A propos de L'Association

Alzheimer Tunisie a été fondée le 13 Mars 2006 (JORT N°24 du Vendredi 24/03/2006

Notre association, à but non lucratif, a pour objectif de Contribuer à l'amélioration de la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et d'apporter l'aide et l'assistance à leurs famille.

Pour nous contacter:

email: alzheimer.tunisie@gmail.com
tel: +216 98 61 39 76
adresse postale: BP N°116-Cité El Khadra-1003 Tunis
jeudi 30 juillet 2009

Alzheimer : connaitre le risque que l'on court n'engendre pas d'angoisse particulière

Une étude du New england journal of medicine

Les personnes informées du risque qu’elles courent de développer la maladie d’Alzheimer à l’issue d’un test génétique le prennent sans angoisse particulière. Tel est le résultat essential d’une étude publiée jeudi 23 juillet par le New England Journal of Medicine.

Les résultats ne se concluent pas sur l’idée qu’il est nécessaire de pousser les gens vers un test génétique dit le Dr Robert Green. La crainte que des résultats positifs poussent les gens au desespoir a été déçue. "Tous nos patients qui ont participé à l’étude comprenaient le but de l’opération et se sont révélé capables de gérer le risque » dit le Fr Green chercheur à Boston University School of Medicine.

Tous ceux qui ont été nombreux à apprendre qu’ils ne risquaient pas d’être victimes de cette terrible maladie se sont montrés grandement soulagés. La maladie d’Alzheimer touche 5 millions d’Américains, la plupart état ages de 60 ans et plus. Les personnes porteuses du gène connu sous le nom de APoE4 sont susceptible de développer la maladie trois à quinze fois plus fréquemment que les autres, le risqué étant lié à la présence plus ou moins nombreuses de copies du gène. La présence d’ APoE4 n’est toutefois pas un signe certain de la maladie.

Les Experts recommandent un test pour toutes les personnes qui c commencent à développer les symptômes de perte de mémoire. Aux Etats Unis, un grand nombre d’entreprises ont commence de commercialiser des tests auprès du grand public alors même qu’il n’existe aucun médicament capable d’enrayer cette maladie.

L’étude mesure l’angoisse, la dépression et les niveaux de stress de 162 adultes en bonne santé, âgés de 50 ans en moyenne, qui étaient les enfants ou les frères et sœurs de personnes malades d’Alzheimer. La plupart voulaient savoir s’ils étaient porteurs du gène mais les personnes dépressives ou en proie à de sévères angoisses n’ont pas été admises au sein du protocole de l’étude.

Au sein du groupe selectionné, les deux tiers ont eu connaissance des résultats. Le tiers suivant s'est vu refuser le résultat du test génétique. Le niveau d’angoisse et de stress au sein des deux groups est resté identique.

La moitié des personnes a qui les résultats ont été communiqués ont été testé positives : ils étaient propriétaires du gène APoE4 . Tous ont dit qu’ils ne regrettaient pas d’avoir connaissance des résultats.

Mais chez les non porteurs du gène le niveau d’angoisse et de stress n’a baissé que légèrement. Des études similaires menées sur les patients victimes d’autres maladies graves n’ont pas démontré de résultats différents a déclaré Elizabeth Thomson directeur du National Human Genome Research Institute. «Ne pas savoir semble pire que savoir” a t-elle déclaré.

16% des personnes qui se sont vu refuser communication des résultats ont quitté le protocole de recherche. « Une fois que vous vous êtes faits à l’idée de savoir, vous ne supportez plus qu’on vous e non” a analysé le Dr Green. New England Journal: http://nejm.org


source: www.agevillagepro.com

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lundi 27 juillet 2009

Vaincre l'Alzheimer par l'alimentation?

Des chercheurs prétendent que la vitamine D et la curcumine pourraient prévenir contre l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Une recherche publiée dans le Journal of Alzheimer's Disease nous apprend que la combinaison de vitamine D et de curcumine, que l’on retrouve en abondance dans le curcuma, stimule le système immunitaire au point de ralentir la formation des plaques amyloïdes dans le cerveau.

«Nous espérons que la vitamine D3 et la curcumine, deux nutriments existant dans la nature, offrent de nouvelles possibilités de préventionhttp://www.blogger.com/post-edit.g?blogID=6096689055679670462&postID=64762033689465017 et de traitement de la maladie d'Alzheimer», a fait savoir l’un des auteurs de cette étude, le Dr Milan Fiala de l'école David Geffen de médecine de l’Université de la Californie à Los Angeles.

