en présence de personnes de leur entourage, même si leur mémoire leur faisait défaut.

Même s’ils sont gravement amnésiques et ne reconnaissent plus leurs proches, les patients victimes de la maladie d’Alzheimer ressentent de la joie lorsqu’ils sont en leur présence. Un soulagement pour les amis et la famille.

Lors de l’étude, qui a été publiée dans la revue scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences, les chercheurs ont montré aux malades amnésiques des passages de films, joyeux ou tristes, dont les patients n’avaient plus aucun souvenir.

Il s’est avéré que même s’ils ne pouvaient se souvenir de ce qu’ils avaient regardé, ils restaient imprégnés de l’émotion qu’avait suscitée la vidéo. Ainsi, même si les malades oublient l’action en elle-même, ils en gardent l’émotion.

Les chercheurs ont également testé cinq personnes avec un grave dommage au niveau de l’hippocampe, une partie du cerveau qui permet la transformation d’informations nouvelles de la mémoire à court terme en informations stockées en tant que mémoire à long terme. Ces dommages au cerveau provoquent le même genre d’amnésie que la maladie d’Alzheimer.

Les patients devaient regarder 20 minutes de vidéo, triste ou bien joyeuse. Comme prévu, certains d’entre eux ont ri de bon cœur quand les autres ont pleuré devant l’écran. Cependant, 10 minutes plus tard, ils ne se rappelaient plus de ce qu’ils avaient vu (fait confirmé par un autre test, ndlr). Les chercheurs recensaient ensuite leurs émotions, alors que les patients ne se souvenaient déjà plus de la vidéo. Résultat : ces derniers ressentaient toujours la joie ou la tristesse qu’avait provoquée la vidéo. Chez deux d’entre eux, la tristesse s’est même attardée.

D’ici 2050, 100 millions de personnes pourraient être victimes de la maladie d’Alzheimer. Même si cette étude n’apporte pas de vaccin ou de traitement, elle met en lumière l’importance d'un accompagnement de qualité pour ces personnes. Les visites familiales ou amicales, même si elles sont vite oubliées, seraient en effet très importantes pour le moral des patients.
source:www.maxisciences.com

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lundi 26 avril 2010

Alzheimer: un vaccin testé dans six pays


Quelque 420 patients déjà atteints d'Alzheimer vont être recrutés en Autriche, Allemagne, France, République tchèque, Slovaquie et Croatie pour tester ce vaccin thérapeutique, appelé AD02, dont les premiers résultats pourraient être connus dès 2012, a précisé Affiris dans un communiqué.

Développé en partenariat avec le laboratoire britannique GlaxoSmithKline, le vaccin doit lutter contre la formation des plaques dans le cerveau, causée par la protéine bêta-amyloïde, qui bloquent les signaux nerveux. L'AD02 doit générer une réaction de l'organisme afin qu'il s'attaque par la production d'anticorps à ces plaques, qui ont un lien avec la maladie d'Alzheimer, a précisé un porte-parole d'Affiris. Plus précisément, les anticorps ne devraient s'attaquer qu'à la partie de la protéine qui cause les plaques, réduisant ainsi les risques pour les patients, la protéine entière étant présente chez les sujets sains.



Un vaccin préventif pourrait voir le jour


A terme, si les résultats sont concluants, cette technologie pourrait servir de base à un vaccin préventif, a ajouté le porte-parole. La première phase de tests, achevée il y a cinq mois, a montré "la sûreté et la tolérabilité" du vaccin, a indiqué Affiris.

source:www.rtlinfo.be

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samedi 24 avril 2010

Alzheimer: un vaccin testé dans 6 pays

Un candidat vaccin contre la maladie d'Alzheimer entre dans sa phase de test sur des malades dans six pays européens, a annoncé aujourd'hui la société de biotechnologie autrichienne Affiris. Quelque 420 patients déjà atteints d'Alzheimer vont être recrutés en Autriche, Allemagne, France, République tchèque, Slovaquie et Croatie pour tester ce vaccin thérapeutique, appelé AD02, dont les premiers résultats pourraient être connus dès 2012, a précisé Affiris dans un communiqué.

Développé en partenariat avec le laboratoire britannique GlaxoSmithKline, le vaccin doit lutter contre la formation des plaques dans le cerveau, causée par la protéine bêta-amyloïde, qui bloquent les signaux nerveux. L'AD02 doit générer une réaction de l'organisme afin qu'il s'attaque par la production d'anticorps à ces plaques, qui ont un lien avec la maladie d'Alzheimer, a précisé à l'AFP un porte-parole d'Affiris.

Plus précisément, les anticorps ne devraient s'attaquer qu'à la partie de la protéine qui cause les plaques, réduisant ainsi les risques pour les patients, la protéine entière étant présente chez les sujets sains. A terme, si les résultats sont concluants, cette technologie pourrait servir de base à un vaccin préventif, a ajouté le porte-parole.
La première phase de tests, achevée il y a cinq mois, a montré "la sûreté et la tolérabilité" du vaccin, a indiqué Affiris.

En 2001, des tests pour un premier vaccin contre l'Alzheimer, effectués aux Etats-Unis et en Europe, avaient été interrompus pour cause d'effets secondaires graves. Un autre vaccin a été testé depuis en Suède, en 2005.

La maladie d'Alzheimer est une démence neurodégénérative d'origine inconnue qui touche en premier lieu les fonctions cognitives et se répercute sur le comportement et l'adaptation sociale des patients. Incurable et très invalidante, elle touche environ six millions de personnes en Europe. La société Affiris est spécialisée dans le développement des vaccins et travaille également à l'élaboration de vaccins contre la maladie de Parkinson et l'athérosclélrose.

source:www.lefigaro.fr

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vendredi 23 avril 2010

Une certaine forme d'arythmie cardiaque est liée à la démence sénile

Les personnes ayant une fibrillation auriculaire, une forme d'arythmie anormale du coeur, ont plus de risques que d'autres de développer une démence, y compris la maladie d'Alzheimer.

La présence de la fibrillation auriculaire a également vu des taux de mortalité plus élevés chez des patients atteints de démence, particulièrement parmi les plus jeunes patients dans le groupe étudié, âgés de moins de 70 ans.

Les auteurs de l'étude ont observé 37.025 patients sans fibrillation auriculaire ou démence, âgée de 60 à 90 ans, sur une période de cinq ans.

Les individus qui ont développé la fibrillation auriculaire ont eu un plus gros risque de tous types de démence, même lorsque d'autres facteurs de risque ont été pris en considération. La maladie d'Alzheimer est de loin la forme la plus commune de la démence.

Plus étonnant, c'était que ceux qui étaient dans le groupe inférieur (âgé de moins de 70 ans) avec une fibrillation auriculaire ont eu le plus gros risque de développer la démence. Les gens dans ce groupe avaient également un risque de décès augmenté de 38 %.

Parmi les 764 patients qui ont développé les deux conditions, le diagnostic de la fibrillation auriculaire s'est habituellement produit d'abord, suivi d'un diagnostic de la démence.

Les auteurs ont présumé que la fibrillation auriculaire et la démence peuvent résulter des mêmes facteurs de risque, tels que l'hypertension. Une autre possibilité est que la fibrillation auriculaire augmente l'inflammation, et la démence s'est avérée plus élevée chez les personnes avec des signes d'une inflammation systémique.

L'étude est publiée dans HeartRhythm Journal

source:www.rechercheclinique.com

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jeudi 22 avril 2010

Un test de marche pour la détection précoce des troubles cognitifs dans la maladie d'Alzheimer


Nouveau test mis au point par Centaure Metrix en collboration avec une équipe du CHU de Liège

En France, près de 800 000 personnes sont atteintes de la maladie d'Alzheimer. Les tests de dépistage précoces sont utiles pour améliorer la prise en charge initiale des malades et préserver l'autonomie de ces personnes. Le test de marche LocoMetrix associé à un exercice de calcul mental pour détecter précocement les personnes exposées et atteintes d'une maladie d'Alzheimer évolutive a été mis au point par Centaure Metrix en collaboration avec une équipe du CHU de Liège.


