A propos de L'Association

Alzheimer Tunisie a été fondée le 13 Mars 2006 (JORT N°24 du Vendredi 24/03/2006

Notre association, à but non lucratif, a pour objectif de Contribuer à l'amélioration de la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et d'apporter l'aide et l'assistance à leurs famille.

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lundi 23 septembre 2013

Alzheimer: 115,4 millions de personnes atteintes de démences d’ici 2050

Les maladies de démences dont l'Alzheimer est la forme la plus courante touchent aujourd’hui plus de 35,5 millions de personnes dans le monde, dont 7 millions d’européens et plus de 850.000 personnes en France. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, le nombre de malades devrait avoir doublé en 2030 (65,7 millions de personnes atteintes). D’ici 2050, le chiffre devrait tripler, les personnes souffrant de démences liées au vieillissement seront alors plus de 115,4 millions dans le monde.
En cette 21e Journée mondiale de la maladie d’Alzheimer, rappeler ces chiffres n’est pas anodin lorsque l’on sait qu’aux États-Unis, les coûts liés à l’espérance de vie et au vieillissement sont déjà plus élevés que ceux mis en place pour soigner le cancer et les maladies cardiovasculaires. La maladie d’Alzheimer ainsi que les autres formes de démences représentent donc un réel défi sanitaire et scientifique pour les politiques de santé publique.
«La recherche ne va pas assez vite, et les modèles animaux sont imparfaits», explique le Pr Philippe Amouyel, directeur de la Fondation nationale Alzheimer (France). Il y a, précise de son côté le Pr Charles Duyckaerts (Institut du cerveau-ICM, Paris), «des résultats remarquables chez la souris» qui peuvent s’avérer «médiocre et décevant chez l'homme».
Prévention et dépistage
Selon le directeur de l’Institut du cerveau à Paris, «il faudrait sans doute intervenir bien avant l'apparition des symptômes» pour stopper l’engrenage fatal: «une chance sur cinq d'être touché à plus de 80 ans». Dans ce cas, il faudrait pouvoir diagnostiquer le risque d’Alzheimer dix ans avant les premières manifestations cliniques de la maladie.
Plusieurs études sont actuellement conduites pour mieux déterminer les personnes à risque. En France, l’étude 3C (3 cités, Bordeaux-Montpellier-Dijon) compte 10 000 personnes, et l’étude Memento regroupera au final 2 300 personnes recrutées dans des centres de mémoire universitaires. Aux États-Unis, une étude sur des patients âgés propose de traiter ceux qui accumulent la protéine bêta-amyloïde par immunothérapie passive (des anticorps dirigés contre cette protéine).
source: www.newsring.com

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