Selon le chercheur, la curcumine artificielle est plus efficace que la naturelle, car elle est absorbée plus rapidement par l’organisme.

«Étant donné que la vitamine D et la curcumine fonctionnent différemment avec le système immunitaire, nous pourrions découvrir qu'une combinaison des deux, ou chacune prise séparément, peut être plus efficace selon le patient», a conclu monsieur Fiala.

source: http://sante.canoe.com

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samedi 25 juillet 2009

La maladie d'Alzheimer gagne du terrain

La Commission propose d'améliorer la coordination de la lutte contre la maladie d'Alzheimer et les autres formes de démence.

Vingt pays unissent leurs efforts pour étudier la maladie d'Alzheimer et d'autres formes de démence, dans le cadre du premier essai d'une nouvelle approche de la recherche en Europe.

Les recommandations présentées l'an dernier par la Commission invitent les pays de l'UE à mettre leurs travaux de recherche en commun afin d'éviter tout double emploi et tout gaspillage financier. Actuellement, près de 85 % des fonds publics alloués à la recherche en Europe sont consacrés à des projets exclusivement nationaux.

Les dirigeants européens ont approuvé l'idée de la «programmation conjointe» en décembre, à condition que la participation aux projets soit facultative et que leurs objectifs aient une portée européenne ou mondiale. La démence, déclin permanent ou progressif des capacités mentales, paraissait le sujet idéal pour un projet pilote, car elle constitue un problème croissant dans tous les pays de l'UE. Son coût pour les systèmes de santé est considérable: environ 130 milliards d'euros en 2005.

Si cet essai est concluant, il devrait susciter des projets communs de recherche dans d'autres domaines, notamment celui du changement climatique. Si les pays coordonnent leurs travaux, les avancées seront spectaculaires, estime Janez Potocnik, commissaire chargé de la recherche.

Quelque 7,3 millions d'Européens souffrent d'une forme de démence. Ce chiffre devrait doubler d'ici vingt ans, à mesure que croît l'espérance de vie. La pathologie la plus courante - 70 % des cas - est la maladie d'Alzheimer, qui cause des pertes de mémoire et altère les capacités mentales. Il n'existe pas encore de remède.

Ce projet pilote s'inscrit dans le cadre d'un plan d'action plus vaste, que la Commission a préparé en prévision de l'augmentation attendue des cas de démence. Outre l'accent mis sur la coopération en matière de recherche, ce plan exhorte les États membres à mettre en commun leurs compétences et à établir ensemble des stratégies de diagnostic précoce des démences.

La maladie d'Alzheimer se déclare généralement après 60 ans et le risque augmente avec l'âge. Les personnes chez qui la maladie est diagnostiquée tôt peuvent adopter au quotidien des habitudes susceptibles d'améliorer leur qualité de vie. Elles peuvent également prendre pleinement part aux décisions concernant leur traitement, mettre de l'ordre dans leurs finances ou bénéficier d'un appui psychologique.

© News Press 2009


source: http://www.tv5.org/TV5Site/info/communiques-de-presse-article.php?NPID=FR218047

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lundi 20 juillet 2009

Et si l'on pouvait prédire Alzheimer grâce à une simple prise de sang ?

La maladie d'Alzheimer est une maladie neuro-dégénérative du tissu cérébral qui entraîne la perte progressive et irréversible des fonctions mentales. Principale cause de démence chez les personnes âgées, elle touche environ 26 millions de personnes dans le monde dont environ 5,3 millions d'américains. Elle se caractérise, au stade précoce, par l'apparition de plaques de protéine beta-amyloïdes et d'agrégats pathologiques de la protéine Tau (protéine associée aux microtubules), responsables de la dégénérescence neuro-fibrillaire dans le cerveau des patients.

Les tests sanguins actuellement développés pour le dépistage de la maladie d'Alzheimer sont basés sur la mesure de facteurs caractéristiques de la présence d'une inflammation et/ou d'une infection, facteurs dont la spécificité est insuffisante puisqu'ils sont détectables également dans d'autres maladies, telles que l'athérosclérose, ce qui complique l'interprétation des résultats.