L'équipe du CHU de Liège en Belgique a montré, dans une étude récente, l'intérêt du test de marche Locometrix® qui permet d'identifier les patients Alzheimer par rapport à des sujets normaux, ainsi que les sujets ayant des troubles cognitifs légers (MCI : Middle cognitive
Impairment).


Le test de marche se déroule en quelques minutes et le résultat est immédiat. Le patient équipé de la ceinture avec son capteur d'accélération Locometrix® effectue tout d'abord un aller retour de marche normale dans un couloir, puis on lui demande ensuite de refaire le même trajet en marchant et en décomptant de 2 en deux à haute voix. Le fait d'ajouter une tâche intellectuelle supplémentaire à la personne atteinte de la maladie d'Alzheimer même débutante, entraîne une détérioration significative de la marche qui est d'autant plus grande que le degré de la maladie est avancé.


Ce test simple est rapide à utiliser dans la pratique quotidienne d'un médecin.

source:www.capgeris.com

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mercredi 21 avril 2010

Neurimmune développe une nouvelle approche pour le traitement d’Alzheimer


La jeune pousse zurichoise vient de gagner le Pionierpreis Technopark de la Banque cantonale de Zurich
Neurimmune vient de remporter le Pionierpreis Technopark de la Banque cantonale de Zurich. D’une valeur de près de 100 000 francs, ce prix récompense l’innovation réalisée par l’entreprise zurichoise de biotechnologie. Depuis sa création en 2006, le spin-off de l’Université de Zurich est actif dans le traitement des maladies neuro-dégénératrices, plus particulièrement Alzheimer. Au lieu d’étudier les facteurs qui favorisent l’apparition de la maladie d’Alzheimer, Neurimmune analyse le code génétique de personnes très âgées et en très bonne santé. Elle réalise des prélèvements sanguins auprès de milliers de personnes, avec leur consentement. «Notre but est ainsi de comprendre le bagage génétique dont elles disposent dans leur système immunitaire qui leur permet de ne pas tomber malade. Notre travail consiste à rechercher les anticorps capables de combattre des maladies spécifiques, tels Alzheimer et Parkinson, ce qui est très difficile, car tout le monde n’en possède pas. Une fois trouvé, nous copions exactement le matériel génétique de l’anticorps et testons son efficacité. Le meilleur anticorps est celui qui parvient à attaquer efficacement les plaques qui se forment entre les neurones et qui caractérisent Alzheimer. Notre nouvelle technologie de production des anticorps permet de raccourcir le développement d’un médicament de trois à cinq ans, sur un total de vingt ans habituellement», relève Michael Salzmann, directeur opérationnel de Neurimmune.
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Ainsi, la biotech qui emploie près de 30 collaborateurs réalise des tests in vivo et in vitro. Dès que le concept est vérifié, comme c’est le cas avec des anticorps contre Alzheimer et Parkinson, Neurimmune recherche des partenariats avec des entreprises. «Notre modèle d’affaires est particulier, car nous n’avons pas de capital-risqueur. Ces derniers ont un horizon de temps différent du nôtre, dans le domaine des sciences de la vie. Du coup, les actionnaires de Neurimmune sont ses fondateurs, son management et ses collaborateurs», souligne Michael Salzmann.


Pour le financement de son développement, Neurimmune a signé un partenariat avec la société américaine Biogen en 2007. Les droits sur le médicament contre Alzheimer ont été cédés. «En contrepartie, Biogen finance les tests pré-cliniques et les phases I à III de développement de notre médicament. A chaque étape, en cas de succès, nous percevrons des royalties», explique le directeur opérationnel. Des discussions ont lieu actuellement avec la FDA, l’organe d’homologation des médicaments aux Etats-Unis, en vue de la préparation des tests de phase I en 2011. «Si toutes les phases de test réussissent, notre médicament contre Alzheimer arrivera sur le marché en 2017», espère le directeur opérationnel du groupe fondé par les médecins Roger Nitsch, Christoph Hock et le biologiste Jan Grimm.

La maladie d’Alzheimer constitue un marché de 6 milliards de dollars, il pèsera 15 milliards en 2025. Aujourd’hui, entre 15 et 20 millions de personnes en souffrent, dont plus de 100 000 en Suisse. Dans un marché très concurrentiel où la société romande AC Immune, en partenariat avec Genentech, tout comme Elan avec Pfizer, essayent de trouver des traitements contre Alzheimer, Neurimmune estime avoir un avantage concurrentiel. «Notre médicament se base sur une molécule humaine, ce qui rend notre traitement plus sûr. De plus, nous comptons douze brevets sur des technologies et des molécules à un stade de développement très avancé. Du coup, la durée de vie de nos brevets est plus longue», relève Michael Salzmann..
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En dehors d’Alzheimer, Neurimmune est active dans le traitement d’autres maladies neuro-dégénératrices. Dans le cas de Parkinson, un marché qui pèse 3,6 milliards de dollars, la jeune pousse est en discussion avancée avec les plus grands groupes pharmaceutiques, afin de nouer un partenariat. «Notre objectif est de signer un contrat cette année», dit Michael Salzmann. Le pipeline de Neurimmune comprend aussi des anticorps contre la sclérose latérale amyotrophique, une maladie rare dont souffre par exemple le savant anglais Stephen Hawking. De plus, la société zurichoise développe des anticorps contre la démence à corps de Lewy, une maladie neuro-dégnératrice qui associe un syndrome parkinsonien, des hallucinations visuelles et des pertes de mémoire. Après Alzheimer, il s’agit de la forme de démence la plus courante chez les personnes âgées.


Dans cinq ans, Neurimmune devrait compter 60 à 80 collaborateurs. Parmi ses priorités figure le développement de son propre programme, sans recherche de partenariats. En attendant, la société utilisera les 100 000 francs de récompense pour le développement d’un traitement contre l’apparition des protéines tau. «C’est un nouveau champ dans la maladie d’Alzheimer qui comporte certaines difficultés. Nous avons besoin de plus de temps pour explorer ce domaine. D’après de récentes recherches, les protéines tau interviennent plus tôt dans le développement d’Alzheimer. Elles pourraient constituer un support pour la formation de plaques entre les neurones. Du coup, en intervenant plus rapidement sur celles-ci, on pourrait éviter l’apparition de plaques, et peut-être de la maladie», conclut Michael Salzmann.

source:www.letemps.ch

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mardi 20 avril 2010

Le rôle des oligomères béta-amyloïdes dans la maladie d'Alzheimer mis en évidence chez des souris

Une équipe de chercheurs de la faculté de médecine de l'université de la ville d'Osaka a établi un nouveau modèle de souris génétiquement modifiées pour l'étude de la maladie d'Alzheimer. Ce modèle a permis d'étudier spécifiquement le rôle joué par certaines molécules, les oligomères béta-amyloïdes, dans le développement de la maladie.

Rappelons que la maladie d'Alzheimer est une affection neurodégénérative entraînant la perte progressive et irréversible des fonctions cognitives (par exemple la mémoire, l'expression...) et dont le risque de survenue augmente avec l'âge. Les causes de cette pathologie sont encore mal connues. Le cerveau des patients présente deux types d'anomalies caractéristiques : l'agrégation excessive sous forme de plaques d'un peptide, la bêta-amyloïde 42 (Aß42) autour des cellules nerveuses et la formation d'enchevêtrements neurofibrillaires à l'intérieur des neurones causée par une anomalie dans la phosphorylation d'une protéine, appelée tau..

Les chercheurs se sont plus particulièrement penchés sur le rôle joué par les oligomères bêta-amyloïdes. En effet, selon certaines observations, ce sont ces complexes formés de quelques molécules de Aß42 qui sont toxiques pour les neurones et non les plaques ou le peptide seul. L'équipe a donc génétiquement modifié des souris pour que leurs neurones accumulent des oligomères bêta-amyloïdes sans développer de plaques amyloïdes à l'extérieur des cellules. Des troubles caractéristiques de la maladie d'Alzheimer ont ensuite pu être mis en évidence chez les souris génétiquement modifiées. Ainsi, au bout de 8 mois, ces dernières ont développé des troubles de la mémoire, ainsi qu'une perte de la plasticité synaptique dans l'hippocampe et des anomalies dans la phosphorylation de la protéine tau. A 24 mois, les souris génétiquement modifiées possédaient moitié moins de neurones qu'une souris en bonne santé de cet âge.