Dans cette étude, des scientifiques de l'"University of California" de Los Angeles, dirigés par le Dr Milan Fiala, ont découvert un moyen de mesurer la quantité de protéines beta-amyloïdes absorbée et donc éliminée par les monocytes, cellules immunitaires circulant dans le sang et responsables de la phagocytose des déchets ou éléments étrangers rencontrés. Après isolement de monocytes des échantillons de patients, les scientifiques ont utilisé des protéines marquées par un flurochrome, pour mesurer par cytométrie de flux, la quantité de beta amyloïdes ingérée par les monocytes en évaluant l'intensité de fluorescence émise par chaque cellule.

Les résultats montrent que les monocytes de patients atteints d'Alzheimer présentent une plus faible quantité de protéines beta-amyloïdes ingérées par rapport aux cellules de personnes saines. Ces résultats sont observés pour 94% des patients Alzheimer et 60% de patients atteints de troubles cognitifs moyens, une condition qui augmente le risque de développement de la maladie d'Alzheimer. Au cours du temps, la quantité de protéines beta - amyloïde ingérée diminue chez les patient Alzheimer alors qu'elle reste haute chez le groupe contrôle.

L'entreprise de biotechnologie "MP Biomedicals LLC", qui consacre ses recherches sur la maladie d'Alzheimer a reçu une licence exclusive mondiale pour commercialiser cette technologie issue de UCLA et mettre au point un test diagnostic, test qui pourrait permettre de prescrire de manière plus précoce des examens avancés tel qu'un "PET scan" cérébral et des tests neurocognitifs.

source: http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/60031.htm

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dimanche 19 juillet 2009

Une banque de cerveaux contre Alzheimer


L'hôpital de la Pitié-Salpêtrière a mis en place depuis 2006 un projet de ressources biologiques afin d'étudier les maladies neurodégénératives

Les personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer sont de plus en plus nombreuses, et le vieillissement de la population en est une raison. La science fait des avancées et continue avec dynamisme les recherches. Dans cette optique l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière a mis en place depuis 2006 un projet de ressources biologiques. (Les échos : 01/07/09)

Pour toute personne désireuse de faire don de son cerveau à la recherche après son décès, il est nécessaire de se manifester auprès de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. On espère ainsi que les avancées permettront de traiter la maladie en amont, et non plus essentiellement les symptômes de celle-ci, comme c’est le cas à l'heure actuelle.

Toutefois un diagnostic précoce est indispensable afin de permettre une prise en charge à la fois médicale et sociale.

Chaque année 165000 cas sont déclarés, et un malade sur deux est pris en charge par sa famille.

source: http://www.capgeris.com/actualite-349/une-banque-de-cerveaux-contre-alzheimer-a12872.htm

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mercredi 15 juillet 2009

Association Alzheimer Tunisie

Association Alzheimer Tunisie
Publié le 13-07-2009

Contribuer à l'amélioration de la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. Apporter aide et assistance à leurs familles.




Alzheimer Tunisie, Association à but non lucratif, a été fondée le 13 Mars 2006 (JORT N°24 du Vendredi 24/03/2006) et a pour objectif de Contribuer à l'amélioration de la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et d'apporter l'aide et l'assistance à leurs famille.
L’Association Alzheimer Tunisie est membre de l’Alzheimer Disease International (ADI). Fondée en 1984, l’ADI célèbre la journée mondiale de l’Alzheimer le 21 Septembre de chaque année.


La maladie d'Alzheimer est certainement l'une des maladies dégénératives cérébrales qui effraie le plus.
Si pour l'instant aucun traitement radical n'a été trouvé, la science avance et permet d'espérer des solutions dans les années à venir.



Objectifs spécifiques de l’Association
- Informer et soutenir les familles des malades et les orienter vers les structures d’accueil et les organismes adaptés.
- Améliorer l’accompagnement et la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
- Former les aidants (bénévoles et professionnels) dans le domaine de la prise en charge des malades.
- Soutenir la recherche sur la maladie d’Alzheimer.

Plan d’actions 2009 – 2012 de l’Association
- Premier objectif : informer, aider et former les aidants
o Formations des aidants : Nous souhaitons pouvoir assurer Deux jours de formation par an à chaque aidant familial.
o Santé des aidants : Nous souhaitons pouvoir assurer la formation et la sensibilisation des médecins de famille et médecins de première ligne à l’évaluation simple de l’état de santé de l’aidant et à sa prise en charge physique et psychologique.

- Deuxième objectif : coordination entre tous les intervenants.
Pour cela, Alzheimer Tunisie propose la création d’un guichet unique au sein de la CNAM qui pourra répondre à une prise en charge pluri-professionnelle et multidisciplinaire, sociale, médicale et paramédicale, avec des objectifs partagés par les différents acteurs et ce dès le diagnostic afin d’épargner des souffrances inutiles, des dépenses injustifiées et une altération précoce de l’état général du malade.
Elle se propose aussi d’éditer un guide sur « le parcours de la maladie d’Alzheimer » qui sera mis à jour régulièrement en fonction des acquis obtenus. Ce guide devrait impliquer tous les intervenants.

- Troisième objectif : améliorer la prise en charge à domicile par la formation d’auxiliaires de vie spécialisés
Ces interventions à domicile seront rendues possibles par la formation spécialisée des auxiliaires de vie et par l’adaptation de la tarification aux capacités économiques des familles.

- Quatrième objectif : Création d’une « carte de soins et d’informations Maladie d’Alzheimer » pour chaque malade

- Cinquième objectif : Création d’une structure de rencontre ou de « repos et de répit »
Ce projet demande un grand investissement en locaux, matériels et professionnels. Il constitue cependant un de nos projets les plus ambitieux que nous espérons un jour réaliser.


Pour plus de renseignements, vous pouvez télécharger le PLAN D’ACTIONS 2009-2012, cliquez-ici


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Questions / Réponses à
Mme Leila ALOUANE,
PRESIDENTE de l’Association Alzheimer-Tunisie

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En 2008 vous déclariez au Journal Le Quotidien «Nous œuvrons auprès de la CNAM pour inscrire l’Alzheimer dans la liste des maladies chroniques» qu’en est-il ?
Nous sommes en bonne voie et avons des réunions au cours de ce mois avec les responsables à ce propos.
Faire adopter par la CNAM la prise en charge intégrale de la Maladie d’Alzheimer est d’ailleurs dans les urgences de notre plan d’actions 2009 – 2012.


Le Professeur Françoise Forette (chef du service de gérontologie de l'hôpital Broca à Paris, directrice de la Fondation Nationale de Gérontologie et Présidente d'International Longevity Center-France) interviewée il y a quelques jour sur BFM TV disait qu’il y avait en France des consultations spécialisées pour faire des évaluations de mémoire et avoir un diagnostic de la maladie. Y a-t-il le même type de possibilité en Tunisie ? A qui et où peut-on s’adresser ?
Oui ce genre de consultations existe dans les services de neurologie spécialisés dans le cadre de la prise en charge de La maladie d’Alzheimer.


Existe-t-il des structures d’accueil spécialisées pour les malades quand on arrive plus à les gérer ?
Non pas actuellement, cela fait partie de l’un de nos objectifs. Dans quelques mois il va y avoir l’ouverture du centre du jour de La maladie d’Alzheimer à Razi et il y aura la possibilité d’accueillir certains cas.


Avez-vous des chiffres récents pour la Tunisie ? Nombre de malades détectés par an ? Age moyen de détection de la maladie ? Statistiques récentes pour le Tunisie ?
La plus récente statistique est le travail de thèse du Dr Hatem Zekri, soutenue en mai 2009 au service du Pr Gouider. Les chiffres n’étant pas publiés dès que nous aurons sont autorisation ils seront diffusés.


Etes-vous optimiste pour l’avenir ? Pensez-vous qu’un traitement sera rapidement trouvé ?
Optimiste pour ce que nous pourrons donner aux aidants et surtout leur propre prise en charge. Pour le traitement je suis convaincue que dans 10 ans, un vaccin sera mis sur le marché. Actuellement nous lançons un appel pour que le diagnostic précoce soit fait et une bonne prise en charge multidisciplinaire (neurologue, psychiatre, gérontologue, orthophoniste, kinésithérapeute, ergothérapeute et nutritionniste) soit rapidement instaurée pour retarder les complications d’au moins 5 à 7ans.