Ces résultats apportent de nouveaux éléments confortant l'idée d'une neurotoxicité des oligomères béta-amyloïdes. Par ailleurs, ils suggèrent que les souris génétiquement modifiées utilisées dans l'étude sont un modèle animal pertinent pour la maladie d'Alzheimer, une pathologie qu'il est pour l'instant difficile d'étudier chez les souris car celles-ci ne la développent pas spontanément.
source: www.bulletins-electroniques.com

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lundi 19 avril 2010

Les noix, le poisson et le gibier comme remède contre Alzheimer

Des chercheurs de l'Université Columbia de New York ont examiné les cas de 2.000 personnes à la retraite. Ils ont constaté que ceux atteints de démence avaient dans la plupart des cas, mangé beaucoup de produits laitiers contenant beaucoup de graisse. Les personnes qui ont une préférence pour les viandes rouges courent également un risque plus élevé d'attraper la maladie d'Alzheimer que les personnes qui consomment beaucoup de poisson, de gibier, de noix, de tomates, de fruits ou de vinaigrette. Cela pourrait démontrer un lien entre une diminution du risque de contracter la maladie d'Alzheimer et une consommation d'acides gras insaturés et de vitamine E. Selon le directeur du Fonds de recherche britannique sur la maladie d'Alzheimer, l'étude souligne une nouvelle fois l'importance du style de vie adopté face à cette maladie. "Si on adapte nos habitudes avec l'âge - en se déplaçant davantage, en faisant attention à notre alimentation et en conservant une vie sociale active - nous pouvons réduire les risques d'attraper cette maladie. Mais malheureusement, nous ne pouvons jamais complètement éliminer le risque de démence". (ROJ)
Source: Belga
source:http://levif.rnews.be

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dimanche 18 avril 2010

Une nouvelle technique d'IRM pour mieux comprendre certaines maladies neurologiques


MARSEILLE - Des chercheurs marseillais ont annoncé cette semaine avoir mis au point une nouvelle technique d'IRM qui ouvre la voie à une meilleure compréhension de certaines pathologies neurologiques, comme la sclérose en plaques, l'épilepsie ou la maladie d'Alzheimer.

Cette méthode, développée pour la première fois en France par une équipe du Centre de résonance magnétique biologique et médicale (CNRS/Université de la Méditerranée), en collaboration notamment avec le CHU de La Timone à Marseille, permet de "faire une cartographie du sodium dans le cerveau", a expliqué à l'AFP Patrick Cozzone qui dirige les recherches.

Les scientifiques ont ainsi réussi le pari, lancé en 2008, de "faire de l'IRM (imagerie par résonance magnétique) avec d'autres atomes que l'hydrogène", selon un communiqué du CNRS.

Selon M. Cozzone, "les images obtenues actuellement sont de qualité moyenne, mais on peut déjà appliquer la méthode à des maladies dont on sait qu'elles entraînent" une accumulation anormale de sodium dans l'axone, partie du neurone où circule l'information nerveuse: les maladies neurodégénératives.

L'équipe va pouvoir d'ores et déjà tester le dispositif chez 30 patients souffrant de sclérose en plaques au stade le plus précoce.

A l'avenir, cette nouvelle technique d'IRM pourrait permettre de "tester des médicaments" agissant sur le sodium, précise le chercheur, ajoutant que "nous sommes au tout début d'une aventure qui va prendre plusieurs années".

Ces derniers mois, cinq centres de recherche étrangers - quatre équipes américaines et une allemande - ont réussi à maîtriser cette technique complexe, le sodium étant "beaucoup moins sensible que l'hydrogène".

(©AFP / 16 avril 2010 09h12)

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ليلى الطرابلسي علوان رئيسة الجمعية التونسية لمرض الزهايمر: الزهايمر ليس حكرا على المسنين فقط

مثله الأطباء بالأخطبوط الذي يلتف حول خلايا الذاكرة ويقضي عليها فيصبح المصاب به إنسانا بلا ماض ولا مستقبل يعيش حالة تيهان تنسيه كل ما يربطه بالحياة هذا الاخطبوط هو مرض الزهايمر ولمعرفة أكثر التفاصيل حول هذا العدو المدمر للذاكرة الإنسانية التقت "التونسية" السيدة ليلى الطرابلسي علوان رئيسة الجمعية التونسية لمرض الزهايمر فكان معها الحوار التالي :

*ما هي تأثيرات مرض الزهايمر في المصاب به؟
ربما يعرف البعض مرض الزهايمر بأنه فقدان الذاكرة فقط ولكنه يتعدى ذلك بكثير فهو أيضا فقدان تدريجي لكل مقومات وسبل الحياة فيصبح المصاب به وخاصة في مرحلة متقدمة لا يقوى على ممارسة أبسط ضروريات الحياة اليومية على غرار التعبير عن مقاصده ومتطلباته وغير قادر حتى على النوم أو الأكل.

*ما هي أهم الإجراءات المتخذة للتصدي لهذا المرض؟
إلى يومنا هذا ومنذ اكتشاف أول حالة سنة 1906 لم يتوصل العلماء إلى دواء للشفاء الكلي والنهائي لمرض الزهايمر لذلك على كل فرد والمحيطين به عند اكتشاف أولى علامات المرض المتمثلة في بداية فقدان الذاكرة بصفة تدريجية ونسيان الأحداث الآنية مقابل المحافظة على الذاكرة القديمة إضافة إلى بداية فقدان النطق الاتصال بطبيب مختص في الشيخوخة أو في الامراض النفسية أو الأعصاب وذلك لضمان التخفيف من وطأة الإصابة العميقة بهذا المرض ومحاولة تأخير نتائجه السلبية على المصاب به.

*ما هي الفئات العمرية المهددة بهذا المرض؟
مرض الزهايمر إلى حد الآن يصيب المتقدمين في السن حيث سجلنا نسبة 5 بالمائة من الذين تتجاوز أعمارهم 65 سنة ونسبة 10 بالمائة في سن 70 سنة ويصيب هذا المرض نسبة 20 بالمائة ممن هم فوق سن الثمانين فما فوق ولكن هذا لا يعني أنه حكرا على المسنين فقط لذلك من الضروري أن يتعاطى كل فرد العديد من الأنشطة الرياضية والألعاب الفكرية والمطالعة والابتعاد عن الضغوطات النفسية ولكن هناك حالات أيضا في سن 40 سنة ولكنها قليلة في تونس.

*ما هي أهم أدوار الجمعية في هذا الشأن؟
يواجه مريض الزهايمر العديد من الضغوطات النفسية من حزن وشعور بالذنب والانفعال الشديد والوحدة ونفس الشأن بالنسبة إلى عائلة المريض التي تعيش هي الأخرى صعوبة التأقلم مع المرض بالإضافة إلى أنه مرض يستوجب الكثير من العناية لا على مستوى الأدوية فحسب بل كذلك على مستوى الإحاطة النفسية والعائلية لذلك فإن دور الجمعية دور توعوي بدرجة أولى يهدف إلى التحسيس بهذا المرض وطبيعة التعامل معه من خلال تنظيم ورشات توعوية وخلق مجالات تفاهم بين المريض ومحيطه خاصة أن سوء فهم المصاب بالزهايمر يعمق حالته وتقوم الجمعية بتوعية العائلات خاصة بضرورة متابعة المريض ومراقبته المستمرة.

*من هم الأشخاص الأكثر عرضة للإصابة بمرض الزهايمر؟
أكدت عديد الدراسات أن الأشخاص الأكثر عرضة لهذا المرض هم الذين يعانون من الأمراض المزمنة والخطيرة كضغط الدم والسمنة المفرطة والسكري.

*كيف يمكن الإحاطة بمريض الزهايمر؟
تعد الوسائل غير المقترنة بالأدوية إحدى أهم الوسائل التي تساهم في التخفيض من وطأة المرض وإضافة إلى العناية بالمريض وهي وسائل بسيطة على غرار خلق بعض الأنشطة المنزلية والفكرية والرياضة والموسيقى وعدم ترك المريض في عزلة ووحدة مما يضمن تأقلم المريض مع مرضه ونسيانه لهذا الداء.