Comment peut-on faire pour soutenir l’Association ? Comment devenir membre de l’Association ? Prix de l’adhésion ?
Vous la soutenez en y croyant, en en parlant autour de vous, en sensibilisant les gens, en y adhérant (20d/an) et surtout en participant à nos manifestations.
Nous avons déjà mis en place un numéro unique et depuis le 18 décembre 2008 un site Internet d’information et d’orientation locale
www.alzheimertunisie.com.
Il permet à toute personne de joindre l’association pour des renseignements et des conseils. L’association s’applique à instaurer un numéro vert national. Ce numéro permettra de joindre l’association pour un soutien ou une écoute.
L’objectif est double : il s’agit d’une part de garantir un soutien et une écoute aux aidants et d’autre part de fournir des informations sur la prise en charge, le soutien à domicile et dans le futur, les possibilités de répit à un endroit donné .
L’objectif est ainsi d’offrir une réponse rapide, locale, aux attentes des personnes malades et de leurs familles.
Actuellement notre association cherche à former les écoutants et développer les outils de réponse aux personnes concernées.





Et pour en savoir encore plus…

Qu’est ce que la maladie d’Alzheimer ?

1. la maladie d’Alzheimer est une maladie dégénérative qui provoque des lésions au niveau du cerveau. Plusieurs changements se produisent dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Ce n’est pas un processus normal de vieillissement.

2. on ignore actuellement la cause de la maladie d’Alzheimer pour laquelle il n’existe actuellement aucun traitement curatif. Il existe cependant des médicaments qui agissent sur certains symptômes et des stratégies qui peuvent aider à la fois la personne atteinte de la maladie et sa famille.

3. La maladie d’Alzheimer peut frapper les adultes à n’importe quel âge mais elle survient habituellement chez les personnes de plus de 65 ans.

4. Au fur et à mesure que la maladie d’Alzheimer affecte chaque région du cerveau, elle peut entraîner la perte de certaines fonctions ou habilités. Cela résulte en des symptômes ou des changements spécifiques dans le comportement de la personne, il est important de se rappeler qu’une fois l’habilité perdue, elle peut rarement être apprise de nouveau.

5. bien que la maladie entraîne des changements, elle ne modifie pas la capacité de la personne à éprouver des sentiments comme la joie, la colère, la peur, l’amour ou la tristesse, et à réagir à ces sentiments. Cela nécessite de la part de l’entourage une attention affective permanente.

Les signes précurseurs de la maladie d’Alzheimer
Les symptômes les plus saillants de la maladie d’Alzheimer comprennent la perte de la mémoire, la difficulté et a s’orienter dans l’espace et le temps, de même que des changements d’humeur et de comportement. Les personnes peuvent penser, a tort, que ces symptômes font partie du processus normal de vieillissement. Il est donc important de consulter un médecin dès l’apparition d’un ou de plusieurs de ces symptômes.

Maladie d’Alzheimer en chiffres
La maladie d’Alzheimer existe dans tous les pays du monde on estime que 12 millions de personnes environ sont touchées, et ce nombre ne cesse d’augmenter. En 2025, on comptera environ 18 millions de malades Alzheimer (71 % dans les pays industrialises).
En moyenne, 3% des sujets de plus de 65 ans en sont atteints.
Dans le monde arabe, on compte actuellement 1.5 million de malades atteints par l’Alzheimer .A ce titre, plusieurs associations ont été créées pour aider les malades et leurs familles notamment en Egypte, au Liban, a Bahrain, etc.

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Bureau actuel de l’Association

- Présidente : Mme Leïla Alouane
- Vice - Présidente : Mme Rakia Belkahia
- Secrétaire Générale : Melle Lamia Benhassine
- Trésorière : Mme Mongia Bouchoucha
- Trésorière adjointe : Mme Oum Kalthoum Dammak
- Chargée de la Communication avec les médias :Mme Souad Jouini
- Chargé des affaires juridiques : Mr Mahmoud Mili
- Chargée de la communication et des actions auprès des familles: Mme Gargouri Sethom Samira


Pour en savoir plus ou pour les aider
Association Alzheimer Tunisie
BP N°116-Cité El Khadra-1003 Tunis - Tél: (+216) 98 61 39 76

L’association sur Facebook http://www.facebook.com/AlzheimerTunisie

Mail et site web officiel de l'Association, cliquez sur les liens ci-dessous.



Cet article est proposé par : Association Alzheimer Tunisie



http://www.alzheimertunisie.com





source: hammam ensa: portail tunisien des femmes modernes

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jeudi 9 juillet 2009

L'explosion des cas d'Alzheimer, de Parkinson et de diabète liée aux nitrates?

Une importante augmentation des taux de mortalité de la maladie d'Alzheimer, de la maladie de Parkinson et du diabète est survenue dans les dernières décennies en parallèle avec une augmentation de l'exposition aux nitrosamines dans l'alimentation et l'environnement selon une recherche américaine publiée dans le Journal of Alzheimer's Disease.

Les nitrosamines, nitrates et nitrites (1) peuvent provoquer des dommages à l'ADN, un stress oxydatif, la mort de cellules et le cancer. Ils ont aussi été associés à la résistance à l'insuline, rapportent les auteurs, Suzanne de la Monte de l'Université Brown et ses collègues.

L'augmentation rapide des taux de ces maladies dans les récentes décennies ne peut pas être expliquée par la génétique, considèrent les chercheurs. Les tendances épidémiologiques indiquent plutôt que ces maladies sont causées par l'exposition à des éléments de l'environnement.

Ils proposent l'hypothèse que l'exposition aux nitrates, nitrites et nitrosamines, par le biais de l'alimentation, du tabagisme et de l'Utilisation de produits tels que les engrais, peuvent être à blâmer.

"Si cette hypothèse s'avère exacte", disent-ils, "des solutions potentielles incluraient d'éliminer l'utilisation des nitrites et nitrates dans les aliments et l'agriculture; de prendre des mesures pour prévenir la formation de nitrosamines (1) et d'employer des mesures sécuritaires et efficaces pour décontaminer la nourriture et l'eau avant la consommation humaine".

Certaines nitrosamines sont ajoutées aux aliments pour différentes raisons. Le nitrite de sodium, par exemple, est ajouté à la viande et au poisson pour prévenir la production de toxines par la bactérie Clostridium botulinum. Elles sont aussi utilisées pour préserver les viandes et leur ajouter de la couleur et de la saveur.

D'autres sources d'expositions sont les produits de caoutchouc et de latex, les engrais, les pesticides et les produits cosmétiques.

Des études précédentes ont montré que des changements cellulaires provoqués par les nitrosamines sont similaires à ceux qui se produisent lors du vieillissement normal et dans des maladies caractérisées par une résistance à l'insuline.

Les chercheurs ont étudié les tendances de mortalité de 1968 à 2005. Durant cette période, les taux de décès de la maladie d'Alzheimer ont été multipliés par 150 chez les personnes âgées entre 75 et 84 ans et par 800 chez celles âgées de 85 ans et plus.

Des données sur la maladie de Parkinson n'étaient disponibles qu'à partir de 1980. De 1980 à 2005 les taux de décès ont triplé chez les 75 à 84 ans et ont été multipliés par 6 chez les plus de 85 ans.

Quant aux taux de décès du diabète, ils ont atteint leur niveau plus bas dans les années 1980 et augmenté jusqu'à atteindre un plateau dans les 3 ou 4 années précédent 2005.

Ces variations ont été comparées avec les tendances de consommation du fast food, l'utilisation d'engrais contenant du nitrite, les ventes des grandes industries de transformation de la viande et la consommation de grains, toutes des mesures indirectes de l'exposition aux nitrosamines de 1955 à 2005.

De forts parallèles ont été constatés entre les augmentations dans les expositions et les taux de mortalité. La consommation d'engrais contenant du nitrogène a augmenté de 230% entre 1955 et 2005 et a doublé entre 1960 et 1980, "juste avant l'épidémie de résistance à l'insuline", rapportent les chercheurs. De plus, les ventes des chaînes de fast-food et de l'industrie de transformation de la viande ont été multipliées par 8 de 1970 à 2005 et la consommation de grains a été multipliée par 5.

"Les expositions aux nitrites et aux nitrosamines par le biais de la nourriture, de l'eau, et de l'agriculture ont augmenté juste avant et pendant le même intervalle (que l'augmentation des taux de mortalité pour ces maladies) en raison de la prolifération d'aliments préparés, des exigences accrues pour la conservation des aliments (stockage et transport sur des longues distances) et l'utilisation d'engrais", analysent les chercheurs.

(1) La formation de nitrosamines, classées substances cancérigènes par l’OMS, résulte de la combinaison de nitrites ou de nitrates avec les protéines de la viande. Les nitrites et nitrates sont utilisés comme agent conservateur des aliments.