بثينة
source:www.attounissia.com.tn

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samedi 17 avril 2010

Alzheimer / Parkinson - Première initiative paneuropéenne dans le domaine des maladies neurodégénératives


INSERM Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale - 15/04/2010 19:30:00

La première initiative paneuropéenne de programmation conjointe des activités de recherche s'attaque aux maladies neurodégénératives et en particulier à la maladie d'Alzheimer. Des chercheurs imminents de toute l'Europe sont attendus aujourd'hui à Stockholm pour mettre au point une comme les maladies d'Alzheimer et de Parkinson.

Il s'agit de la première des initiatives de programmation conjointe de l'Union européenne, dont le but est de relever les "grands défis sociétaux" auxquels l'Union européenne devra faire face dans les années à venir. Pour résoudre ces problèmes, les compétences et les ressources d'un seul pays ne suffisent pas. C'est pourquoi, l'Union européenne espère maximiser son potentiel de lutte contre ces défis communs en réunissant les chercheurs et les données de recherche existantes, et en mettant en commun les outils, techniques et autres ressources entre les Etats membres de manière plus efficace.

Récemment nommée commissaire européenne en charge de la recherche, de l'innovation et de la science, Máire Geoghegan-Quinn déclare : "C'est le premier exemple de programmation conjointe adoptée par l'Union européenne pour relever les "grands défis" sanitaires, sociaux, technologiques et environnementaux communs à toute l'Europe. Grâce à cette initiative de programmation conjointe, les meilleurs chercheurs européens dans le domaine médical travailleront ensemble et mettront en commun leurs ressources pour aider les millions de personnes qui souffrent de maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer. En améliorant l'efficacité de la recherche et en évitant les efforts redondants, cette initiative de programmation conjointe améliorera les perspectives de progrès véritables dans la prévention et le traitement de ces maladies. Les leçons tirées de cette initiative serviront ensuite de modèle aux efforts de recherche dans d'autres domaines".

Les maladies neurodégénératives, en particulier la maladie d'Alzheimer, sont le premier domaine à bénéficier de cette nouvelle approche. Les maladies neurodégénératives sont fortement liées à l'âge et l'Europe connaît un vieillissement rapide de sa population. A l'heure actuelle, les plus de 65 ans représentent 16 % de la population, chiffre qui devrait passer à 25 % en 2030. En 2006, le traitement des maladies neurodégénératives aura coûté environ 72 milliards d'euros aux services de santé européens. Les traitements qui existent actuellement pour les maladies neurodégénératives sont limités et ciblent principalement les symptômes et non la cause. La prise en charge de la maladie d'Alzheimer est particulièrement lourde en raison de son apparition insidieuse, du handicap croissant qu'elle occasionne et de sa durée d'évolution. La maladie dure en moyenne 2 à 10 ans pendant lesquels les patients nécessitent une surveillance et une prise en charge spéciales qui pèsent de manière importante sur les soignants et sur la société en général.

L'ultime objectif de cette initiative de programmation conjointe consacrée à la lutte contre les maladies neurodégénératives est d'accélérer les progrès dans la compréhension des causes de ces maladies invalidantes, afin d'aboutir non seulement à un diagnostic précoce et au développement de nouveaux traitements et moyens de prévention, mais également à la mise en place de structures médicosociales efficaces pour améliorer la qualité de vie des patients et des soignants.

Pour atteindre cet objectif, 24 pays européens volontaires* partageant une vision commune ont décidé de travailler ensemble dans le cadre d'un programme collaboratif de recherche sans précédent visant à aligner leurs compétences scientifiques, leurs points forts dans le domaine médical et leurs approches sociales afin de relever ce défi.

Le professeur Philippe Amouyel, Président du Conseil de la Programmation conjointe sur les maladies neurodégénératives, commente : "Nous partageons tous l'opinion que c'est en regroupant les connaissances, les infrastructures et les financements, ainsi qu'en créant une masse critique avec des approches cohérentes et multidisciplinaires, que nous obtiendrons les meilleurs objectifs et réponses scientifiques. C'est ainsi que nous réussirons. Cette approche permettra d'optimiser l'investissement de la recherche dans les maladies neurodégénératives à travers toute l'Europe."

L'initiative de programmation conjointe sur les maladies neurodégénératives commencera par :

le développement d'un programme de recherche stratégique pour les maladies neurodégénératives englobant la recherche fondamentale, médicale et en sciences humaines et sociales ;
la mise en oeuvre du programme en proposant des méthodes novatrices pour regrouper les expertises et les ressources afin de résoudre le problème de la fragmentation et de la duplication des efforts de recherche actuels.

Un conseil scientifique composé de 15 éminents chercheurs d'Europe et d'ailleurs** dans le domaine des maladies neurodégénératives a été formé pour guider l'élaboration du Programme de recherche stratégique et sa mise en oeuvre. Ce conseil scientifique va commencer sa mission dès aujourd'hui.
Le professeur Amouyel ajoute : "C'est une occasion formidable pour l'Europe de prendre l'initiative en s'attaquant à l'un des plus grands défis socioéconomiques auxquels nous devrons faire face à l'avenir. Par rapport à d'autres domaines comme le cancer ou les maladies cardiovasculaires, les maladies neurodégénératives ont toujours reçu un soutien financier moindre malgré leur impact négatif majeur sur la santé. Ce programme va nous permettre de changer cela et d'agir de manière opportune et stratégique pour lutter contre cette maladie. Lors de la réunion prévue aujourd'hui à Stockholm, quinze des plus grands chercheurs d'Europe et d'ailleurs vont réfléchir à une stratégie pour mettre en oeuvre cette approche de recherche coordonnée de façon optimale."

Pour André Syrota, Président d'Aviesan (Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé), "cette programmation va permettre pour la première fois à tous les pays d'Europe qui le souhaitent de financer, avec leurs crédits nationaux, les recherches sur les maladies neurodégénératives sur la base de l'expertise d'un conseil scientifique unique".

* Albanie, Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse, Turquie.

** Le conseil scientifique comprend les professeurs Jesus Avila de Grado (Espagne), Henry Brodaty (Australie), Stefano Cappa (Italie), Jesús de Pedro Cuesta (Espagne), Bruno Dubois (France), Laura Fratiglioni (Suède), Thomas Gasser (Allemagne), John Hardy (Royaume-Uni), Leszek Kaczmarek (Pologne), Martin Knapp (Royaume-Uni), Martin Rossor (Royaume-Uni), Philip Scheltens (Pays-Bas), Bart de Strooper (Belgique), Bengt Winblad (Suède). Un chercheur est encore en cours de sélection dans le domaine des SHS.

L'Alliance Nationale pour les Sciences de la Vie et de la Santé (Aviesan) a été créée en avril 2009. Elle regroupe aujourd'hui 9 acteurs de la recherche française : le CEA (Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives), le CNRS (Centre national de recherche scientifique), l'INRA (Institut national de la recherche agronomique), l'INRIA (Institut national de recherche en informatique et automatique), l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), l'Institut Pasteur, l'IRD (Institut de recherche pour le développement), la CPU (Conférence des Présidents d'Université) et la Conférence des directeurs généraux de centres hospitaliers régionaux et universitaires. Aviesan a pour but de développer, au plus haut niveau dans tous les domaines de la recherche en sciences de la vie et de la santé, un continuum allant des recherches fondamentales à leurs applications. Aviesan est organisée en 10 Instituts Thématiques Multi-Organismes, organes fonctionnels de la coordination des recherches, qui ont notamment pour rôle la réalisation d'un état des lieux de la recherche française par grandes thématiques.

source: www.newspress.fr

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jeudi 15 avril 2010

Prévenir la démence par l'alimentation

Une juste combinaison d'aliments serait liée à une diminution du risque de contracter la maladie d'Alzheimer, affirment des chercheurs américains.

Le Dr Yian Gu et ses collègues de l'Université Columbia ont démontré qu'un régime alimentaire riche en poissons, fruits et légumes, mais pauvre en viande rouge et en produits laitiers est associé à un moindre risque de développer la maladie neurodégénérative.