Psychomédia avec source:
Medical News Today

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mercredi 8 juillet 2009

Maladie d'Alzheimer : plusieurs médicaments dans les tuyaux


PARIS (AFP) - 07.07.2009 11:13

Plusieurs types de nouveaux médicaments contre la maladie d'Alzheimer sont dans les tuyaux, avec 91 essais sur l'homme en cours dans le monde, mais la recherche peine à recruter des malades, soulignent des spécialistes à l'occasion du Congrès mondial de gérontologie et de gériatrie.


"Les molécules arrivent, mais si on ne parvient pas à recruter suffisamment de patients, on risque de passer à côté", met en garde le Pr Bruno Vellas (Gérontopôle - Toulouse), président du conseil scientifique du congrès.

Un paradoxe pour une maladie qui devrait quadrupler à l'échelle mondiale d'ici 2040 pour atteindre les 80 millions de personnes. D'autant que les médicaments actuels ont une efficacité modeste.

Mais, explique le Pr Vellas, les patients Alzheimer sont des sujets âgés, avec des troubles de la mémoire et souvent d'autres pathologies qui compliquent leur sélection. Il faut aussi obtenir l'accord de leur famille.

Un essai de phase 3 (phase finale avant une éventuelle demande d'autorisation de mise sur le marché) requiert un grand nombre de sujets suivis sur une longue période. Pour Alzheimer il peut mobiliser 80 centres différents, disséminés sur plusieurs continents, certains centres n'arrivant à recruter que deux ou trois patients.

Une situation délicate pour la recherche, estime ce spécialiste. "S'il y a un médicament qui guérit, bien sûr on le verra", explique-t-il. Mais si, hypothèse aujourd'hui la plus probable, il s'agit de "médicaments qui améliorent un peu et qu'il faudra associer, on ne le verra pas".

Pourtant, les pistes sont nombreuses, dont plusieurs déjà en phase 3.

La maladie est caractérisée par deux types principaux de lésions du cerveau: la présence de plaques "amyloïdes" liée à la production anormale du peptide béta-amyloïde, sous l'action de deux enzymes (gamma et beta secrétases), et une dégénérescence due à l'accumulation à l'intérieur des neurones de la protéine tau.

Une des nouvelles stratégies thérapeutiques vise à inhiber les gamma et beta secrétases.

Autre approche : provoquer une réaction de défense de l'organisme par l'injection d'anticorps monoclonaux pour obtenir la destruction des peptides béta-amyloïdes. "Une dizaine d'anticorps monoclonaux sont actuellement en développement", précise le Pr Vellas.

D'autres molécules vont agir au niveau de la protéine tau.

Est également en essai de phase 3 un médicament utilisé jadis en Russie contre l'allergie, le Dimebon. "On devrait avoir les résultats dans environ six mois", indique le Pr Vellas.

"La grosse difficulté qu'on va avoir c'est que sans doute ces molécules vont montrer une certaine efficacité, mais pas une totale efficacité", tempère-t-il. D'où des questions sur leur coût et leur remboursement.

Pourtant, le Pr Vellas est confiant sur une future approche de prévention de la maladie, en ciblant les dépôts amyloïdes, un peu comme on cible le cholestérol pour prévenir les maladies cardiovasculaires.

L'initiative Adni, dont l'objectif est d'identifier les marqueurs prédictifs d'Alzheimer, présentée par Michael Weiner (université de Californie, San Francisco), montre que 40% des sujets normaux de plus de 70 ans ont des dépôts amyloïdes.

"Si on s'y met tous, on trouvera des traitements qui auront une efficacité remarquable, mais on les trouvera dans une, deux ou trois générations", prédit le Pr Vellas. "Selon notre action on peut sauver une génération", ajoute-t-il en plaidant pour un "devoir de recherche qui incombe à nous tous".

Le 19e Congrès mondial de gérontologie et de gériatrie réunit de dimanche à jeudi à Paris quelque 6.000 spécialistes.

© 2009 AFP

source: www.tv5.org

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mardi 7 juillet 2009

Quand célibataire rime avec Alzheimer


Avoir un fiancé ou une petite amie diminue vos risques de développer la maladie d'Alzheimer en vieillissant, avancent les chercheurs suédois. Pour la première fois, le lien a été établi entre état civil et risque de démence.

Solitude
Des recherches antérieures avaient déjà suggéré l'isolement social et l'absence de contacts intimes comme facteurs déterminants de la démence. Une étude américaine a ensuite voulu établir le lien entre sentiment de solitude et maladie d'Alzheimer.