Pour en arriver à cette association, les auteurs de ces travaux publiés dans les Archives of Neurology ont suivi 2148 personnes âgées de 65 ans pendant quatre ans. Aucune d'entre elles ne souffrait de démence au début de l'étude.

Les participants avaient répondu à un questionnaire sur leur régime alimentaire et ont été évalués tous les 18 mois pour déterminer leur situation.

À la fin de la recherche, 253 participants avaient contracté la maladie d'Alzheimer.

D'autres aliments sont également associés à une baisse du risque :

* l'huile d'olive
* différents types de noix
* les tomates
* le poulet
* les légumes crucifères

De nombreux nutriments dans ces aliments ont été reconnus pour leur rôle préventif, comme certaines vitamines (B9, B12 et E) et des acides gras (oméga 3 et 6).

Par exemple, les vitamines B12 et l'acide folique pourraient avoir des effets préventifs en réduisant les niveaux d'homocystéine dans le sang, qui sont liés à un risque cardiovasculaire, tandis que des teneurs élevées en vitamine E empêcheraient le développement de l'Alzheimer en raison de son pouvoir anti-oxydant.

— Auteurs


À l'opposé, certains aliments augmentent le risque. C'est le cas des graisses saturées et des produits de laitage entier, de beurre et de viande rouge.

Des produits riches en graisses saturées sont aussi liés à l'athérosclérose (blocage des artères) ou à l'inflammation affectant le cerveau avec l'accumulation de beta-amyloïdes.

Ils sont néfastes pour le système nerveux, car ils empêchent la transmission de l'influx nerveux entre les neurones. Les plaques de beta-amyloïdes sont une des caractéristiques de la maladie d'Alzheimer.

Cette recherche s'inscrit dans une tendance. De plus en plus de données épidémiologiques lient le régime alimentaire et le risque de développer ou de réduire la maladie d'Alzheimer.

Les résultats de notre étude apportent un éclairage supplémentaire dans cette exploration des combinaisons alimentaires en vue de la prévention de cette maladie.

— Auteurs


source:www.radio-canada.ca

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mercredi 14 avril 2010

Star Scientific annonce une collaboration avec le Roskamp Institute

Star Scientific annonce une collaboration avec le Roskamp Institute en ce qui concerne la découverte de la protéine bêta-amyloïde et la maladie d'Alzheimer

Star Scientific annonce une collaboration avec le Roskamp Institute en ce qui concerne la découverte de la protéine bêta-amyloïde et la maladie d'Alzheimer Star Scientific annonce une collaboration avec le Roskamp Institute en ce qui concerne la découverte de la protéine bêta-amyloïde et la maladie d'Alzheimer PR Newswire GLEN ALLEN, Virginie, April 12, 2010 GLEN ALLEN , Virginie, April 12, 2010 /PRNewswire/ -- Star Scientific (Nasdaq : CIGX) a annoncé aujourd'hui avoir conclu une << entente sur la recherche et les redevances >> avec SRQ Bio, LLC, la société affilée au Roskamp Institute, selon laquelle l'institut mènera des recherches sur un composé mis au point par sa filiale Rock Creek Pharmaceutical, lequel pourrait être utilisé dans le traitement de la maladie d'Alzheimer selon les chercheurs du domaine médical de l'institut. Les analyses préliminaires visant l'application du composé sur des cellules ont donné des résultats prometteurs. Le composé est également exploré plus en profondeur pour découvrir son utilité potentielle dans le traitement d'un grand nombre de troubles neurologiques, dont la maladie d'Alzheimer. Les analyses préliminaires du Roskamp Institute indiquent que le taux de protéines B-amyloïde diminue lorsque le composé développé par Rock Creek est appliqué sur les cellules. De plus, le composé semble favoriser la croissance de nouvelles cellules neuronales. Les résultats observés sur les cellules ne sont cependant pas nécessairement applicables aux analyses faites sur les humains; il faudra donc encore beaucoup de travail pour déterminer si le composé aura des effets significatifs sur la diminution de la protéine B-amyloïde chez l'humain. 5,3 millions d'Américains souffrent présentement de la maladie d'Alzheimer, et toutes les 70 secondes, une nouvelle personne est atteinte de la maladie d'Alzheimer en Amérique. En 2010, environ 500 000 nouveaux cas de la maladie seront répertoriés chaque année. Tragiquement, la maladie d'Alzheimer constitue la sixième cause la plus importante de mortalité au pays. De 2000 à 2006, le nombre de décès reliés à la maladie d'Alzheimer a augmenté de 47,1 %. (Logo : http://www.newscom.com/cgi-bin/prnh/20090317/STARSCIENTIFICLOGO ) Paul L. Perito , le président du conseil d'administration et président-directeur général de Rock Creek, a affirmé : << La recherche qu'a dirigée Jonnie R Williams pendant plus de dix ans, afin de découvrir des manières innovantes de réduire les maux causés par le tabac a mené par hasard à la découverte d'un composé qui, selon les chercheurs respectés et bien informés du Roskamp Institute, pourrait jouer un rôle capital dans le traitement d'un grand nombre de troubles neurologiques, dont la maladie d'Alzheimer qui constitue le principal point d'intérêt du Roskamp Institute depuis sa fondation. >> À la lumière de l'exécution d'une entente détaillée sur la recherche et les redevances, Rock Creek s'attend à une étroite collaboration entre Michael Mullan , MD, PhD, et Fiona Crawford , PhD, les codirecteurs du Roskamp Institute, et Curtis Wright, IV , MD, MPH, le directeur médical et scientifique principal de Rock Creek et ancien directeur par intérim, de même que le directeur adjoint de la division << agents anesthésiques, analgésiques, et toxicomanie >> (Anesthetics, Analgesics, Drug Abuse) de la FDA. Le Roskamp Institute, dont le siège social est établi à Sarasota , en Floride, utilise un vaste éventail d'approches scientifiques pour découvrir de nouveaux traitements efficaces contre la maladie d'Alzheimer. Les travaux précédents des chercheurs de l'institut, Michael Mullan , MD, PhD et Fiona Crawford , PhD, aujourd'hui à la tête de l'institut, ont démontré que certaines variations génétiques peuvent causer l'Alzheimer ou prédisposer l'être humain à la maladie, et ces mêmes variations génétiques ont fourni aux scientifiques des indices quant au processus pathogénique de la maladie d'Alzheimer. Plus particulièrement, ces études ont mené à l'identification d'une petite protéine appelée B-amyloïde. Au centre du processus pathogénique, la protéine B-amyloïde s'accumule dans tous les cas de maladie d'Alzheimer, et lorsqu'il en est ainsi, les neurones sont endommagées et en viennent à mal fonctionner, ce qui entraîne des pertes de mémoires et d'autres changements cognitifs. Une fois le processus entamé, celui-ci est naturellement ininterrompu, mais bien des éléments de preuves semblent suggérer que si l'on pouvait empêcher l'accumulation de la protéine B-amyloïde, la maladie pourrait être freinée. L'objectif de cette collaboration est de travailler aussi vite que possible à la commercialisation du premier produit capable de freiner la maladie d'Alzheimer ainsi que d'autres troubles neurologiques. En mars 2010, Robert Roskamp a acheté à titre individuel des actions de Star Scientific évaluées à 1 million USD , et a reçu un bon de souscription d'actions correspondant à un nombre égal d'actions dans le cadre d'une transaction de placement privé. Conformément à l'entente sur la recherche et les redevances annoncée aujourd'hui, la société a accepté d'émettre à SRQ Bio, LLC, 100 000 actions ordinaires dans le cadre d'un placement privé. Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs au sens du Private Securities Litigation Reform Act of 1995. Star Scientific, Inc. et ses filiales consolidées (collectivement, la << société >>) ont tenté d'identifier ces énoncés prospectifs aussi souvent que possible en utilisant des mots tels que << anticiper >>, << croire >>, << estimer >>, << s'attendre à >>, << planifier >>, << avoir l'intention de >> ou d'autres expressions similaires. Ces énoncés reflètent les convictions actuelles de la société et sont fondés sur les renseignements présentement à sa disposition. En conséquent, ces énoncés prospectifs impliquent des risques, des incertitudes et d'autres facteurs, connus et inconnus, qui peuvent entraîner des écarts considérables entre les résultats, rendements ou réalisations réels de la société et les résultats, rendements ou réalisations futurs exprimés ou sous-entendus dans ces énoncés. Ces risques, incertitudes et contingences incluent, sans s'y limiter, les défis inhérents aux initiatives de développement de nouveaux produits, les incertitudes inhérentes au progrès de la recherche scientifique, la capacité future de la société à amasser le capital additionnel nécessaire au maintien de ses activités, les conflits potentiels concernant la propriété intellectuelle de la société, les risques de litige concernant ladite propriété intellectuelle, les retards éventuels quant à l'obtention de toute autorisation gouvernementale obligatoire pour les produits du tabac à faible teneur en NAST de la société, l'acceptation du marché des nouveaux produits du tabac sans fumée de la société, la concurrence des sociétés possédant de plus grandes ressources que la société, la décision de la société de ne pas se joindre à la convention collective de règlement (Master Settlement Agreement, MSA) et la dépendance de la société envers des employés clés, ainsi qu'envers ses relations stratégiques avec Brown & Williamson Tobacco Corporation à la lumière de sa fusion avec RJ Reynolds Tobacco Company, Inc. Bien que la société juge que les attentes reflétées par de tels énoncés prospectifs sont fondées sur des hypothèses raisonnables, elle ne peut en rien assurer qu'elles s'avéreront exactes ou qu'aucune variation n'aura d'incidence sur ces attentes. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter la section << Facteurs de risque >> du rapport trimestriel de la société sur le formulaire 10-K déposé auprès de la SEC le 16 mars 2010, ainsi que d'autres facteurs décrits de temps à autre dans d'autres documents déposés par la société auprès de la SEC. Ceux-ci sont disponibles au http://www.sec.gov . Tous les renseignements contenus dans le présent communiqué étaient à jour à la date de publication, et la société rejette toute obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif afin de refléter des événements ou circonstances ultérieurs à la date du présent communiqué de presse, ou afin de refléter des événements non prévus. À propos de Star Scientific Star Scientific est une société axée sur la technologie dont la mission consiste à réduire les dangers associés à l'utilisation du tabac sur tous les plans. Elle contribue au développement de produits du tabac solubles et sans fumée qui libèrent moins de toxines carcinogènes, et ce, principalement grâce à l'utilisation de la technologie novatrice de traitement du tabagisme StarCured(R). Par l'intermédiaire de sa filiale Rock Creek Pharmaceuticals, la société participe aussi au développement de produits nutraceutiques ainsi que de produits servant au traitement des troubles neurologiques et des troubles de l'humeur. Star Scientific possède un siège social et des bureaux de ventes à Glen Allen , en Virginie, un bureau des affaires administratives, scientifiques et réglementaires à Bethesda , au Maryland , et un établissement de production à Chase City , en Virginie. Rock Creek possède des bureaux de recherche scientifique à Gloucester , au Massachusetts et un bureau de réglementation à Washington, DC . Veuillez consulter le site Web de Star au : http://www.starscientific.com . Contact : Sara Troy Machir Vice-présidente des communications et des relations avec les investisseurs smachir@starscientific.com +1-301-654-8300