Interactions sociales
Selon une dernière étude de l'Institut Karolina de Stockholm, être seul dans la vie double les risques d'Alzheimer. Cela est aussi valable pour les personnes séparées ou veuves, qui sont plus susceptibles de développer la maladie. Selon les chercheurs, le stress qui suit le décès du conjoint diminue les fonctions mentales. En outre, une interaction constante entre partenaires maintient les cellules du cerveau en meilleure santé.

Pallier au célibat
Les célibataires ne doivent pas pour autant paniquer. Il existe évidemment d'autres moyens pour éviter la démence que de se trouver un conjoint à tout prix. Suivre le régime crétois, privilégier le bon cholestérol dans l'alimentation, surveiller sa tenson artérielle, garder une activité physique régulière et un réseau social important, par exemple, seraient de bons facteurs de réduction des risques de l'Alzheimer. (acx)
06/07/09 12h28

source: www.7sur7.be

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lundi 6 juillet 2009

Le café pour combattre Alzheimer ?


Une récente étude américaine démontre que la caféine améliorerait la mémoire déficiente dans la maladie d’Alzheimer.

A l’heure où s’ouvre le 19ème congrès mondial de gérontologie et de gériatrie, consacré cette année à la maladie d’Alzheimer, cette étude dont l’existence vient d’être révélée par la chaîne SkyNews, ne pouvait pas mieux tomber.

En effet, selon le professeur Gary Arendash, « la caféine pourrait être un traitement viable de la maladie d’Alzheimer et non une simple stratégie de protection ». Celui-ci dirige une équipe au sein de l’université de Floride (Californie). Il a mené son étude sur « 55 souris ayant développé les symptômes de la maladie », rapporte le JDD.

La moitié de ces animaux de laboratoire ont bu « l’équivalent, selon la même source, chez l’homme de cinq tasses de café par jour ». Ces éléments obtiennent « les meilleurs résultats aux tests de mémoire et d’habilité mentale », tandis que la santé de l’autre moitié, qui n’avait pas ingurgité de café, ne s’améliorait pas. Ce test doit maintenant être effectué sur l’homme.

source: www.agoravox.fr

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dimanche 5 juillet 2009

Nouveau facteur de risque identifié

Une étude réalisée par des chercheurs du centre de gérontologie Baycrest et de l'hôpital Sunnybrook de Toronto a permis de découvrir que les maladies infectieuses pourraient jouer un rôle dans le développement de l'Alzheimer.

Les résultats de la recherche, publiés dans la revue Alzheimer and Dementia, indiquent que la prévention de certaines infections virales qui causent notamment les pneumonies et l'herpès buccale pourrait aider à retarder ou prévenir l'apparition de cette maladie.

Ces constatations sont basées sur plusieurs études antérieures, dont une qui révèle la présence de la Chlamydia pulmonaire chez 90 % des personnes décédées de la maladie d'Alzheimer.

Selon le Dr Jack Diamond de la Société d'Alzheimer du Canada, l'analyse des chercheurs torontois démontre clairement que certaines infections contribuent ou aggravent la maladie d'Alzheimer, sans nécessairement être à son origine.

Les réactions du système immunitaire face aux infections peuvent parfois endommager le cerveau, dit-il, donc s'il est possible d'empêcher ces infections, il est possible de retarder ou même de prévenir l'apparition de la maladie.

Selon lui, la prochaine étape consiste à développer un vaccin contre l'Alzheimer en tenant compte de ces nouvelles données.

Les résultats de cette étude donnent un peu d'espoir aux quelque 500 000 Canadiens atteints de cette maladie dégénérative.

Jusqu'à maintenant, les facteurs de risque identifiés pour le développement de la maladie dégénérative du cerveau étaient la vieillesse, le diabète, des antécédents familiaux d'Alzheimer et les maladies cardiovasculaires

source:http://www.radio-canada.ca/regions/Ontario/2009/07/03/007-alzheimer_decouverte.shtml?ref=rss

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samedi 4 juillet 2009

Notre ami Selim Slimi vient de perdre son père ...les membres de l'association alzheimer tunisie présentent leurs sincères condoléances à la famille du défunt. Que dieu le Tout Puissant l’accueille dans son Infinie Miséricorde et accorde à sa famille patience et recueillement

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