source:www.wikio.com

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mardi 13 avril 2010

Une mère de 31 ans, ne peut reconnaître son enfant nouveau-né à cause de la maladie d’Alzheimer


La plus jeune mère à souffrir d’Alzheimer -

Une jeune femme australienne ,Rebecca Doig, a été incapable de reconnaître sa petite fille après l’accouchement parce qu’elle souffre de la maladie d’Alzheimer avancée. Rebecca a découvert qu’elle était enceinte tout en ayant des analyses pour enquêter sur ses pertes de mémoire. Elle a été diagnostiqué avec une forme rare de la maladie dégénérative en août. Le mardi, elle a donné naissance à une petite fille en bonne santé, Emily Rebecca, dans un hôpital de Sydney.

Mais Mme Doig, qui est considéré comme l’une des plus jeunes à souffrir de la maladie d’Alzheimer, ne peut pas se souvenir de rien sur la naissance, ou sur le fait qu’elle a une fille.

Son mari, Scott, a décrit la maladie de sa femme comme une "grande" tragédie . «Elle est comme une personne de cinq ans ou de 80 ans allant, dit-il. "Elle est passée d’une femme indépendante, jeune et brillante à quelqu’un qui ne reconnaît pas sa propre fille nouveau-né." Il a décrit son nouveau bébé comme «parfait», mais il a ajouté: «Le chemin à parcourir est va être extrêmement difficile." Il a dit au sujet de leur fille: «Elle est très belle petite et en parfaite santé. «Nous prenons chaque jour comme il vient, car il n’y a pas beaucoup choses que nous pouvons faire à ce sujet. J’ai une femme et maintenant une petite fille à m’occuper. "

Mme Doig a été refusé une pension d’invalidité et la famille est en difficulté financière, rapporte le Sunday Telegraph de Sydney. Les médecins disent qu’elle la première femme à avoir cette souche particulière de la maladie à un stade avancé et la première à donner naissance. Ils disent que la petite Emily n’est pas porteuse d’un gène défectueux PSEN1, qui est censé avoir causé l’état de sa mère.
source:www.hebdoweb.com

Source: Telegraph texte en anglais et photo de la jeune maman

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Une combinaison d'aliments liée à une réduction du risque d'Alzheimer


[ 12/04/10 - 22H05 - AFP ]

Une combinaison d'aliments dont du poisson, des fruits et des légumes et peu de viande rouge et de produits laitiers paraît liée à un moindre risque de développer la maladie d'Alzheimer, selon une étude publiée lundi.

Cette recherche menée par le Dr Yian Gu de la faculté de médecine de l'Université Columbia à New York a suivi 2.148 personnes âgées de 65 ans qui ne souffraient pas de démence au début de l'étude.

Les participants ont répondu à un questionnaire sur leur régime alimentaire et ont été évalués tous les 18 mois pendant quatre ans pour déterminer leur état cérébral.

Durant cette période, 253 participants ont développé la maladie d'Alzheimer.

Une combinaison alimentaire a été nettement liée à une réduction du risque de développer la maladie, soulignent ces chercheurs dont l'étude paraît dans les Archives of Neurology datées de juin.

Outre les poissons et les fruits, les auteurs citent l'huile d'olive comme assaisonnement dans les salades, différents types de noix, les tomates, le poulet, les légumes crucifères comme les épinards et les légumes de couleurs sombres comme autant d'aliments permettant d'abaisser le risque de développer la maladie d'Alzheimer. Le tout est combiné à une faible consommation de laitage entier, de beurre et de viande rouge, riche en graisses saturées.

Plusieurs nutriments dans ces aliments ont été identifiés dont la combinaison paraît jouer un rôle préventif. Il s'agit des vitamines B12 et E, de l'acide folique et des acides gras omega 3 et 6. En revanche, les auteurs de l'étude citent notamment les graisses saturées comme facteurs accroissant le risque de développer la maladie.

"Par exemple, les vitamines B12 et l'acide folique pourraient avoir des effets préventifs en réduisant les niveaux d'homocystéine dans le sang, qui est lié à un risque cardiovasculaire, tandis que des teneurs élevées en vitamine E empêcheraient le développement d'Alzheimer en raison de son pouvoir anti-oxydant", expliquent ces chercheurs.

Les régimes riches en graisses saturées seraient liés aux troubles des fonctions cognitives, à l'athérosclérose (blocage des artères) ou à l'inflammation affectant le cerveau avec l'accumulation de beta-amyloïdes. Ces derniers sont néfastes pour le système nerveux car ils empêchent la transmission de l'influx nerveux entre les neurones. Les plaques de beta-amyloïdes sont une des caractéristiques de la maladie d'Alzheimer.

"Les données épidémiologiques liant le régime alimentaire (...) et le risque de développer ou de réduire la maladie d'Alzheimer se multiplient", observent ces chercheurs.

"Cependant les recherches effectuées jusqu'alors portant sur l'impact du régime alimentaire ou de certains nutriments sur le risque de développer Alzheimer ne sont pas cohérentes, en partie en raison de la grande variété des combinaisons des régimes alimentaires", poursuivent-ils.

"Les résultats de notre étude apportent un éclairage supplémentaire dans cette exploration des combinaisons alimentaires en vue de la prévention de cette maladie", concluent les auteurs de ces travaux.
Copyright © 2005 AFP. Toutes les informations reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) (dépêches, logo) sont protégées pas des droits de propriété intellectuelle détenus par l'AFP. Par conséquent, aucune des informations ne peut être reproduite, modifiée, rediffusée, traduite, exploitée commercialement ou réutilisée de quelque manière que ce soit sans l'accord préalable écrit de l'AFP. L'AFP ne pourra être tenue pour responsable des délais, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations."

source:www.lesechos.fr

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mercredi 7 avril 2010

Parce que les Algériens ont gagné vingt ans d’espérance de vie

Les risques d’alzheimer augmentent
Par : Souhila Hammadi

Deux millions et demi d’Algériens sont âgés de plus de 60 ans. Soit 7,4% de la population générale, présentant le risque de développer la maladie d’Alzheimer. Jusqu’alors, 100 000 malades sont dépistés dans le pays. La statistique n’est évidemment pas exhaustive tant que la pathologie reste sous-diagnostiquée, pour diverses raisons. Pourtant, huit centres de mémoires sont opérationnels en Algérie.

La maladie d’Alzheimer, confondue il y a encore quelques années avec la sénilité, est devenue très évocatrice pour les Algériens. Le fait n’est pas dans l’augmentation des nombres de personnes âgées atteintes de ce mal, mais plutôt par sa médiatisation et une amorce de sa prise en charge thérapeutique dans notre pays. Une rencontre a été organisée samedi à l’hôtel Sheraton par le laboratoire Pfizer et animée par trois neurologues pour familiariser les médecins généralistes avec cette maladie, les amener à reconnaître ses symptômes potentiels et inscrire, par conséquent, le patient dans la dynamique des soins. D’autant que le mal guette de plus en plus d’Algériens, qui ont gagné, en quelques décennies, vingt ans d’espérance de vie. Le Pr Meriem Abada-Bendib, chef de la consultation “mémoire” au service neurologie de l’hôpital Lamine-Debaghine (CHU de Bab El-Oued) a indiqué que “l’espérance de vie en Algérie est passée de 55 à
76 ans aujourd’hui. Les personnes âgées de plus de 60 ans sont évaluées à deux millions et demi, soit une proportion de 7,4% de la population générale du pays”. Le risque de développer la maladie d’Alzheimer est d’autant plus grand. Il est estimé à 6% des catégories menacées.
Les femmes en sont plus exposées que les hommes, peut-être parce qu’elles vivent plus longtemps. Au-delà de l’âge, certains facteurs favorisent l’apparition de cette maladie neurodégénérative du tissu cérébral, tels que une prédisposition héréditaire, des antécédents de dépression ou de traumatisme crânien, la présence du gène Apo E4 dans le corps ou encore la combinaison de différentes pathologies comme une hypercholestérolémie, une hypertension artérielle, un diabète, le tabagisme, une insuffisance respiratoire, l’alcoolisme… Selon les données épidémiologiques, 100 000 cas ont déjà été recensés en Algérie, pour quelque 25 millions de malades dans le monde. Mais la statistique nationale n’est nullement exhaustive. Le Pr Elias Attal, neurologue à l’EHS Aït Idir, a affirmé que “pour avoir des chiffres fiables en Algérie, il faudrait déjà que le diagnostic soit fait”. Ce qui est loin d’être une sinécure. “Les patients ne sont pas vus de manières ordinaire. Ils nous sont envoyés de façon anarchique et les consultations ne sont pas régulières”, a-t-il complété en précisant que “l’alzheimer n’est pas un diagnostic d’un seul jour, mais d’un suivi”. Pour une majorité des familles, quand l’aïeul commence à montrer des troubles de comportement et des pertes constantes de mémoire, son état est mis sur le compte de la fatalité de l’âge avancé, sans nécessité particulière de consulter un spécialiste de la santé. Pourtant, le dépistage de la maladie, particulièrement s’il est établi à ses tout débuts, offre l’avantage d’initier un traitement thérapeutique rapidement et freiner, par la même occasion, sa progression, tout en permettant un meilleur confort de vie au patient. D’autant que la maladie met, en général, cinq années pour s’installer définitivement, de l’avis des spécialistes qui regrettent que les patients leur arrivent souvent quand il n’y plus grand-chose à faire en matière de traitement symptomatique. “Si les traitements dont on dispose pour l’alzheimer sont démarrés assez tôt, ils peuvent parfois faire reculer le passage à la perte d’autonomie, jusqu’à la mort naturelle”, a-t-on affirmé. Pour parvenir à de telles situations, il est indispensable que les proches soient sensibilisés sur l’intérêt de la visite chez le médecin, un généraliste en premier lieu, et surtout qu’ils sachent reconnaître les symptômes précurseurs de l’alzheimer.
Le premier signe d’alerte est indubitablement les troubles de la mémoire des faits récents, oubli des noms et des dates importants… Suivront des difficultés dans le langage parlé et écrit, et à se repérer dans de nouveaux lieux ; changements dans le comportement (la personne devient lunatique, facilement irritable, parfois agressive… ), problème d’insomnie, altération des capacités de jugement, d’accomplissement de tâches quotidiennes relativement simples ou à retrouver des objets, etc.
En somme, la personne âgée présente des caractéristiques de démence. Il n’en demeure pas moins que le Dr Smaïl Daoudi, exerçant au service de neurologie du CHU Tizi Ouzou, a tenu à expliquer que “tous les syndromes démentiels ne sont pas des maladies d’Alzheimer”, eu égard aux critères larges qui président au diagnostic de la maladie. Comment réagir alors devant un syndrome démentiel et comment distinguer la maladie d’Alzheimer d’une autre forme de dégénérescence cérébrale ? Le Dr Daoudi a répondu à cette interrogation en affirmant qu’il faut identifier d’abord les signes de l’aliénation mentale, éliminer ce qui n’est pas démence, éliminer une affection aiguë, rechercher une cause, traiter si besoin, adresser en consultation spécialisée, c’est-à-dire soit un neurologue, ou psychiatre. À ce niveau-là, les consultations mémoire revêtent une importance capitale. Il en existe huit sur l’ensemble du territoire national. Elles sont ouvertes dans les services neurologie des CHU de Bab El-Oued, Mustapha, Frantz-Fanon de Blida, CHU Nedir-Mohamed de Tizi Ouzou, Errazi d’Annaba et Constantine, ainsi qu’au niveau des EHS Aït-Idir d’Alger, et aussi dans les cabinets privés de psychiatres et neurologues.
Lors de son exposé, le Pr Meriem Bendib-Abada a expliqué que la consultation “mémoire” consiste en l’établissement d’un diagnostic précoce et précis, son annonce à la famille, puis la mise en œuvre d’un suivi thérapeutique du patient. Elle a détaillé le déroulement de la consultation, qui est souvent motivée par une lettre d’orientation d’un médecin traitant (un généraliste dans la majorité des cas). Le praticien engage un entretien avec le patient et sa famille, à la recherche des antécédents familiaux de la maladie, trace l’historique des symptômes évoquant potentiellement la maladie d’Alzheimer (plainte mnésique, modification du caractère, changement de comportement, rupture dans les activités de la vie quotidienne). “Tout élément évoquant un déclin cognitif doit conduire à une évaluation des fonctions cognitives et des activités de la vie quotidienne”, a conseillé le professeur. Le traitement améliore et stabilise la fonction cognitive ou retarde son déclin. Il en est de même du confort dans les activités de vie quotidienne et le fonctionnement global, et réduit les troubles du comportement (hallucinations, idées délirantes, agitation et apathie).
Elle a souligné le rôle du médecin généraliste dans la prise en charge et le suivi du patient une fois le traitement spécifique instauré par le spécialiste (gériatre, psychiatre, neurologue). “Il gère le traitement spécifique (adaptation) et le traitement symptomatique. Il est attentif aux problèmes quotidiens liés aux pathologies intercurrentes, poids et état nutritionnel.” Il a affirmé que si “la prise en charge de la maladie d’Alzheimer est multidisciplinaire, le médecin généraliste en est le pivot”.
Plus d’un siècle après sa découverte par un neuropathologiste allemand qui lui donna son nom, la maladie d’Alzheimer n’a pas encore livré tous ses secrets aux scientifiques, lesquels peinent encore à lui trouver le médicament miracle qui la guérit. Pour l’heure, les praticiens de la santé n’agissent que sur ses symptômes, et tentent de retarder, autant que possible, sa progression. Mais, dans la majorité des cas, les personnes qui en sont atteintes ne sont soumises à aucun traitement. Elles sombrent peu à peu dans la démence, jusqu’à ce que la mort survienne. Elles constituent, souvent, un lourd fardeau à porter pour les proches, qui ne savent pas comment réagir efficacement face aux manifestations du mal.
source:www.liberte-algerie.com

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samedi 3 avril 2010

أكثر من 30 ألف مصاب، ?95 منهم تجاوز العقد السادس

مرض الزهايمر في تونس
مريم عثماني
نظمت الجمعية التونسية للزهايمر مساء الجمعة الماضى بالمنزه السادس يوما اعلاميا حول مرض الزهايمر موجه للمرضى وعائلاتهم.
وبينت السيدة ليلى الطرابلسي علوان رئيسة الجمعية التونسية للزهايمر بان عدد المصابين بهذا الداء يتراوح بين 30 و35 الف مريض في تونس ومن ادوار الجمعية تحسيس عائلات المرضى بأهمية العناية بهم ومساعدتهم على التأقلم مع هذه الاصابة.
كما بينت ان المصاب بالزهايمر لا يعاني وحده وطأة المرض لأن العائلة تعيش هي الاخرى صعوبة التأقلم مع المرض اضافة الى ارتفاع تكاليف الادوية والاحاطة بالمريض التي تصل الى قرابة خمسة الاف دينار في السنة لذلك تأمل الجمعية بأن يدرج الصندوق الوطني للتأمين على المرض مرض الزهايمر كمرض مزمن او مرض طويل الأمد مع العلم ان الصندوق يتكفل حاليا بارجاع مصاريف الادوية الاساسية لهذا المرض.
كما تأمل الجمعية احداث مركز للاحاطة بهؤلاء المرضى والعناية بهم كما دعت رئيسة الجمعية الى ضرورة الكشف المبكر لتشخيص المرض باعتبار ان الدواء يساهم في التقليل من حدة المرض اذا ما تم الكشف عن المرض بصفة مبكرة.
من جهتها اعتبرت الدكتورة سندس بكار زروق المختصة في طب الشيخوخة بمستشفى محمود الماطري بأريانة ان مرض الزهايمر يستوجب الكثير من العناية لا على مستوى الادوية فحسب بل كذلك على مستوى الاحاطة العائلية مبرزة ان اعراض هذا المرض تبدأ من خلال بداية فقدان الذاكرة بصفة تدريجية ونسيان الاحداث الانية مقابل المحافظة على الذاكرة القديمة نوعا ما اضافة الى بداية فقدان النطق مما يستوجب حتما من عائلة المريض التوجه به الى اطباء الشيخوخة.
وأضافت الدكتورة بكار ان بين 90 و95? من المرضى في تونس هم فوق سن الـ 65 سنة... مضيفة بأن هناك عدة وسائل قادرة على التخفيف من وطأة الاصابة لدى هؤلاء المرضى على غرار المعالجة بالموسيقى وتعاطي الانشطة الرياضية والعناية بالمسن برفق خاصة ان المريض يصبح في بعض الاحيان عنيفا او حزينا لعدم اهتمام الجميع به ونسيانه...
في السياق نفسه بينت الدكتورة منى بن جبارة المختصة في طب الاعصاب بمستشفى الرازي ان هناك العديد ممن يجهلون هذا المرض خاصة وان الادوية الموجودة الى حدّ الان لا تشفي المريض بصفة نهائية لذلك يعدّ هذا اللقاء الاعلامي مناسبة لابراز الحلول الجديدة التي تقلل من وطأة المرض على غرار التداوي بالموسيقى والرياضة...
وأكدت الدكتورة هادية الجعايبي ان هناك العديد من الوسائل البسيطة القادرة على التخفيف من المرض من خلال خلق بعض الانشطة المنزلية كالبستنة والعناية بالبيت وتعاطي بعض الانشطة التقليدية... التي تساهم بدورها في تأقلم المريض مع مرضه ونسيانه والابتعاد عن العزلة.
واعتبر الدكتور خالد البريكي المختص في طب الشيخوخة ان الزهايمر ناجم عن تقدّم السن بصفة خاصة. فكلما تقدم الانسان في سنّه كلما اصبح معرّضا للإصابة بمرض الزهايمر الذي يؤثر من جهة على المريض ومن جهة اخرى على العائلة التي تصبح غير قادرة على التأقلم مع المريض الذي يستوجب عناية كبيرة ويمنع تركه بمفرده في المنزل. لذلك تعدّ الوسائل غير المقترنة بالأدوية احدى أهم الوسائل التي تساهم في الإحاطة بالمريض.

source: www.essahafa.info.tn

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Santé: Alzheimer, malades et familles ont besoin de soutien

Le vendredi 2 Avril 2010 à la salle La marquise à El Menzah 6, une conférence a été organisée par l’Association Alzheimer Tunisie dont la présidente est Mme Alouane Leila. Cette conférence a porté sur le thème: Les actualités thérapeutiques dans la maladie d’Alzheimer.



Une équipe pluridisciplinaire a expliqué aux invités la nécessité de la prise en charge globale du malade. Les présents ont eu l’occasion de poser des questions à cette équipe de spécialistes. Certains invités ont évoqué leur expérience avec beaucoup d’émotions.



L’échange entre le corps médical et les invités présents a permis de rassurer et d’orienter les familles qui vivent au quotidien avec les problèmes que pose la maladie d’Alzheimer. En effet, l’Alzheimer est une maladie de la famille. La prise en charge devient de plus en plus difficile avec l’évolution des troubles, les proches du malade se retrouvent incapables de l’assurer. Le besoin d’aide se révèle indispensable.



Rappelons que l’Alzheimer est une maladie dégénérative du cerveau qui touche principalement les sujets âgés. Elle présente des troubles de la mémoire, du langage et du comportement.



Le vieillissement de la population entraînera une forte augmentation du nombre de personnes atteintes ces prochaines décennies. En Tunisie on compte aujourd’hui environ 35000 malades déclarés. Ce chiffre atteindrait les 60000 en 2020.



Grâce à l’association Alzheimer Tunisie, les proches des malades d’Alzheimer sont écoutés, soutenus et surtout informés sur les différentes facettes de cette maladie.



Un grand merci à l’Association Alzheimer Tunisie.



Emna Ch

source:www.tuniscope.com

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la conférence en images



Hetty Jaïbi-Fransen ergothérapeute


Docteur Sondos Baccar(Gérontologue du secteur public)


Docteur Mouna Ben Djebara (Assistante hospitalo-universitaire en Neurologie, au CHU Razi de la Manouba)




la présidente de l'association Alzheimer Tunisie Pr Leila Trabelsi Alouane

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jeudi 1 avril 2010

Invitation


Dans le cadre de ses activités de formation information, l’Association Alzheimer Tunisie, organise le 2 Avril 2010, une conférence intitulée : « Les Actualités Thérapeutiques dans la Maladie d’Alzheimer ». Elle sera suivie d’un débat sur les « thérapies non médicamenteuses »
Cette conférence s’adresse aux professionnels de la santé (secteur public et privé) et au grand public.
Elle sera animée par le Docteur Mouna Ben Djebara (Assistante hospitalo-universitaire en Neurologie, au CHU Razi de la Manouba). Le débat sera modéré par les docteurs Hatem Briki (Gérontologue de libre pratique) et Baccar Sondos et Ilhem Karoui (Gérontologue du secteur public).
la conférence aura lieu a l'espace "la Marquise" cité Jamil el menzeh VI a partir de 15H00.
Nous serons très heureux de pouvoir vous compter parmi nos participants et soutiens.

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